Le Regard De L'Amour
Le regard de l'amour
Est dans tes yeux
Le regard que ton sourire ne peut dissimuler
Le regard de l'amour
En dit tellement plus
Que les mots pourraient dire
Et ce que mon coeur a entendu
Eh bien ça me coupe le souffle
J'ai peine à attendre de te serrer dans mes bras
Sentir mes bras qui t'entourent
Comme j'ai longtemps attendu
Attendu de t'aimer, simplement
Maintenant que je t'ai trouvé
Tu as le regard de l'amour
Il est sur ton visage
Un regard que le temps ne pourra effacer
Sois mien ce soir
Faisons que ce ne soit que le début
De plusieurs autres nuits comme celle-ci
Prenons le serment d'un amant
Et scellons-le d'un baiser
J'ai peine à attendre de te serrer dans mes bras
Sentir mes bras qui t'entourent
Comme j'ai longtemps attendu
Attendu de t'aimer, simplement
Maintenant que je t'ai trouvé
Ne pars jamais
Ne pars jamais
Je t'aime tant
J'ai peine à attendre de te serrer dans mes bras
Sentir mes bras qui t'entourent
Comme j'ai longtemps attendu
Attendu de t'aimer, simplement
Maintenant que je t'ai trouvé
Ne pars jamais
Ne pars jamais
Ne pars jamais
The Look of Love est une chanson britannique de Dusty Springfield composée par Burt Bacharach, avec des lyrics de Hal David. Le tout extrait de la bande originale du film Casino Royale et sortie en 1967. (Wikipédia)
Chanson simple, tout en finesses, paroles et musique intimement liées, chantée ou, plutôt, susurrée sur un fond de grand orchestre qui semble jouer sur la pointe des pieds. Instant unique où l'Artiste rejoint l'ineffable, où le temps suspend son vol, laissant Diana Krall prendre le sien, sur les ailes d'un souffle qu'on dirait prêt à s'évanouir alors que nous l'écoutons, en apnée afin que le miracle ait lieu le plus "longtemps" possible.
Et une fois encore l'autre Diana, Rigg bien sûr, se penche sur notre épaule pour écouter son homonyme, son souffle à elle exprimant un désir à peine évoqué, évanescent, avec ce sourire en coin qui nous rend esclave de sa sensuelle présence. Une tendre fragrance, non pas de Ylang Ylang, mais de cette Angleterre fastueuse des sixties. Une monde où toutes les Alice s'appellent Diana et où le chapelier fou répond au prénom de John...
Diana Krall qui, parce que Canadienne - et bien que blonde -, fait un clin d'oeil à sa consoeur Anglaise en expirant, sur les dernières notes d'un orchestre au bord de l'extase, un "don't ever go" auquel on adhère, le coeur gros et la nostalgie en bandoulière...http://avengers.easyforum.fr/chapeau-melon-et-bottes-de-cuir-the-avengers-f1/photos-diana-rigg-t3122-Benoît Barvin