Parce que, parfois, quitter l'ignominie politicienne est nécessaire, allons retrouver un ami, Dave Brubeck et son célèbre:
Take Five
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Take five est une composition à cinq temps du saxophoniste Paul Desmond écrite en 1959 pour l'album Time Out du quartet de Dave Brubeck.
Le titre vient d'un jeu de mot sur l'expression anglaise « take five », qui peut signifier « pause de cinq minutes » ou encore « cinquième prise (enregistrement) ». Il souligne la signature rythmique en 5/4 du morceau, rarissime dans le jazz des années 1950.
Brubeck a enregistré ce morceau, devenu l'emblème de sa formation, à de nombreuses reprises. Véritable tube à l'époque malgré sa métrique inhabituelle, le thème est devenu un standard de jazz repris par de nombreux jazzmen tels que George Benson, qui en propose une version jazz-funk, et Quincy Jones, qui en a enregistré une version big band.
Des paroles ont même été écrites sur ce morceau, à l'origine créé pour quartet piano-saxophone-contrebasse-batterie. Elles sont notamment chantées par Al Jarreau et par Carmen McRae, accompagnée de Brubeck lui-même au piano.
Richard Anthony a chanté une version française dont le titre était "ne boude pas" au début des années 60.
Commençons, justement, par cette version loukoum...
NE BOUDE PAS
(Paroles de Richard Anthony)
Non petite fille ne fais pas ces yeux là Boude pas, Surtout pas Ma colombe si l'amour encore n'est pas là Boude pas, Boude pas
Quand le soleil fait briller L'or de tes seize ans Ne Boude Pas quand le soleil Se lève à l'aurore de tes printemps Sais tu bien qu'un ange viendra Déposer demain devant toi Autant de perles et de saphirs Que joies à venir
Ma colombe ne fais pas ces yeux là Boude pas, Boude pas Non petite ton amour sera bientôt là Bien à toi, Oui crois moi
Alors ma petite fille ne fais pas ces yeux là Boude pas Boude pas Ma colombe si l'amour encore n'est pas là Boude pas Surtout pas
Quand le soleil fait briller L'or de tes seize ans Ne Boude Pas quand le soleil Se lève à l'aurore de tes printemps Ma colombe il faut mon amie Qu'à travers tes lèvres qui rient On entende des chants d'oiseaux Alors aussitôt
Ma petite colombe autour de toi Boude pas Tu verras Tu n'auras que l'embarras du choix ce jour là Boude pas Boude pas Boude pas Boude pas Boude pas Boude pas