• «Dieu : un père comme celui-là, il vaut mieux 
    ne pas en avoir.»
    [ Denis Diderot ]

    (Surtout s'il ne corrige pas ses enfants turbulents)


       Le terrorisme islamiste est une expression utilisée pour désigner la violence politique islamiste de par le monde. Ces organisations se définissent quant à elles comme pratiquant la résistance islamique. Néanmoins, les autorités religieuses de l'islam assurent que le terrorisme n'est pas en accord avec leur religion et qu'il serait même illicite et interdit par celle-ci. 
       (Bravo, les autorités religieuses de l'islam! Super courage)


    ***

    Jérôme Kerviel, trader fou (tautologie?)



    Christophe de margerie, ex PDG de Total.

    Total: Groupe pétrolier implanté en Birmanie (Démocratique), responsable de la pollution maritime via le pétrolier l'Erika (1999) et cité dans l'explosion d'AZF-Grande Paroisse en 2001.

    ***
     

    «Malheur à celui dont on parlera trop.»
    [ Denis Diderot ] - Principes de politique des souverains

    (Surtout si lui-même le fait, à tout bout de champ, et en estropiant la langue du pays)



    ***

    «La reconnaissance est un fardeau et tout fardeau 
    est fait pour être secoué.»
    [ Denis Diderot ] - Extrait des Maximes et pensées


    "Hum... que je l'aime... Comme il est beau...
    - Et hop! Un autre renégat dans mon escarcelle. Au suivant..."

    ***

    "Ne payez jamais d'avance, si vous ne voulez pas 
    être mal servi"
    [ Denis Diderot ] - Extrait de Jacques le Fataliste et son maître


    " Ben dites donc... C'est qu'ce truc m'va comme un gant!
    - Hihihi..."



    "Alors on s'fait la bise, hein?
    - Ok, de toute façon, ça ne mange pas de pain..."


     ***

       Suite à l'article du merle moqueur concernant l'impossibilité, aujourd'hui, de "voir" un zizi d'enfant - il s'appuie ici sur des exemples concrets que je vous invite à découvrir -, j'ai mis "zizi" en recherche sur Google.
       Pour voir. Et j'ai vu. Ca donne le dessin ci-dessous... 

       "Zizi" serait donc un "tueur de boches". C'est pas moi qui le dit, hein...


    http://merle-moqueur.blogspot.com/2010/05/floutez-moi-ce-sexe-de-marmot.html




     Luc Desle

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  • "LA MODE SE DEMODE, LE STYLE JAMAIS"
    COCO CHANEL




       "Les champions" (The champions) est une série télévisée britannique en 30 épisodes de 50 minutes. Créée par Monty Berman ( disparu en 2006 et créateur, avec William Baker de la série "Le Saint" ) et Dennis Spooner (avec lequel il produira, outre "Les Champions", "Département S", "Jason King", "L'Aventurier"), la série qui nous occupe est diffusée entre le 25 septembre 1968 et le 30 avril 1969 sur le réseau ITC Entertainment. 
       En France, la série a été diffusée à partir du 17 juillet 1971 sur la deuxième chaîne de l'ORTF et rediffusée en 1993 sur M6. Un coffret, disponible, réunit tous les épisodes.

    Synopsis 

       Craig Stirling, Richard Barrett et Sharon MacReady, trois agents secrets appartenant à une organisation appelée Nemesis, s'écrasent en avion dans l'Himalaya  lors d'une mission. Recueillis par des moines tibétains, qui sont en réalité des êtres issus d'une civilisation très avancée, les trois héros se retrouvent dotés de pouvoirs surhumains qu'ils vont mettre au service du renseignement britannique et, ainsi, affronter des ennemis hors du commun.

    Distribution 

    Épisodes:

    1. Le Départ (The Begining)
    2. L'Homme invisible (The Invisible Man)
    3. Boîte postale 666 (Reply Box No. 666)
    4. L'Expérience (The Experiment)
    5. Tout peut arriver (Happening)
    6. Opération Antarctique (Operation Deep Freeze)
    7. Les Survivants (The Survivors)
    8. L'Appât (To Trap a Rat)
    9. L'Homme de fer (The Iron Man)
    10. L'Avion fantôme (The Ghost Plane)
    11. L'Île noire (The Dark Island)
    12. Les Fanatiques (The Fanatics)
    13. Douze heures à vivre (Twelve Hours)
    14. Le Recherché (The Search)
    15. La Cage dorée (The Gilded Cage)
    16. L'Ombre de la panthère (Shadow of the Panther)
    17. Le Poison (Case of Lemmings)
    18. La Question (The Interrogation)
    19. Le Nouveau Visage d'Émile Boder (The Mission)
    20. L'Ennemi silencieux (The Silent Enemy)
    21. Voleurs de cadavres (The Body Snatchers)
    22. L'Évasion (Get Me Out of Here)
    23. Sorcellerie (The Night People)
    24. Plan zéro (Project Zero)
    25. La Traversée du désert (Desert Journey)
    26. L'Espion (Full Circle)
    27. Qui est le traître ? (The Nutcracker)
    28. La Bombe (The Final Countdown)
    29. Trafic d'armes (The Gunrunners)
    30. Nemesis (Autokill)

       Je ne me lasse pas de voir et revoir les épisodes de cette série "Les champions". Ces trois héros, dotés de pouvoirs hors-normes - acquis à Shangri-La, la cité mythique nichée dans l'Himalaya - ont toute la classe britannique des années 60. 

       Rappelons, pour ceux qui l'auraient oublié, que " Shangri-La " est le nom d'un lieu imaginaire décrit dans le roman Lost Horizon (titre traduit en français : Horizon perdu) écrit par James Hilton en 1933. On parle dans ce livre d'un lieu fermé aux extrémités occidentales de l'Himalaya et dans lequel l'on voit de merveilleux paysages, le temps est détendu dans une atmosphère de paix et tranquillité. Lost Horizon narre l'histoire de rescapés d'un accident d'avion qui réussissent à atteindre une lamaserie utopique, appelée donc « Shangri-La », aux confins du Tibet. 

       Dans cette lamaserie, les moines - ou apparentés - cherchent à préserver le savoir global de l'humanité et le personnage principal, Hugh Conway, va être sollicité par Chang, le grand maître, pour lui succéder. Il lui révèlera que, dans cette vallée, les habitants ont trouvé le moyen de prolonger la vie.
     
       Des articles de Joseph Rock, un botaniste, linguiste, explorateur et géographe américain, publiés dans le National Geographic, inspirèrent James Hilton pour son roman Lost Horizon où il évoque une communauté de l’Himalaya sous le nom de Shangri-La. 

      Le nom et le concept de Shangri-La auraient pu être inspirés par le mythe de Shambhala, introduit en Occident dès le XIXème siècle" (http://fr.wikipedia.org/wiki/Shangri-La).

    ***
       La série en elle-même est très british. La présentation, d'abord, où chacun des trois protagonistes se présente d'un manière fashion. Vous aurez surtout pu admirer Sharon McReady, jouée par Alexandra Bastedo. Une "choucroute" qui ne bouge absolument pas, même dans les combats les plus trépidants, un maquillage qui en démontrerait à nos plus modernes stars, des tenues venues de chez les bons faiseurs de Bond Street et un sourire... Ah, ce sourire, à damner un saint! 

       Craig Stirling - joué par  Stuart Damon, et Richard Barrett - William Gaunt, ses confrères masculins, sont bâtis sur le même modèle. Le premier, un beau brun au sourire carnassier, lui, est le héros typique, toujours aussi mode, c'est vrai, mais d'aspect classique. Un peu m'as-tu-vu, toujours prêt pour l'action, avec un look de premier de la classe un rien naïf. Quant à Barrett,le dernier héros du trio , il pourrait apparaître comme un faire-valoir si, lui aussi, n'était également affublé de pouvoirs "extraordinaires". Bien qu'un peu pâlichon, avec son visage en papier mâché, il est, à l'image de ses deux compagnons, tiré à quatre épingles. Dans la série,  les scénarios insistent sur la classe des personnages, c'est vrai, classe alliée avec leur capacité à mieux percevoir les sons, à courir le plus vite possible, à augmenter sa force musculaire.
       Et ces représentants du Bien le sont en toutes circonstances, avec constance, leurs relations n'évoquant que très rarement leur vie sentimentale. Sophistiquée, la série l'est jusqu'à la coiffure impeccable de leur chef, Tremayne - joué par Anthony Nicholls. Ce dernier porte manifestement une moumoute - ou apparentée - mais collée impeccablement sur son haut front et ne bougeant pas d'un iota au cours des 30 épisodes... Ce qui est du plus haut chic, on en conviendra.
       Pour plus de renseignements sur cette série de super héros fashion avant l'heure, voici ci-dessus l'adresse d'un site de fan, en anglais, agréablement illustré, quoiqu'un rien "foutraque", ce qui est un étrange hommage à cette "classe" britannique, on en conviendra. 
       Ce site a cependant la délicatesse de ne pas évoquer la rencontre récente des trois acteurs , plus de 30 ans après... Le résultat, surtout pour l'ex beau Damon, est pour le moins pitoyable. C'est la raison pour laquelle je vous l'épargne.

      Un autre blog s'intéresse à Alexandra qui a mieux supporté le poids des ans et dont quelques photos qui l'agrémentent permettent de juger de sa très design beauté.

       Enfin, pour les vrais amateurs, le coffret, toujours disponible, sera à même de combler tous vos désirs 

     Benoît Barvin

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