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    Pensées pour nous-mêmes:

    (LE RÊVE EST L'ANTICHAMBRE
    DE LA VRAIE VIE)

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    "Plus que quelques autres millions,
    et à moi la France!"




    Comment Sarkozy a renfloué son patrimoine
    avant de prendre l'UMP

    Le HuffPost 

       (...) Homme proche des fortunes du CAC40 lors de son passage à l'Elysée, Nicolas Sarkozy n'est pas non plus maladroit lorsqu'il s'agit de sortir le carnet de chèques. L'ancien président de la République a réglé le 1er décembre la somme de 336.615 euros à l'UMP pour rembourser les pénalités de dépassement sa campagne 2012. Un paiement cash, qui peut étonner ceux qui n'imaginaient pas une telle aisance financière chez le nouveau chef de l'opposition.

       Il faut remonter au début 2012, date de sa déclaration de patrimoine, pour trouver un dernier bilan complet de sa fortune. Au début de la campagne présidentielle, il précisait au Conseil constitutionnel détenir un patrimoine de 2,7 millions d'euros, constitué principalement de contrats d'assurance-vie (chez HSBC et Neuflize OBC). Rappelons que lors de son élection en 2007, son patrimoine s'élevait à un peu plus de 2 millions d'euros.

       Parmi les biens supplémentaires cités en 2012, on note des collections d'autographes, montres et statuettes estimées à un total de 100.000 euros. En 2007, sa première déclaration de patrimoine ne mentionnait "aucune" collection. On sait par exemplequ'il arbore désormais une splendide montre Patek Philippe (estimée à 55.000 euros). Enfin, il ne possède aucun bien mobilier ou immobilier ni aucun placement boursier. (...)

       (...) Nicolas Sarkozy dispose d'une confortable dotation annuelle en tant qu'ancien président. Soit près de 6000 euros brut par mois. À cela, note Challenges, s'ajoute ce qu'on appelle pudiquement des "primes de sujétions spéciales", dont le montant est tenu secret. Ces primes, allouées aux anciens présidents, ont officiellement pour objectif de "compenser les contraintes subies dans l'exercice de leurs fonctions". A noter qu'il ne touche pas encore ses pensions de retraites pour ses précédents postes, qu'il ne siège pas au Conseil constitutionnel et donc ne touche pas l'indemnité de 13.000 euros bruts.

       Il convient également d'ajouter les 4800 euros de dividendes mensuels (chiffres 2012) que lui verse le cabinet d'avocats (Arnaud Claude et Associés), dont il détient 34% des parts. Nicolas Sarkozy verse en revanche une pension alimentaire de 3000 euros par mois pour Louis Sarkozy, son fils né de son mariage avec Cécilia Attias, et 2926 euros mensuels de prestation compensatoire pour Marie-Dominique Culioli, sa première épouse. Et en tant qu'ancien président, l'Etat couvre les frais du staff mis à sa disposition: un bureau (15.000 euros de loyer mensuel, rue de Miromesnil), sept collaborateurs et deux chauffeurs. (...)

       (...) Malgré ses ressources importantes, le président de l'UMP trouve ses principaux revenus dans les conférences qu'il donne à travers le monde. Nouvelle lubie démarrée après sa défaite en 2012, les interventions de l'ancien président ont été monnayées à l'instar des plus grands. C'est simple: il est le Français le plus cher du monde (100.000 à 130.000 euros les 45 minutes), juste devant Dominique Strauss-Kahn. En tout, il aurait participé à une vingtaine de speechs en 18 mois, du Brésil à la Corée, en passant par le Qatar et le Congo. À l'arrivée, selon Capital, il aurait gagné 2 millions d'euros grâce à cet exercice.

       L'organisation de ces événements est très bien huilée. À Paris, c'est la demi-soeur de Carla Bruni qui coordonne son agenda de conférencier (pour 7000 euros par mois, payé par l'Etat). Il peut donc sereinement regarder derrière lui et se rappeler cette phrase que lui avait prêté Le Point en 2008: "Je fais ça pendant cinq ans (ndlr: président de la République), et ensuite, je pars faire du fric comme Clinton, 150.000 euros la conférence".

       Il est toutefois difficile d'affirmer avec précision les cachets offerts. En août 2012, Le Canard Enchaîné révélait que la banque Morgan Stanley était prête à débourser jusqu'à 250.000 euros pour 45 minutes de conférence (avec photos). Très au-dessus du prix "du marché", cette information n'a jamais été confirmée. (...)

       (...) Si l'on ne connaît pas le type de contrat de mariage choisi par Nicolas Sarkozy et son épouse, les patrimoines en jeu ne sont pas anodins. Carla Bruni est l'héritière d'un riche industriel italien. Au décès de son père, Alberto Bruni-Tedeschi, en 1996, sa mère, sa soeur et son frère (décédé en 2006) ont hérité de deux somptueuses demeures: le château Castagneto près de Turin, accompagné d'une coquette villa dans le Var.

       Par ailleurs, note Le Figaro, l’interprète de "Quelqu'un m'a dit" posséderait deux appartements à Paris, le premier, place des Ternes dans le XVIIe arrondissement et de Villa Montmorency, aux confins du très select XVIe. En tout, son patrimoine immobilier est estimé à plus de 10 millions d'euros. Si l'on additionne ses cachet perçus de sa maison de disques ou du joaillier Bulgari (dont elle est l'égérie), la fortune de Carla Bruni s'élèverait donc à 20 millions d'euros.

       De quoi mettre Nicolas Sarkozy (et sa famille) à l'abris du besoin pour longtemps.


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    (L'Homme aux mains puant le poisson
    en pleine action)



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    Luc Desle

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    Pensées pour nous-mêmes:

    (TES PENSÉES SONT TES ENFANTS,
    ÉLÈVE-LES AVEC AMOUR)


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    "Je cherche un certain Lindsay Owen-Jones,
    c'est pour régler définitivement un litige"

    Lindsay Owen-Jones attaque... 
    une baraque à frites
    (sal... de - sales - pauvres!)

       (...) L'ancien patron de L'Oréal, propriétaire d'un appartement au pied de la station de Val d'Isère a assigné en justice la gérante d'une baraque à frites pour "troubles au voisinage". (...)

       (...) "Pour des personnes fortunées, c'est sûr qu'une cabane à frites devant chez soi cela dérange, mais nous, nous sommes obligés de travailler pour gagner notre vie", proteste Valérie Maertens poursuivie devant le tribunal d'Albertville par l'ex-PDG du premier groupe mondial de cosmétiques (1988-2006).
       "Ils se plaignent du bruit et des odeurs de frites, mais si vous voulez être tranquilles vous n'achetez pas un appartement sur le front de neige", déplore la gestionnaire de ce chalet de 5m2 devant lequel une quarantaine de transats ont été installés pour accueillir la clientèle. (Voir l'interview de la propriétaire, sur le site d'Europe 1).
       Les copropriétaires reprochent à la commerçante le non-respect du code de l'urbanisme (pour des qui le violent à chaque fois qu'ils peuvent, c'est gonflé), ainsi que la violation des règles d'hygiène (ah, péter dans un bas de soie, c'est pas donné à tout le monde!). Ils demandent en cas de non-fermeture du chalet une compensation financière liée à la perte de valeur de leur bien (combien de millions d'euros?).
       Contacté par l'AFP, l'avocat de Lindsay Owen-Jones a refusé de s'exprimer. (...)


       Info relayée par http://www.pensezbibi.com/, blog que nous vous conseillons de visiter régulièrement. Vous ne serez pas déçus.

    ***
    « La fortune est aveugle 
    et l'argent n'a pas d'odeur, 
    disent des communs proverbes. 
    C'est pourquoi les financiers 
    s'efforcent de perfectionner 
    le toucher. »
     Paul Laffitte
    Extrait du Jéroboam 
    ou la finance sans méningite 

    "Moi... Chomp, chomp...
    quand je serai grand,
    c'est aux mamelles d'un pays
    que... Chomp, chomp...
    je m'abreuverai... 
    A m'en faire péter le ventre"

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    La retraite en or d'Owen-Jones
    Laurent Mauduit 

       (...) Le groupe L'Oréal, ou plus précisément son ancien directeur général et actuel président du conseil d'administration, Lindsay Owen-Jones, qui arrive en tête de ce hit-parade, avec une retraite-chapeau qui culmine selon le magazine à 3,3 millions d'euros par an, devant le PDG de Danone Franck Riboud, qui touchera à sa retraite 1,8 million d'euros de rente annuelle, et celui d'Axa, Henri de Castries, dont la rente prévue, alors qu'il n'a que 55 ans, est de 1,1 million d'euros annuels. Derrière eux se trouvent le PDG du réassureur Scor et ancien numéro deux du Medef, Denis Kessler (800.000 euros annuels), l'ancien président de Sanofi-Aventis Jean-François Dehecq (779.000 euros) et Henri Proglio, qui outre une pension de 769.000 euros versés par Veolia Environnement, touche 1,6 million d'euros annuels comme PDG d'EDF.

       De ce classement transparaît donc deux grandes tendances. D'abord l'extrême boulimie des PDG français qui, malgré les pressions de l'opinion et les fausses interpellations de l'Elysée (et leur peu de réussite?), ne modèrent toujours pas leurs faramineuses rémunérations. Pour mémoire, le même Lindsay Owen-Jones a en poche la fortune absolument insensée de 360 millions d'euros en stock-options.

       Et puis surtout, l'affaire Bettencourt-L'Oréal révèlent la double caractéristique des plus grandes firmes françaises : en certains aspects, comme les stock-options ou les retraites dites chapeau, elles miment les travers les plus sulfureux du capitalisme anglo-saxon ; et puis, dans la vie ordinaire, elles n'en continuent pas moins à barboter dans les allées poisseuses du capitalisme de connivence parisien (mauvaise langue...)



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    « Les financiers ne font bien leurs affaires 
    que lorsque l'État les fait mal. »
     Talleyrand

    "Moi, j'me la pète...
    L'Résident, y s'occupe de moi, 
    alors..."

    ***
    Fillon (qui?) 
    monte au front (de gauche?),
     avec une cote de confiance en chute
    (ça s'appelle un boulet, alors?)

    ELSA FREYSSENET

       (...) La chute est rude (désolé, j'ai pas de sparadrap pour vous). François Fillon est désormais tout aussi impopulaire que Nicolas Sarkozy selon le dernier baromètre CSA pour « Les Echos » (qui a dit "enfin"?). Pas moins de 61 % (c'est tout?) des sondés ne font « pas confiance » au Premier ministre « pour aborder efficacement les principaux problèmes qui se posent au pays », soit 7 points de plus que le mois dernier. 
       Le contingent de ceux qui lui font confiance (35 % à égalité avec le chef de l'Etat) a diminué de 6 points (re c'est tout?). La baisse est particulièrement sensible chez les ouvriers et employés, ainsi que chez les travailleurs indépendants (oh, surprise...). Les premiers sont sensibles (heu... "touchés par" serait plus exact) au chômage record, les seconds sont « traumatisés par la TVA sociale » ("assommés par " serait, là, plus judicieux), selon Jérôme Sainte-Marie, le directeur du département opinion de CSA. 
       Pour celui-ci, cette chute est aussi le signe que la différence de style entre les deux têtes de l'exécutif, qui a longtemps profité au Premier ministre, ne joue plus (ben, si le fond est le même, le style, hein?) : « François Fillon s'est banalisé ("a toujours été banal" serait plus exact), car il est entraîné dans la campagne (qui a ricané: "héhéhé"?). Il était le numéro deux de l'exécutif ; maintenant il est le numéro deux de la campagne de Nicolas Sarkozy. » 

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    "Non, Messieurs, je ne m'ennuie jamais...
    Je travaille toujours, d'arrache-pied et...
    Comment ça, ça ne vous étonne pas?"


    Faire la grasse matinée 
    rend plus créatif

       (...) Une étude publiée en 2011 démontre en effet que pour les personnes qui ne sont pas du matin, c'est à cette période de la journée que le pic de créativité a lieu. En étant un peu endormi, notre attention est plus diffuse et amène notre esprit à vagabonder d'avantage, augmentant de ce fait la capacité à gérer les problèmes de manière originale... Annie Murphy Paul explique que c'est dans ces moments de rêverie que «les procédés mentaux qui inhibent les pensées déconcentrantes ou hors de propos sont à leur niveau le plus bas, ce qui permet à des connexions inattendues et parfois très inspirées de se faire.»
       D'où l'intérêt de ne pas se presser le matin, pour laisser notre esprit en errance nous rendre créatif (ouah! Juste ce que les gens de Tu Quoque font chaque matin...).
       En octobre, un article publié sur Wired montrait également, en se fondant sur plusieurs études scientifiques, que la rêvasserie est une source importante de créativité intellectuelle et artistique, sorte de mode «par défaut» du cerveau qu'il faut apprendre à maîtriser pour le développer.
       «Ce n'est pas l'ennui en soi qui compte, résumait alors Jonah Lehrer. C'est la façon qu'a l'ennui de nous amener à réfléchir. Quand les gens sont immergés dans la monotonie, ils tombent automatiquement dans cette forme très spéciale d'activité cérébrale», à mi-chemin entre rêve et réflexion consciente.


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    Benoît Barvin

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