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Par tomdrake le 13 Octobre 2010 à 09:04$$$"La Liste de Schindler" Ben Kingsley, Liam Neeson"Bon sang, t'es ridicule!J'ai besoin que d'un p'tain de stylo, quoi!Pourquoi tu veux pas me le prêter?- Tu m'as pas dit s'il te plaît..."$$$"Bon, c'est vrai... Il boit un peu en cachette...Mais le fini de cette queue de billard est splendide, quand même.Qu'en pensez-vous?"$$$"Le faucon maltais". Humphrey Bogart(L'impudence de ce type était pénible.J'avais toujours eu horreur qu'on lise par-dessus mon épaule.Et il en était fier, encore, le bougre! Saleté d'étranger!Toujours à vous emm...alors que vous ne demandez rien...)$$$"Huit et demi". Fédérico Fellini
"Bon sang, je le retiens, mon docteur et son écriture de m...J'ai vraiment cru qu'il m'avait conseillé de voirun proctologue en lieu et place d'une saleté de psychologue..."$$$"La traversée de Paris". Claude Autant-Lara."Quoi?! Végétarien!!! Et c'est maintenant que tu l'dis?Ben elle est raide, celle-là!"$$$Jacques d'Amboise
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Par tomdrake le 1 Août 2010 à 09:03$$$Les promesses sont oubliées par les princesmais jamais par les peuples.Pensées italiennes (Édité par André Kundig-Genève)"Tu m'avais pourtant dit que tu ne t'habillerais pascomme une cruche des beaux quartiers!"- Et toi comme une bourgeois hongrois, Nagy-Bocsa de mes deux"(PARFOIS, ENTRE LES PRINCES ET LES PEUPLES,IL Y A DE L'EAU DANS LE GAZ)$$$Les vanités de ce monde ne grisentque les esprits faibles.Pensées arabes. (Édité par André Kundig-Genève)"Vous savez, Votre Majesté, on a un point en commun...Nous sommes de la même taille et...""Toi, mon cochon, j'te réserve un chien de ma chienne, usurier de la pensée"$$$Pour résister au temps,il ne faut pas tant durer qu'évoluer avec lui.Peter Muller"Vous voyez bien qu'il n'y a aucune traîtrise dans mon parcours.Une simple évolution.Ce qui n'est pas votre cas, blogueur de comptoir"$$$Le pauvre a tort avec de bons arguments.Le riche a raison sans argument du tout.Félix Leclerc - Le petit livre bleu de FélixCrédit photo : Benoit Tessier / Reuters
Numéro 7: Bernard Arnault, France, 26 milliards de dollars
"Parce que je le vaux bien"
(Ouah! Super élégance, M'sieur le comte... Encore, encore...)
$$$Essaie de ne rien accepter des mainsque tu n'aurais plaisir à serrersi elles ne t'offraient rien.Jules Renard(ALLÉGORIE DE DEUX HOMMES POLITIQUES SE DÉTESTANTCORDIALEMENT, EN APPARENCE)$$$
Benoît Barvin
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Par tomdrake le 22 Avril 2010 à 09:08LE GENIE A L'ETAT PURUne des scènes les plus hilarantes du film "LE GRAND RESTAURANT" avec Louis de Funès. Celle où une ombre sur son crâne et le haut de sa lèvre supérieure le transforme en épigone de Hitler. Outre l'indéniable qualité du gag et sa mise en oeuvre d'une précision remarquable, cet épisode humoristique interroge notre époque actuelle. Aujourd'hui qui pourrait se permettre de faire un tel pied de nez au politiquement correct? Et, surtout, qui donc y penserait?J'avais déjà - lors d'un ancien article dans un fanzine des années 80 - affublé Louis de Funès du sobriquet - respectueux dans mon écrit - "d'atrabilaire maléfique." "Atrabilaire" car son personnage était sans cesse en colère, réagissant contre tous et toutes, pour des broutilles, des vétilles, des futilités, le plus souvent.Quant au qualificatif de "maléfique", il soulignait combien le personnage joué par de Funès nous ressemblait étonnamment, nous, Français, capables d'exploser pour des faits - ou des actes - d'une innocuité indicible, alors que, lors des grandes décisions - celles où le destin national était en jeu -, nous nous retrouvions tout nus, malingres, pusillanimes, couards et, au final, carpettes devant toutes les grandes gueules, pourvu qu'elles aient une parcelle de pouvoir.De Funès est mort mais le Français collabo, lui, est hélas toujours bien vivant...Luc Desle.
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