• ***

    Pensées pour nous-mêmes:

    (LE SOURIRE DE LA FLEUR,

    SAIS-TU LE VOIR?)

    ***

    "Hum... Lecteur, lectrice, je vous aime."

    http://g-a-n-g-s-t-e-r.tumblr.com/

    ***

    (Rahan s'apprêtait à commettre son premier meurtre

    de crabe mangeur d'hommes)

    booknode.com

    Anthropologie.

    Le premier meurtre...

    il y a 430 000 ans

    Matthias Somm

       Des indices trouvés sur un crâne humain ont conduit des scientifiques à situer le premier meurtre connu de l’histoire il y a 430 000 ans. Cette découverte révèle certaines tendances comportementales déjà présentes chez les hominidés. 

       Un crâne portant les évidences d’une agression fatale a été retrouvé par des scientifiques dans la “grotte des os”, un site préhistorique situé dans le nord de l’Espagne. Il s’agit d’une preuve unique : le meurtre le plus ancien à notre connaissance.

       Le Los Angeles Times rapporte que la victime, un homme d’une vingtaine d’années, a été assassinée il y a 430 000 ans.

       ”Une des implications de l’étude est que le meurtre est un comportement humain très ancien, avance Rolf Quam, paléontologue à l’université de Binghamton. Ce qui rend notre article si unique, c’est que nous pensons que nous avons trouvé des preuves que cette personne est morte des suites de ses blessures. ” (...)


       (...) Selon les scientifiques, dont l’étude a été publiée sur PLOS ONE, près de 6 700 ossements, provenant d’au moins 28 individus, ont été découverts dans la grotte. Ces restes humains étaient conservés au fond d’un puits situé à près de 500 mètres de l’entrée. L’équipe de recherche en a conclu que le corps de la victime aurait été jeté dans la fosse, d’une profondeur de 13 mètres. Il pourrait s’agir d’une forme de première cérémonie funèbre. Si c’est le cas, alors il semble que la colère ne soit pas le seul comportement humain à avoir des racines profondes dans notre passé, avancent les auteurs.

       “Nous pensons que la violence interpersonnelle intentionnelle est un comportement qui accompagne les humains depuis au moins 430 000 ans, tout comme le soin des malades ou même des morts, affirme Ignacio Martínez Mendizábal de l’université d’Alcalá à Madrid, qui a participé aux recherches. Nous n’avons pas beaucoup changé en 500 000 ans !”

    http://www.courrierinternational.com/article/

    anthropologie-le-premier-meurtre-il-y-430-000-ans

    ***

    Luc Desle


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    Pensées pour nous-mêmes:

    (LE MAÎTRE AVANCE,

    LE DISCIPLE ÉGALEMENT)

    ¤¤¤

    (Clara n'aimait pas qu'on la double)

    (Source: tenkaichibudokai, via machalandia)

    ¤¤¤

     "Toi, t'as très très faim, hein?

    - Slurp, slurp, quoi?"

     (Source: mariamagnolia1, via suikyounoshaho)

    ¤¤¤

    (Les Sœurs siamoises sautant au-dessus des préjugés) 

     (Source: youtube.com, via yellowblog)

    ¤¤¤

     (Depuis quelques temps, mon épouse

    s'entraînait assidûment au tir)

     (Source: tiredtangerine, via jimstrange)

    ¤¤¤

    Blanche Baptiste


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  • ***

    Pensées pour nous-mêmes:

    (L'AMOUR EST LA GAIETÉ DU MONDE)

    ***

    (Parce qu'il y avait trop froid, ce squelette tenta

    de s'échapper de son cul de basse fosse)

    http://belligerent-ghouls.tumblr.com/

    ***

     

     et-pis-taf.webcomics.fr

    Santé.

    Quand l’herpès détruit le cancer de la peau

    Imane Moustakir

       L’herpès pourrait bientôt sauver des vies. Après avoir modifié génétiquement ce virus, des scientifiques anglais ont réussi à développer un remède efficace contre le mélanome, une forme grave de cancer de la peau.

       Se fondant sur la virothérapie anticancérigène, stratégie qui consiste à utiliser un virus pour éradiquer un cancer tout en stimulant des réactions immunitaires, ce traitement pourrait être disponible dès l’année prochaine s’il est approuvé par l’agence américaine des médicaments (FDA) et son homologue européenne, rapporte The Guardian.

       Selon l’étude publiée dans la revue américaine Journal of Clinical Oncology, le remède, baptisé T-VEC, permet au virus de l’herpès modifié génétiquement d’attaquer les cellules cancérigènes en s’y multipliant.

       “On pense d’habitude que les virus sont les ennemis de l’humanité, mais c’est leur capacité même à infecter et à tuer spécifiquement les cellules humaines qui font d’eux des traitements anticancéreux prometteurs. Dans ce cas, nous misons sur la capacité d’un virus conçu pour tuer les cellules cancéreuses et à stimuler une réponse immunitaire”, a déclaré au journal Paul Workman, chercheur à l'institut de recherche sur le cancer de Londres, ayant participé à l’étude.

       Sur les 436 patients atteints de mélanome inopérable ayant reçu des injections, 16 % sont restés en rémission pendant plus de six mois. “Les effets secondaires ont tendance à être beaucoup moins grave que ceux des médicaments de chimiothérapie, les patients connaissent généralement des symptômes grippaux bénins après les premières injections”, poursuit The Guardian.

    http://www.courrierinternational.com/article/sante-quand-lherpes-detruit-le-cancer-de-la-peau

    ***

    Benoît Barvin


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    Pensées pour nous-mêmes:

    (LE SAGE NE GARDE PAS

    SA SAGESSE DANS SA POCHE)

    ===

     "Marie! On voit ta culotte...

    - Mais j'en ai pas..."

     http://nuweba.tumblr.com/

    ===

     (Calimero n'était pas zen mais en avait marre

    et fuyait la France et les messants français)

     cheznectarine.centerblog.net

    Un (autre) nom du mal français :

    «C’est pas ma faute !», un essai d'Irène Inchauspé

    et Claude Leblanc

    Dan Burcea  

       Longtemps utilisée comme excuse pour les petits ou les grands égarements enfantins, l’expression C’est pas ma faute est reprise par les journalistes Irène Inchauspé et Claude Leblanc pour servir de titre à leur ouvrage dans lequel ils dénoncent une surprenante «façon de botter en touche que d’aucuns pratiquent avec une élégance nationale». 

       Dans le quotidien L’Opinion, Erwan Le Noan définit ce livre comme «un petit traité d’irresponsabilité générale». C’est dire à quel point ce phénomène d’altération sémantique a pris des proportions tellement considérables : après avoir touché notre classe politique, il a fini par gagner presque toutes les consciences transies de nos contemporains subitement tombés dans une sorte de refus de toute imputabilité. Et en leur faisant croire, par la même occasion, qu’ils étaient exonérés de toute responsabilité.

       Comme il fallait s’y attendre, ce fait a fini par conduire à une sorte de pessimisme ambiant : «La France est en crise et le restera tant que chacun d’entre nous, des gouvernants aux citoyens lambda, trouvera prétexte à ne pas se sentir responsable». Plus grave encore, elle est tombée dans une sorte de «culte de l’à quoi bon» qui compte aujourd’hui des millions d’adeptes.

       Sommes-nous, par conséquent, plus proches du sens d’un abandon clairement avoué que de celui de la désinvolture, que certains veulent nous faire admettre à coup de candides euphémismes comme «notre dernière chance dans ce monde si pressé de s’autodétruire», comme l’écrivait Frédéric Beigbeder dans Voici du 21 octobre 2002, cité par les auteurs du livre?

       En tout cas, nous disent-ils, cette confusion sémantique cache, tant bien que mal, «les conséquences désastreuses […] à tous les niveaux de la société» et conduit à un sentiment injustifié de victimisation des individus. «Se positionner comme victime alors qu’on ne l’est pasnous permet – selon Irène Inchauspé et Claude Leblanc – de nous dispenser de répondre de certains de nos actes, en prétendant que nous les subissons sans pouvoir exercer sur eux notre libre arbitre».

       Dans des chapitres aux titres suggestifs (Ni coupable, ni responsable, Tous le mêmes, Patron de sa vie, La révolution tranquille, etc.), ils développent une argumentation qui reprend des aspects notables ayant fait l’actualité de la vie politique française, aspects considérés comme des symptômes de l’aggravation de ce phénomène diagnostiqué dès le début du livre : l’affaire du sang contaminé, la canicule de 2003, le millefeuille territorial qui a conduit à l’augmentation des «produits fiscaux locaux», le principe de précaution, l'abstention aux urnes comme contre-règle démocratique,  etc.

       Ces réalités qui ont fait vaciller l’autorité et l’intégrité de l’État providence risquent d’avoir des conséquences graves dans le fonctionnement démocratique, certaines d’entre elles pointant déjà le bout de leur nez. Irène Inchauspé et Claude Leblanc en choisissent plusieurs et scrutent leur progression.

       L’emballement médiatique d’où l’on voit disparaître «le débat contradictoire à partir duquel le lecteur, l’auditeur, le téléspectateur est à même de forger sa propre opinion» représente un de ces exemples.  Faits encore plus alarmants, comme celui de la désinvolture des urnes, avec ses chiffres élevés de l’abstention ou comme celui incarné par «le soir historique du premier tour de la présidentielle de 2002», ont marqué les esprits par les dangers du jeu, jamais innocent, d’un type nouveau de fonctionnement d’une «démocratie de l’abstention» qui trouve sa source dans ce qu’un récent sondage montre en indiquant que 87% des personnes interrogées estiment que les «responsables politiques se préoccupent peu ou pas du tout des gens comme eux».

       Le cri de détresse de cette majorité ayant déserté les urnes est d’autant plus inquiétant si l’on tient compte de la courbe manifeste d’une incessante aggravation de la situation. En parlant des «mutations enregistrées depuis près d’un demi-siècle» dans la société française, les auteurs s’interrogent sur les conséquences positives – hélas, restées lettres mortes – qui auraient dû amener le changement tant attendu, depuis 1968 et jusqu’à présent : «nous affranchir de l’homme providentiel, nous libérer des carcans, idéologiques, religieux ou syndicaux, nous émanciper du jeu des partis».

        Quelle serait, donc, la cause de ce désarroi ? Pour mieux déchiffrer le sens de l’Histoire contemporaine, les auteurs préfèrent ne pas s’arrêter au moment «mai 1968», comme l’a fait Éric Zemmour dans Le Suicide français, mais de descendre encore plus loin, aux événements de mai-juin 1940 et au traumatisme qu’a pu déclencher dans la mémoire collective du peuple français la «débâcle sans précédent des soldats français face aux troupes allemandes et l’exode, avec ses huit à dix millions de personnes sur leur routes». Ils citent, à l’appui, les mots de l’historien Marc Bloch qui, en juillet 1940, écrivait : «Inutile d’épiloguer sur les événements. Ils dépassent en horreur et en humiliation tout ce qu’on pouvait rêver dans nos pires cauchemars». 

       Quelle solution face à ce traumatisme ? – se demandent les deux journalistes. Suffira-t-il de «casser le paradigme, changer d’approche, admettre que la collectivité ne peut ni doit s’occuper de tout, et remettre à chacun la responsabilité» ?

       Et pourquoi ne pas essayer de penser autrement, pourquoi ne pas donner un autre sens aux engagements à la fois individuels et collectifs, pourquoi, en résumé, ne pas essayer de changer de mentalité et de paradigme ?

       À toutes ces questions, le lecteur trouvera des réponses qui mettent en avant une vérité incontestable qui traverse le demi-siècle qui vient de s’écouler, et à laquelle il sera bien obligé, par bon sens, d'y souscrire : «en cinquante ans, les choses ont quelque peu changé !»

       Comment aborder ces changements ? Le livre d’Irène Inchauspé et Claude Leblanc répond clairement, d’une manière vive et passionnante à cette question, d’où l’intérêt et le plaisir d’une lecture qui, à notre avis, ne laissera personne indifférent, mais ouvrira plutôt vers un débat captivant et, par dessus tout,  d'une surprenante actualité.

    Irène Inchauspé et Claude Leblanc, C’est pas ma faute !, Éditions du Cerf, mars 2015, 143 p., 12 euros.

    http://salon-litteraire.com/fr/essai/review/1929731-un-autre-nom-du-mal-francais-c-est-pas-ma-faute-un-essai-d-irene-inchauspe-et-claude-leblanc

    ===

    Luc Desle


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  • ***

    Pensées pour nous-mêmes:

    (L'EAU COULE COMME TON

    ÂME PLEURE)

    ***

    (Samantha avait un don de quadruple vue

    après avoir un peu bu)

    psychedelicway:

    Edie Sedgwick

    ***
    "Allez! Prenez! Intellectuels Bobos de mes deux!"

    (Catwoman... Fallait pas l'énerver!)
     
    TAGGED AS: #BATMAN RETURNS #BATMAN #CATWOMAN
    #MICHELLE PFEIFFER #SELINA KYLE#BATMAN RETURNS 1992
    #BATMAN ANTHOLOGY #TIM BURTON #BURTONVERSE #GIFS #MY GIFS

     

    Vu du Canada.

    Les Français au sommet de l'aberration

    dans le débat post-Charlie

       Alors que la France a suscité l’admiration du monde entier en s’unissant contre le terrorisme après les attentats de janvier, “pourquoi tant de membres de la classe politique et intellectuelle s’égorgent-ils dans cette France post-Charlie ?s’interroge Konrad Yakabuski dans le quotidien canadien The Globe and Mail.
     
       Les assassinats du 7 janvier semblaient avoir enfin rassemblé la France. Pourtant, les débats sur la laïcité ne cessent d’enflammer l’actualité. “Le niveau de polémique dans cette bagarre verbale a atteint le stade de l’aberration”, fustige le journaliste, qui juge qu’il y a un responsable : “Personne n’est plus à blâmer que l’historien Emmanuel Todd.” 

       Dans son livre Qui est Charlie ? (paru le 7 mai 2015 aux éditions du Seuil), l’historien dépeint ceux qui ont participé aux manifestations du 11 janvier comme étant “radicaux” et “catholiques”, réunis autour d’un acte de “domination” dont la classe populaire et les immigrés n’auraient été que les victimes. “Si vous pensez que cela ne fait qu’en rajouter une couche, la plupart des Français pensent la même chose, explique le chroniqueur canadien. Mais cela n’a pas empêché le livre d’Emmanuel Todd d’enflammer le débat sur le rôle de la religion dans la société française.”

       Les débats sur la laïcité et la liberté d’expression ont toujours été difficiles à suivre en France, reconnaît Yakabuski, mais il existe une nette différence entre se battre pour s’exprimer librement et “célébrer l’acharnement systématique contre une minorité en marge” comme le fait Todd. Après la sortie de son livre, un collègue de l’historien l’avait prévenu qu’il n’aurait plus un seul ami. “Il semblerait qu’il ait eu raison”, conclut le chroniqueur.

    http://www.courrierinternational.com/article/vu-du-canada-les-francais-au-sommet-de-laberration-dans-le-debat-post-charlie

    ***

    Benoît Barvin


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  • %%%

    Pensées pour nous-mêmes:

    (LE MAÎTRE NE T'ATTEND PAS

    PRÈS DU BOIS)

    %%%

    (Miss Désunivers 2015, section Mort-Vivant

    vous salue bien)

    Photographer: Catherine Cayden
    Stylist: Rassamee Gesell
    Model: LuLu
    Studio: Stefan Gesell

    %%%

    "J'en vois un qui fait le malin!"

    Photographer: Juliette Jourdain - JJ Photography​
    Model: Ymanol Perset

    %%%

    (Je n'invitais la Femme de Glace que lorsqu'il

    faisait très très chaud)

    Art Directors/Stylists: Michał Szpak and Paulina Tomasik
    Photographer: Tomasz Wizner
    Designer/Model: Michał Szpak
    Makeup: Paulina Tomasik

    %%%

    "Kalinka...

    Ce pas êtrrre manierre assoirrr fesses surrr

    chaise. Rrrecommenerr tu dois..."

    Photographer: Mark Keane - Keane Eye Photography​
    Model: TreasaT​
    Studio: The Pit Studio​

    %%%

    Jacques Damboise


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  • £££

    Pensées pour nous-mêmes:

    (NOS MORTS NOUS

    AIDENT A VIVRE)

    £££

     (Ce réseau social considéra ce gif

    comme contraire aux bonnes mœurs)

     http://nuweba.tumblr.com/

    £££

     ysope.over-blog.net

    Des scientifiques séquencent le génome

    du "riz africain", plus résistant

    à la sécheresse que le "riz asiatique"

       Une équipe internationale de chercheurs a séquencé le génome du "riz africain", une espèce complètement différente du riz asiatique, localisant sa domestication le long du delta du Niger, en Afrique de l'Ouest il y a quelque 3000 ans.

       Le séquençage du génome du riz africain ouvre la voie au développement de nouvelles variétés plus résistantes à la sécheresse, soulignent les chercheurs dans cette étude publiée dimanche 27 juillet dans la revue Nature Genetics.

       La presque totalité du riz cultivé dans le monde est de l'espèce Oryza sativa, communément appelée "riz asiatique". En Afrique, on cultive aussi de petites quantités de riz communément appelé "riz africain", connu sous le nom scientifique de Oryza glaberrima.

       Le riz africain résiste mieux à la sécheresse et à des sols acides que le riz asiatique. Son génome pourrait ainsi détenir la clé pour obtenir des espèces plus résistantes dans des conditions de cultures difficiles.

       Selon l'étude, le riz africain a été domestiqué en Afrique de l'Ouest il y a environ 3000 ans, à partir d'une espèce sauvage appelée Oryza barthii. Le riz asiatique a lui été domestiqué en Chine il y a quelque 10.000 ans.

       Les deux processus distincts de domestication, en Asie et en Afrique, ont conduit pour les deux riz à la sélection de gènes pour limiter l'égrenage (la chute spontanée des graines) et augmenter les rendements.

       On prévoit que la population mondiale passera de 7,1 milliards d'individus à 9 milliards d'ici à 2050. Pour arriver à nourrir toutes ces bouches, le défi pour les scientifiques est de multiplier par deux ou trois le rendement des cultures, tout en réduisant l'impact environnemental (moins d'eau, moins de pesticides...).

       "Le riz aura un rôle clé" pour répondre à ce défi, estiment les auteurs de l'étude.(...)

       (...) Nature Genetics publie également dans un article séparé les travaux d'une autre équipe internationale de chercheurs qui a séquencé le génome d'une plante elle aussi connue pour ses facultés de résistance aux stress, Solanum pennellii. Cette tomate sauvage originaire des Andes, non comestible, est déjà utilisée pour améliorer les caractéristiques des tomates destinées à la consommation.

       L'équipe de Björn Usadel, de l'université d'Aix-la-Chapelle (Allemagne), a identifié des gènes liés à la résistance à la déshydratation, au développement et au mûrissement du fruit, mais aussi à son parfum et à sa saveur.

       Ces travaux pourraient contribuer à développer des tomates plus résistantes au stress et aussi plus goûteuses. C'est seulement la seconde tomate à être séquencée, après la tomate domestique de la variété Heinz. 

    http://www.huffingtonpost.fr/2014/07/27/genome-riz-africain-riz-asiatique_n_5624939.html?utm_hp_ref=ogm 

    £££

    Benoît Barvin


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  • °°°

    Pensées pour nous-mêmes:

    (LES ABSENTS SONT

    TOUJOURS MORTS)

    °°°

    "OK, OK, je vous la donne, cette place de secrétaire particulière"

    http://littleplasticthings.tumblr.com/post/8784446992

    °°°

    (Ce joli ver luisant était également

    une jolie femelle)

    puretrend.com

    Quand avez-vous vu un ver luisant
    pour la dernière fois ?

    CÉCILE CAZENAVE

       Où es-tu, Lampyris noctiluca ? C’est ce qu’aimerait bien savoir les naturalistes préoccupés par le sort du ver luisant. « Sa présence dans les jardins est variable. Une année, il est là ; la suivante, pas forcément, explique Marcel Koken, spécialiste de l’animal au CNRS (Centre national de la recherche scientifique). Et on ne sait pas pourquoi : le ver luisant, c’est un animal que tout le monde adore, mais dont on sait très peu de choses. »

       C’est pour percer le mystère des apparitions et disparitions de ce coléoptère au postérieur lumineux que vient de se lancer l’Observatoire des vers luisants. Son originalité repose sur un appel aux observations actuelles… mais aussi passées. Même les souvenirs de vers luisants sont bienvenus ! « Certains sont très révélateurs : ils donnent des pistes pour aller vérifier si le ver luisant a vraiment disparu d’un endroit ou si personne ne le voit plus alors qu’il est encore là », explique Marc Koken.

       Et pour cause. Alors que les gens se plaignent régulièrement de ne plus voir de vers luisants à la nuit tombée, les scientifiques ont pour l’instant du mal à démêler les causes de cette frustration. La pollution lumineuse nocturne en est-elle en cause ? « Peut-être, répond Marcel Koken. D’autant que les sortes de plots qui éclairent les jardins attirent immanquablement les mâles qui prennent ces objets pour des femelles et ne trouvent jamais leur compagne. » Comme le ver luisant est amateur d’escargots et de limaces, on soupçonne également les produits phytosanitaires destinés à débarrasser les plates-bandes de ces gastéropodes de faire des ravages chez Lampyris noctiluca.

       Mais peut-être n’a-t-on simplement plus l’occasion de voir le spectacle si poétique de ces petites lueurs vertes dans le noir. « Il y a encore quelques temps, pour aller à une kermesse un soir d’été, les gens partaient à pied avec leur lampe de poche, note Marcel Koken. Aujourd’hui, tout le monde prend sa voiture : les vers luisants sont peut-être encore là, mais les humains ne les voient plus ! » Eteignons donc nos lumières… et ouvrons les yeux !

    http://www.terraeco.net/Quand-avez-vous-vu-un-ver-luisant,59864.html

    °°°


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  • ***

    Pensées pour nous-mêmes:

    (PENSE QUE LES DISPARUS

    TE SOURIENT)

    ***

    "Oh ch't'aime, toi!

    - Pour combien?"

    Reblogged from: hoodoothatvoodoo

    ***

    (Déguisées en demi-mondaines, ces djihadistes femelles

    jetaient des boules de neige explosives)

    Reblogged from: hoodoothatvoodoo

    ***

    (A l'entraînement, la Femme aux deux mains

    armées faisait merveille)

    Reblogged from: here-cums-trubble
    Source: modernizor

    ***

     

    (L'esprit de son amant assassiné, qui se retrouvait coincé

    dans cet automate, s'apprêtait à à se venger)

    Reblogged from: fouchtra

    ***

    Blanche Baptiste


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  • ***

    Pensées pour nous-mêmes:

    (NE T'OUBLIE JAMAIS

    TOI-MÊME)

    ***

     "Qu'est-ce que t'en penses?

    - Sincèrement ou pour de faux?"

    "Une Belle Âme s'envole et tout est dépeuplé". Benoît Barvin in "Pensées pensées".

    http://huhwaitwhowhat.tumblr.com/ 

    ***

    "C'est qui? Un nouveau maître-violeur?"

     un.org

    "Parfois j'étais vendue.

    Parfois j'étais offerte en cadeau"

    Amaël François

       Des "butins de guerre". Voici comment les combattants de Daech évoquent les Yézidies (minorité du nord de l'Irak) capturées au Kurdistan depuis le début des combats dans cette région en août 2014. L'ONG Human Rights Watch publie mercredi 15 avril de nouveaux témoignages de dizaines de filles et de jeunes femmes qui ont réussi à s'échapper après être passées entre les mains de leurs geôliers. 

       En octobre 2014, le groupe djihadiste "Etat islamique" a publiquement reconnu dans sa publication "Dabiq" que les jeunes filles avaient été offertes à ses combattants comme "cadeaux", ou encore comme "esclaves".(...)

       (...) L'organisation internationale des droits de l'Homme a effectué une mission de recherche dans la ville de Dohuk en janvier et février 2015, et documenté un système organisé de viols et d'agressions sexuelles, d'esclavage et de mariages forcés imposé par les forces du groupe Etat islamiqueAfin de corroborer les récits des femmes et filles yézidies, Human Rights Watch a également interrogé des professionnels de la santé, des membres d'ONG et des responsables locaux, et examiné les déclarations faites par Daech à ce sujet. 

       D'après HRW, des témoins ont raconté qu'après leur enlèvement, les combattants avaient systématiquement séparé les jeunes femmes et les adolescentes de leurs familles et des autres captifs et les avaient déplacées d'un lieu à l'autre, en Irak et en Syrie. Les hommes, par milliers, ont été exécutés. (...)

       (...) Les femmes et les jeunes filles qui ont parlé à Human Rights Watch décrivent les viols à répétition, les violences sexuelles et autres sévices qu'elles ont subis lorsqu'elles étaient captives de l'EI. C'est le cas de Jalila, 12 ans (les noms des survivantes ont été modifiés pour protéger leur sécurité), qui affirme que pendant sa captivité, sept combattants de l'EI l'ont  "possédée" et que quatre d'entre eux l'ont violée à plusieurs reprises :

      " Parfois j'étais vendue. Parfois j'étais offerte en cadeau. Le dernier homme était le plus violent :  il m'attachait les mains et les jambes", décrit la jeune fille.  Une autre jeune fille de 12 ans, Wafa, raconte qu'un combattant l'a violée à plusieurs reprises : Il dormait au même endroit que moi et m'a dit de ne pas avoir peur parce que j'étais comme sa fille. Un jour, je me suis réveillée et mes jambes étaient couvertes de sang." (...)

       (...) Dilara, âgées de 20 ans, confie à Human Rights Watch que des combattants de l'EI l'ont emmenée dans une salle de mariage en Syrie, où elle a vu environ 60 autres femmes yézidies captives. Les combattants de Daech leur ont dit: 

       "Oubliez les membres de vos familles, à partir de maintenant vous allez nous épouser, porter nos enfants, Dieu va vous convertir à l'Islam et vous allez prier."

       Elle a échappé de peu aux horreurs qu'ont connues tant de femmes et de filles avant elle, mais elle se souvient qu'à partir de 9h30 du matin, "des hommes venaient acheter des filles pour les violer" : "J'ai vu de mes propres yeux des combattants de l'EI tirer les cheveux des filles, les battre et frapper à la tête celles qui tentaient de résister. Ils étaient comme des animaux" :

       Après avoir traîné les filles dehors, ils les violaient, puis les ramenaient en échange de nouvelles filles. L'âge des filles allait de 8 ans à 30 ans… il ne restait plus que 20 filles à la fin, poursuit Dilara.

       Les témoignages se succèdent, les mots et les récits se ressemblent. Comme celui de Nadia, 23 ans, enlevées dans son village près de Sinjar. Elle a essayé de convaincre ses kidnappeurs qu'elle était déjà mariée, afin d'éviter d'être violée :

       "Les autres filles qui étaient avec moi ont dit qu'il était interdit d'épouser une femme mariée", décrit Nadia. Mais un homme lui répond : "Pas si ce sont des femmes yézidies." (...)

       (...) Celles qui ont réussi à s'échapper ne sont pas sorties d'affaire. Dans son rapport, l'ONG multiplie les récits de tentatives de suicide de femmes devant vivre avec la honte et l'exclusion. D'autres doivent porter des enfants non désirés, ou avortent dans des conditions d'hygiène déplorables. Et les traumatismes psychologiques provoqués sont nombreux :

       "Les survivantes sont encore confrontées à d'énormes défis et à un traumatisme persistant après l'expérience qu'elles ont vécue", affirme la directrice de la division Droits des femmes à Human Rights Watch, Liesl Gerntholtz.

       Human Right Watch appelle à la solidarité internationale afin de venir en aide aux victimes : "Elles ont un besoin urgent d'aide et de soutien afin de retrouver la santé et de continuer à vivre", plaide Liesl Gerntholts.

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    Luc Desle


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