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    Pensées pour nous-mêmes:

    (DONNE COMME TU RESPIRES : AVEC CONSTANCE)

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    "Qui c'est qui m'traite de menteur, hein?"
    dc.wikia.com 


    Sûr, pas cher et créateur d'emplois :
    les trois mensonges du nucléaire

    Corinne Lepage
       (...) Il s'agit de trois mensonges que le rapport de l'Autorité de sûreté nucléaire(ASN) et surtout les déclarations de Jacques Repussard, directeur de l'institut de recherche et de sûreté nucléaire (IRSN), anéantissent. (...) 

       1/ Le mensonge sur la sûreté
       (...) Tout d'abord, le rapport de l'ASN, s'il ne réclame pas la fermeture de centrales, met l'accent sur les incontestables faiblesses particulières de certaines centrales soumises au risque sismique ou aux risques d'inondations, voire aux deux comme Fessenheim. (...)

       2/ Le mensonge du nucléaire pas cher
       (...) Le rapport de l'ASN fixe une liste impressionnante de travaux à réaliser dont EDF considère qu'ils avoisineront les 10 milliards d'euros et dont les experts considèrent qu'ils seront beaucoup plus élevés.
       Cela signifie donc que la poursuite de l'exploitation actuelle des centrales nucléaires va faire grimper brutalement le prix de revient du kilowatt-heure nucléaire des anciennes centrales. Le coût de revient du kilowatt-heure nucléaire des nouvelles centrales EPR pourrait s'élever jusqu'à 0,80 euro pour une centrale dont le prix de revient devrait être supérieur à 7 à 8 milliards d'euros.(...)

    3/ Le mensonge sur les emplois
       (...) il est probable que le coût réel des travaux qui devront être réalisés conduira à la fermeture de Fessenheim et peut-être à d'autres centrales, avec, bien entendu les conséquences sur l'emploi quoique la fermeture d'un site nucléaire ne signifie en aucune manière la disparition de l'emploi. C'est au contraire une pérennisation des emplois pour des décennies et tout d'abord pour assurer la sûreté puis organiser le démantèlement.
       En revanche, la destruction des emplois dans les filières renouvelables est bien réelle, à commencer bien sûr par celle du photovoltaïque.(...)


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    "FUCK THE PLANET?
    Meuh non, le nom de mon association
    ça n'est pas celle-là!
    - Ah, excusez-moi... J'ai du mal entendre"

    Bill Gates : 
    un bienfaiteur de l’humanité... 
    version OGM et nucléaire
    Yves Paccalet  philosophe écologiste

       (...) Que faire de son argent quand on est le 2e homme le plus riche du monde ? Aider les autres ! Encore faut-il investir dans des entreprises éthiques. Yves Paccalet, écologiste, n'est pas dupe de la philanthropie du patron de Microsoft. (nous non plus, France 2 itou) (...) 
       (...) Bill Gates, un des hommes les plus riches du monde, le fondateur (et profiteur) (j'aime bien ce nom...) de la firme Microsoft, a lancé une fondation dite "philanthropique et écologiste". Peinture verte ! Voici quelques infos récentes (2010), données par la revue en ligne Sauve la Terre, la gazette des lanceurs d’alerte :
       "Créée en 1994, la fondation Bill et Melinda Gates gère un capital de 33,5 milliards de dollars. Ce pactole a été investi à hauteur de 23 millions de dollars dans l’achat de 500.000 actions de la firme agrochimique Monsanto." (...)
       (...) Oui : Monsanto, le temple des OGM, le fabricant de l’agent orange (à la dioxine) déversé par tonnes sur le Vietnam, de nombreux pesticides parmi les pires, ou du sinistre herbicide Roundup(Un Monsanto, des Monsanti...)
       Gates-Monsanto : contemplons, ébahis (et atterrés, quand même), l’union amoureuse de deux des monopoles les plus cyniques et les plus agressifs de la planète ! 90 % du marché mondial des logiciels informatiquespour le premier, 90 % du marché des OGM pour le second… (...)
       (...) La fondation Gates coopère, en outre, avec la fondation Rockefeller, fervente promotrice des OGM à destination des pays pauvres (yeah! América first). Tous ces humanistes se sont alliés pour créer l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (Alliance for a Green Revolution in Africa – Agra). Celle-ci s’emploie à ouvrir le continent noir aux produits agrochimiques et aux OGM.
       La fondation Gates s’est, par ailleurs, assuré les bonnes grâces des ministres des Finances des États-Unis, du Canada, de l’Espagne et de la Corée du Sud, lesquels ont mis sur la table 880 millions de dollars pour un "Programme mondial d’agriculture et de sécurité alimentaire" (Global agriculture and food security program). L’avenir des paysans et des consommateurs du monde est entre les meilleures mains. (...)
    Lire l'article sur:

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    "Comment ça, mon parrainage ne compte pas?!"
    4 ans après avoir été au coeur d’un scandale alors qu’il était déguisé en Nazi lors d’une soirée, le Prince Harry est à nouveau dans un scandale suite à la parution d’une vidéo obtenue par l’hebdo News of the World quand lePrince Harry était en Afghanistan en 2006. Il qualifie un membre de son unité militaire de "Paki" ("Pakistanais") et traite un autre d’"enturbanné" :

    Le Pen inquiète quant à ses parrainages
    lors de ses voeux
    (Nous pas, hélas...)

       (...) Marine Le Pen a affiché jeudi 5 janvier, lors de ses voeux, de vives inquiétudes (afficher de vives inquiétudes... ah ce beau langage...) à propos de la question des 500 parrainages d'élus pour être la candidate du FN à la présidentielle, en réfutant tout bluff mais en refusant à nouveau de révéler le nombre de promesses déjà obtenues.
       Se disant "loin du compte", la présidente du parti d'extrême droite a brandi le "risque" qu'elle ne puisse carrément pas concourir (qui a dit "bien fait"? Qu'il se dénonce, sale anti démocrate!). Hormis en 1981, où le Front national était une force marginale, Jean-Marie Le Pen a toujours fini par obtenir ces 500 signatures, parfois au bout de batailles médiatisées qui ont nourri les critiques, accusant le parti de se poser en victime (si peu...). (...)

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    "C'est combien?
    - Avec ou sans TVA sociale?
    - Ben... Une tête réduite c'est sans TVA, non?"

    TVA sociale :
    comment saboter un débat important
    Dominique Nora

       (...) En ressortant par surprise de son chapeau (Acabi, Acaba), aux vœux 2012, le projet de TVA sociale (transfert d'une partie des cotisations sociales employeur et/ou salariés sur la TVA et/ou la CSG), Nicolas Sarkozy veut se poser en Président qui s'attelle jusqu'au bout aux réformes difficiles. Il caresse dans le sens du poil les lobbies patronaux (Medef et Afep, qui réclament ces baisses de charges à cor et à cri). Et tente de faire croire qu'il peut agir sur l'emploi, pour ne pas pâtir des prochains chiffres désastreux du chômage. Accessoirement, il espère peut-être semer la zizanie dans le camp socialiste (Manuel Valls était pour, Hollande contre). (...)
       (...) Mais cette tactique électoraliste est aussi pleine de risques : parce que les Français voient surtout - à juste titre - dans la hausse de la TVA une atteinte à leur pouvoir d'achat. Parce que les syndicats, qui sont contre, prennent comme une provocation d'agiter ce sujet à la veille du sommet social du 18 janvier. (je vous réunis, mais tout est déjà prévu, tas de gueux... Depuis 5 ans, tactique éprouvée, non?)
       En outre, le concept divise aussi son propre camp (Jean-François Copé est pour, mais Xavier Bertrand contre (ahaha... la Carpe n'aime toujours pas le lapin, hein?). Cette précipitation, qui peut être vécue comme un coup de force, déplaît même aux plus fervents adeptes de la mesure, comme le sénateur centriste Jean Arthuis !
       Surtout, politiser et bâcler ce projet de réforme, c'est se priver d'une réflexion sereine (heu... depuis 5 ans... Bon, hein?) - et d'un consensus (con quoi? dirait le Résident... Comment ça je l'insulte?) possible - sur deux questions cruciales de politique économique. De celles qui décideront du sort de la France dans la compétition mondiale. Un, comment financer notre modèle social ? (en faisant payer également les entreprises et les hauts salaires) Peut-on continuer à faire peser les charges de notre politique familiale sur le travail ? (non, sur le capital également) Est-ce par exemple normal que les allocations familiales des riches (puisqu'elles ne sont pas soumises à condition de ressources) soient payées par les cotisations sur les salaires, y compris ceux du bas de l'échelle ? (je réponds pas, c'est trop facile) Deux, comment restaurer la compétitivité de nos entreprises ? (en mettant des taxes aux frontières comme... tiens? Les chinois?) Comment arrêter le déclin de notre appareil industriel ? (en arrêtant de délocaliser, dans un premier temps...) (...)

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    Benoît Barvin

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