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    Pensées pour nous-mêmes:

    (NE SOIS INTRANSIGEANT

    QU'AVEC TOI-MÊME)

    ***

    https://infinite-paradox.tumblr.com/post/181748130886

    ***

    https://www.pinterest.fr/fanylith/f%C3%A9minisme-et-misandrie/

    Voici tout ce qui ne va pas

    avec le féminisme dominant.

       Des médias comme MSNBC et Politico ont fait les manchettes enthousiastes avec des titres comme "Le complexe militaro-industriel est maintenant dirigé par des femmes" et "Comment les femmes ont pris le contrôle du complexe militaro-industriel". Apparemment, quatre des cinq meilleurs "entrepreneurs" de la défense américaine sont maintenant des femmes, dont je ne me donnerai pas la peine d’apprendre les noms ou d’en rendre compte parce que je m’en fiche.

       Ces manchettes sont ridiculisées, et à juste titre, par les critiques de l’état d’esprit au sein de l’establishmentet cette auto-parodie caricaturale du libéralisme d’entreprise. Presque tout dans le libéralisme américain se résume en fin de compte à promouvoir le meurtre de masse, l’exploitation et l’écocide à des fins lucratives tout en brandissant des banderoles "Ouais, Vive la diversité !" pour que la foule du politiquement correct puisse se sentir bien dans sa peau. Mais le fait que ces histoires existent et ont un auditoire illustre les échecs du féminisme dominant.

       Beaucoup d’hommes (et parfois des femmes servilement sectaires) aiment se plaindre du féminisme moderne comme si c’était quelque chose qui blesse les hommes, menace les hommes, diabolise les hommes ou les prive de leur place dans la société ou de tout autre prérogative auquel ils auraient droit. Tout cela n’est que bêtise et caprice d’enfant pour la perte de contrôle des hommes sur les femmes, contrôle qu’ils n’auraient jamais dû avoir, pour commencer ; ce sont des maîtres qui se plaignent de perdre leurs esclaves. Ce n’est pas ça le problème du féminisme dominant. Ce qui ne va pas avec le féminisme dominant est parfaitement illustré dans ce défilé médiatique célébrant l’ascension des femmes au sommet de l’industrie la plus dépravée sur terre.

       Le problème que le véritable féminisme cherche à résoudre n’est pas celui du nombre de femmes à la tête des entreprises, ni le fait que les Américains ont refusé en 2016 d’élire une femme pour bombarder, exploiter et opprimer. Le problème a toujours été que nous essayons de valoriser les femmes avec un système de valeurs créé par une poignée d’hommes très puissants. En laissant en place le système de valeurs créé par le patriarcat (c’est-à-dire le capitalisme), nous valorisons maintenant les femmes uniquement pour leur capacité à jouer à des jeux d’hommes. Personne n’est jamais devenu milliardaire en étant mère, même la meilleure mère du monde, et personne ne le sera jamais parce que le capitalisme a été conçu par les hommes, pour les hommes, pour valoriser les qualités des hommes. Ce qui a créé un déséquilibre menaçant pour les espèces parce que l’inégalité fait partie intégrante du système. Dans les années 60, lorsque les hommes ont autorisé à contrecœur les femmes à sortir de leurs cages-foyers, ils l’ont fait à la condition de ne pas changer. Les femmes pouvaient participer au jeu, mais ce sont elles qui devaient changer. Comme d’habitude.

       Il est intéressant de revenir à des textes précurseurs comme "The Female Eunuch" de Germaine Greer et de voir combien à l’époque les féministes passaient de temps à réfléchir à la façon dont les femmes pouvaient être payées pour le travail domestique et l’éducation des enfants. Il y a cinquante ans, les féministes voyaient bien comment la violence financière sévissait dans le cadre du mariage parce que les femmes ne sont pas payées pour la majorité de leur travail. Ils comprenaient qu’il fallait corriger cela pour que les femmes puissent un jour être vraiment libres. Si vous n’êtes pas payé, vous ne pouvez pas partir, et si vous ne pouvez pas partir, vous êtes un esclave.

       Aujourd’hui, et malgré tous les acquis du féminisme, si vous osez suggérer que les femmes soient payées pour avoir des enfants, vous serez raillés. A un moment donné, il fut décidé que, d’accord, très bien, vous pouvez être un faux homme si vous le voulez, mais ne vous attendez pas à être valorisée pour autant. Les hommes ont refusé d’accorder de la valeur au travail des femmes, c’est pourquoi la plus grande partie de ce travail est encore essentiellement de l’esclavage. Ce fut une erreur cruciale et menaçante pour la planète.

       En refusant de valoriser les femmes et les compétences qu’elles apportent naturellement, l’humanité a continué à ne pas valoriser le méta travail féminin. Nous avons continué à ne pas valoriser la santé de notre environnement, l’état de notre cohésion sociale, la santé mentale des uns et des autres. En refusant d’accorder une valeur absolue à l’environnement, à la santé, à la solidarité, à la redistribution des biens, au recyclage, à la collaboration et au bonheur, nous renforçons tous leurs contraires.

       Beaucoup d’hommes rétorqueront qu’ils sont eux aussi esclaves de la corporatocratie, et c’est vrai. C’est ce que vous obtenez lorsque vous ne changez pas un système de valorisation qui a été créé par des propriétaires d’esclaves pour distraire leurs esclaves de les tuer et pour qu’ils continuent à travailler quand même. C’est ce que vous obtenez quand vous insistez pour que tout le monde change pour s’adapter à un système qui a été créé par le pouvoir pour maintenir le pouvoir en place. Nous rions des peuples autochtones qui ont été bernés à céder de vastes étendues de terres en échange d’une poignée de coquillages, alors que nous mêmes aujourd’hui offrons notre travail, nos terres, nos droits et nos libertés en échange d’une poignée de rectangles de papier.

       Le vrai féminisme ne soutient pas que le monde serait mieux loti si les femmes dirigeaient ; passer d’un sexe à l’autre ne changerait pas grand-chose tant que le système actuel d’évaluation des valeurs demeurera en place. Le vrai féminisme soutient que toute l’humanité doit changer son système de valeurs pour un système qui récompense le travail féminin autant que le travail masculin, au lieu de récompenser seulement les femmes quand elles réussissent à gravir l’échelle du paradigme patriarcal.

       Lorsque des femmes contrôlent le complexe militaro-industriel, ce n’est pas du féminisme, c’est de la masculinité toxique. C’est le fruit du système de valorisation qui pollue notre air, empoisonne notre eau, remplit les océans de plastique, rase les forêts tropicales et nous rapproche de l’Armageddon nucléaire. Le vrai féminisme, c’est se détourner d’un système de valeurs toxiques qui récompense les sociopathes les plus ambitieux, pour aller vers un système qui valorise l’empathie, la collaboration, l’éducation et la paix.

    Traduction "tant qu’on accordera plus d’importance à ce que l’on a entre les cuisses qu’entre les oreilles..." par VD pour le Grand Soir avec probablement toutes les fautes et coquilles habituelles.

    »» https://medium.com/@caityjohnstone/this-is-is-that-is-that-is-wrong-wi...

    ***

    Benoît Barvin


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    Pensées pour nous-mêmes:

    (L'APPARENCE N'EST QUE

    LE SOMMET DE L'ICEBERG)

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    "Décidément, Sylvio, ta voiture est trop petite..."

    http://partialboner.tumblr.com/image/181254965091

    ***

    "Mais, Barbara...

    - Oui?

    - Heu, non, rien..."

    http://partialboner.tumblr.com/image/181669558739

    ***

    "Norma, ton jean doit être lavé. Enlève-le s'il te plaît"

    http://partialboner.tumblr.com/image/181030745554

    ***

    Nadine Estrella


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    Pensées pour nous-mêmes:

    (LE COURAGE CONSISTE,

    MALGRÉ LES VICISSITUDES,

    À CONTINUER À VIVRE)

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    "Ahah... Gnn... Non, ch'suis pas soûle... Juste

    beurrée, z'est bas la même chose"

    http://nadchris34.tumblr.com/post/181355246354/shopjournelle-amelie-pichard-shoes

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    http://forum.macbidouille.com/index.php?showtopic=408978

    Le Conseil d’État rejette le recours

    de la Ligue de protection des oiseaux

    contre la chasse à la glu

       La chasse à la glu reste autorisée dans cinq départements du Sud-Est. Le Conseil d’État a rejeté, vendredi 28 décembre, le recours de la Ligue de protection des oiseaux (LPO) contre cette méthode, qui permet de capturer principalement des grives et des merles grâce à la colle déposée sur les branches où ils viennent se poser.

       Cinq départements sont concernés : les Alpes-de-Haute-Provence, les Alpes-Maritimes, les Bouches-du-Rhône, le Var et le Vaucluse. La LPO avait demandé l’annulation des arrêtés qui autorisent la chasse à la glu « pour excès de pouvoir ». Mais, pour la plus haute juridiction administrative, l’argument ne tient pas. Elle justifie sa décision par les quotas de volatiles pouvant être chassés, fixés chaque saison, en fonction des prises réalisées par les chasseurs.

       La décision du Conseil d’État « met fin à une période extrêmement pénible pour tous les passionnés de ce mode de chasse », s’est félicitée, mercredi 2 janvier, l’Association nationale de défense des chasses traditionnelles à la grive, sur son site internet. « Il est donc grandement temps que toutes les personnes prenant part à ces campagnes anti-glu, le plus souvent mal documentées voire mensongères, réalisent qu’elles ne seront plus crédibles », ajoute l’association.

       Le directeur général de la LPO rétorque que la chasse à la glu menace les oiseaux, surtout que des espèces protégées sont capturées par la glu. Yves Vérilhac avait fourni au Conseil d’État des avis d’experts vétérinaires qui témoignent « de l’effet irréversible »de cette pratique : « Pas seulement la glu. Il y a aussi des diluants utilisés sur les oiseaux. Les oiseaux sont fragiles. Les manipuler pour les dégager de la glu, les nettoyer avec de l’essence F4 a des conséquences. Nous avons plusieurs exemples d’espèces protégées tuées. Nous avons trouvés englués des mésanges, des fauvettes, des gros becs, récemment un faucon crécerelle. Donc très clairement cette pratique n’est pas sélective. »

    https://reporterre.net/Le-Conseil-d-Etat-rejette-le-recours-de-la-Ligue-de-protection-des-oiseaux

    $$$

    Benoît Barvin


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    Pensées pour nous-mêmes:

    (LES IDÉES VIENNENT

    QUAND ON N'A RIEN

    D'AUTRE À FAIRE)

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    "Petit Mâââkrrronnn... Toi vouloirrr

    venirrr pour recevoirrr fessée?"

    http://partialboner.tumblr.com/post/141561257359

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     http://www.rm86.ironie.org/blog/index.php?2006/03/31/43-les-crs-ont-ils-de-l-humour

    CRS : service d’ordre

    ou bien horde sauvage ?

       Petit rappel :

       Les Groupes mobiles de réserve, souvent abrégés en GMR, étaient des unités paramilitaires créées par le gouvernement de Vichy. Leur développement fut l'affaire privilégiée de René Bousquet, directeur général de la Police nationale et par la suite protégé de François Mitterrand. Les Compagnies Républicaines de Sécurité, CRS, ont été créées par un décret du 8 décembre 1944 à la suite de la dissolution des GMR - décret confirmé par une ordonnance du 7 mars 1945 signée par le général de Gaulle. Initialement elles sont composées de nombre de résistants.

       Menacées de disparition dans les années de l'immédiat après-guerre, les CRS ont acquis une nouvelle raison d'être comme forces de réserve générale à vocation nationale (et répressive) à la suite des grèves de 1947 (décret du 26 mars 1948 pris en application de la loi du 27 décembre 1947). Simultanément, onze compagnies comprenant des éléments "douteux" (sympathisants communistes émanant de la résistance) sont dissoutes, principalement dans le sud-est de la France. L’Etat décide d’une revue d’armes pour ces 11 compagnies, et une fois les armes démontées des compagnies „fidèles” entrent, armées, et on leur apprend leur dissolution ...

       Les compagnies métropolitaines ont été engagées dans le conflit d'Algérie. Les CRS ont également été engagés dans les conflits sociaux de la fin du xxe siècle. Les matériels sont améliorés (protection) et personnalisés (apparition des bandes jaunes sur le casque et de l'écusson sur les uniformes à la suite des événements de 1968 dans le but de différencier les CRS des autres forces de l'ordre). La tactique d'emploi des unités est revue en 2002 afin de faciliter le passage des missions de sécurisation et de luttes contre les violences urbaines à celles de maintien de l'ordre.

       Les missions :

       - assurer le maintien de l’ordre public et son rétablissement si nécessaire ;

       - assurer les missions propres de surveillance et de protection des personnes et des biens ;

       - concourir, avec les effectifs de la direction centrale de sécurité publique (DCSP), à la lutte contre les violences urbaines ;

       - participer à la lutte contre le terrorisme et intervenir sur des actions de tuerie de masse et actes terroristes ;

       - porter aide et assistance aux populations en cas de sinistres graves.

       - sécurité routière et surveillance des autoroutes,

       - sauvetage en haute montagne en alternance avec la Gendarmerie nationale

    À noter : certaines de ces missions semblent ne pas fonctionner le soir de la Saint Sylvestre !

       Emploi :

       La priorité d'emploi des unités reste décidée au niveau national dès lors qu'un événement - prévu ou imprévu — nécessite l'emploi de forces mobiles. De plus, même hors période de tension, un nombre important d'unités est affecté à des missions nationales, placées en réserve de maintien de l'ordre. Ainsi, un certain nombre de compagnies est déplacé en permanence sur la région parisienne.

       L'unité de coordination des forces mobiles (UCFM), placée sous la double autorité des directeurs généraux de la police et de la gendarmerie nationales est chargée de déterminer les unités à engager sur des missions nationales et de décider de l’octroi de renforts aux préfets de zone pour des opérations requérant un volume de forces supérieur à leurs ressources. Initialement de taille modeste lors de sa création en 2002, l’UCFM, a été renforcée dans son organisation et son fonctionnement en 2015 et en 2016. Son effectif a été doublé et ses règles de fonctionnement ont été clarifiées. Elle a par ailleurs été dotée d’une application informatique de suivi en temps réel de la position des forces.

       Les CRS créent lorsque la situation le nécessite des groupements provisoires dirigés par leurs propres officiers supérieurs.

       Les CRS, comme les gendarmes mobiles sont placés pour les opérations de maintien de l'ordre sous le commandement immédiat de leurs propres officiers mais, conformément à la loi, ces derniers ne peuvent exercer les prérogatives d'officiers de police judiciaire.

       Les mouvements tactiques (barrages, charges, etc.), les communications nécessaires (sommations etc.) et les actions en vue de poursuites judiciaires éventuelles sont donc de la responsabilité des autorités territorialement compétentes (typiquement un commissaire de police ou un officier de Gendarmerie) sous la responsabilité ultime de l'autorité administrative (préfet) et sous le contrôle de l'autorité judiciaire.

       A noter :

       Philippe Klayman, le patron actuel des CRS est un énarque "ENA promotion Montaigne" ... il a obtenu un fort soutien de Alain Bauer pour que Manuel Vals le fasse avancer, et son rôle dans la transformation des CRS en "commandos" à l'américaine parait acté (voir ce lien)

      https://www.marianne.net/societe/la-note-qui-transforme-les-crs-en-commando? fbclid=IwAR04dkWBRHq6cig4iTDs5V9EBtFV4N1xb-gzHCDiqpujRZFglJglAFtbnmI

       Désormais spécialisées dans le tir tendu dans le visage des manifestants, utilisant des armes interdites par la Convention de Genève, leur dissolution devrait être une priorité. Ensuite il conviendra que la justice se mette au travail et déclenche des enquêtes contre chacun des CRS engagés dans les opérations de maintien de l’ordre depuis le début des manifestations des Gilets Jaunes, pour vérifier lesquels ont commis des actes répréhensibles, plutôt que de négliger leurs actes et ne s’en prendre qu’aux victimes et aux manifestants, oubliant ainsi son rôle de "pouvoir législatif" et devenant un simple instrument du "pouvoir exécutif".

     https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/crs-service-d-ordre-ou-bien-horde-211267

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    Luc Desle


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    Pensées pour nous-mêmes:

    (EN CHACUN DE NOUS

    SOMMEILLE UN PLEUTRE)

    ***

    "Quoi, soutien-gorge? Qué soutien-gorge?

    Toi, tu vas te prendre une raclée

    si tu continues à me chercher!"

    fuckyeahangrywomen:

    Marilu Henner 

    ***

    http://actuendessins.fr/?tag=macron

    Enucléator a parlé de boue

       La fois d’avant, ses conseillers en communication lui avaient dit de poser ses mains à plat sur le bureau, comme pour le faire tourner (« Esprit des grands présidents, es-tu là ? ») ou comme pour faire sécher son vernis à ongles. N’a-t-on pas dit que sont teint est si altéré par la frayeur physique qu’il ne se montre que maquillé, y compris les mains ?

       Le 31 décembre, les mêmes lui ont au contraire imposé de gesticuler pendant un discours debout (de boue) dans une pièce vide, comme après le passage des huissiers chez un gilet jaune.

       Las, il lui manqua un conseiller po-li-ti-que qui lui aurait dit de ne pas insulter un peuple qu’il représente en son entier, au-delà des clivages, des origines, des rangs sociaux, du niveau de formation et des différences de fortune. Par suite, il fut livré à lui-même et cela donna : « Fainéants, je l’ai déjà dit, illettrées, alcooliques, fouteurs de bordel aussi. Je vais dire « populace enrazée », qu’est-ce que tu en penses, Brizitte ? » Comment ? Bon, d’accord, « foule haineuse ». C’est pareil ».

       Et ainsi, le seul moment où il s’enflamma dans son discours du nouvel an, fut celui où il aborda la contestation par la rue de ses choix de banquier énarque. Pour le reste, il mentit posément, promit, provoqua, récita platement son prompteur. L’homme était vide comme une orbite expurgée de son œil par un projectile de flash ball.

       Alors que tout le pays, tous les médias en France et à l’étranger ne parlent que des gilets jaunes, il est incapable de prononcer ses deux mots. Pour lui, ils n’existent pas plus que les 70 à 80% des citoyens qui les soutiennent.

       Macron a montré qu’il n’est pas le président de tous les Français. Inconsciemment, il nous confirme qu’il n’est que l’homme que les citoyens ont assis sur un trône pour empêcher que Marine Le Pen remplace Hollande. Les électeurs ont vomi sur la flamme fasciste, elle s’est éteinte sous un magma que les Institutions déguisèrent en Président et installèrent dans un Palais que sa mégère peinturlurée s’amuse à moderniser à grands frais, de la vaisselle aux rideaux en passant par les tapis et la moquette, tout en s’horrifiant de la vulgarité des crève-la-faim du dehors.

       Théophraste R. (Futur créateur du tribunal pour juger les responsables des blessures et des morts pendant l’insurrection des gilets jaunes).

    https://www.legrandsoir.info/

    ***

    Benoît Barvin


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    Pensées pour nous-mêmes:

    (À NOUVELLE ANNÉE,

    NOUVEAUX EMBARRAS)

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    "Non, mon chéri... Le Freluquet n'est pas méchant.

    Il est simplement c..."

    https://art-grome.tumblr.com/post/181488337169

    ***

    https://infinite-paradox.tumblr.com/post/180906541212

    ***

    "Hello, 2019, j'arrive, héhéhé"

    http://redlipstickresurrected.tumblr.com/post/181274702260/

    neillblomkamp-my-name-is-ofelia-who-are-you

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    Nadine Estrella


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    Pensées pour nous-mêmes:

    (JOYEUSE MAUVAISE

    NOUVELLE ANNÉE!)

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    "Gouleyante année 2019"

    (Source: ozziehaaz, via loveageorge)

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    http://senor-information.over-blog.com/article-vous-avez-dit-civilisation-

    superieure-l-occidentale-par-ex-humour-99292042.html

    David Attenborough :

    l’effondrement de notre

    civilisation est à l’horizon.

    Source : The Guardian, Damian Carrington,

    Damian Carrington, depuis Katowice

       Sir David Attenborough a rappelé lors du sommet des Nations Unies sur le changement climatique en Pologne que l’effondrement de la civilisation et de la nature était a l’horizon. Le naturaliste a été choisi pour représenter la population mondiale lorsqu’il s’est adressé aux représentants de près de 200 nations rassemblées à Katowice pour négocier la façon de mettre en pratique les engagements pris lors de l’accord de Paris sur le climat en 2015.

       Dans le cadre de l’initiative de l’ONU « Une Place pour tous » (The People’s Seat), des messages du monde entier ont été recueillis pour alimenter le discours d’Attenborough de Lundi. « En ce moment, nous sommes confrontés à une catastrophe d’origine humaine d’envergure mondiale, la plus grande menace qui pèse sur nous depuis des milliers d’années : le changement climatique », a-t-il déclaré. « Si nous n’agissons pas, l’effondrement de nos civilisations et l’extinction d’une grande partie du monde naturel est en vue. »

       « Ne voyez-vous pas ce qui se passe autour de vous ? » demande un jeune homme dans un message vidéo diffusé dans le cadre d’un montage adressé aux représentants. « Nous constatons déjà une augmentation des impacts du changement climatique en Chine », déclare une jeune femme. Debout devant un bâtiment incendié par un feu de forêt, une autre femme dit : « C’était ma maison. »

       Attenborough a declaré : « Les citoyens du monde entier ont parlé. Le temps presse. Ils veulent que vous, les décideurs, agissiez maintenant. Leaders de ce monde, vous devez montrer la voie. La survie des civilisations et du monde naturel dont nous dépendons est entre vos mains. »

       Attenborough a exhorté chacun à utiliser le nouveau « chat » ActNow de l’ONU, conçu pour donner aux gens le pouvoir et les connaissances nécessaires pour agir personnellement contre le changement climatique. De récentes études montrent que les 20 années les plus chaudes jamais enregistrées l’ont été au cours des 22 dernières années, et que les quatre années plus chaudes sont les quatre dernières annéesL’action climatique doit être multipliée par cinq pour limiter le réchauffement à 1,5°C, selon les scientifiques de l’ONU.

       António Guterres, le secrétaire général de l’ONU, a également pris la parole lors du sommet COP24. « Le changement climatique est plus rapide que nous et nous devons le rattraper le plus tôt possible avant qu’il ne soit trop tard », a-t-il déclaré. « Pour beaucoup de gens, de régions et même de pays, c’est déjà une question de vie ou de mort. »

       António Guterres a déclaré que ce sommet de deux semaines était le plus important depuis celui de Paris et qu’il devait prendre des engagements financiers fermes. « Nous avons la responsabilité collective d’investir pour éviter un chaos climatique mondial », a-t-il dit. Il a souligné les opportunités de l’économie verte : « L’action climatique offre une voie convaincante pour transformer notre monde pour le meilleur. Les gouvernements et les investisseurs doivent parier sur l’économie verte, et non la grise. »

       Andrzej Duda, le président polonais, s’est exprimé lors de la cérémonie d’ouverture, déclarant qu’utiliser le charbon avec une technologie « efficace » n’était pas en contradiction avec les actions en faveur du climat. La Pologne produit 80% de son électricité à partir du charbon mais a réduit ses émissions de carbone de 30% depuis 1988 grâce à une meilleure efficacité énergétique.

       Les Amis de la Terre ont déclaré que le parrainage du sommet par une entreprise de charbon polonaise « était un doigt d’honneur au climat ». L’un des principaux objectifs du gouvernement polonais lors de ce sommet est de promouvoir une « transition juste » pour les travailleurs des industries fossiles vers d’autres emplois. « Pour garantir le soutien du public à des réductions d’émissions à long terme, il est crucial de sauvegarder et créer des emplois durables dans des conditions décentes », selon une déclaration soutenue par l’UE qui pourrait être adoptée lors du Sommet.

       En prélude au Sommet, Donald Trump a nié l’existence du changement climatique, tandis que le nouveau gouvernement brésilien de Jair Bolsonaro s’en prenait au processus de l’ONU. Ricardo Navarro, des Amis de la Terre au Salvador indiquait : « Nous devons construire une alternative pour l’avenir qui soit basée sur une transformation énergétique juste. Nous sommes confrontés à la menace des populistes de droite et des dirigeants climato-sceptiques qui affaiblissent la protection du climat avec leur course effrénée pour exploiter les combustibles fossiles. Nous devons nous y opposer. »

       Un autre objectif du Sommet est un engagement accru des nations sur la réduction de leurs émissions de carbone ; en l’état actuel, on prend le chemin désastreux d’un réchauffement de 3 degrés. Le Premier ministre fidjien, Frank Bainimarama, qui avait dirigé le Sommet de l’ONU sur le climat de 2017, a déclaré que son pays avait revu ses ambitions a la hausse, déclarant lors du Sommet : « Si nous pouvons le faire, vous aussi en êtes capables. »

    Source : The Guardian, Damian Carrington

    Traduit par les lecteurs du site www.les-crises.fr. Traduction librement reproductible en intégralité, en citant la source.

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    Benoît Barvin

     


    2 commentaires
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     Pensées pour nous-mêmes:

    (BONHEUR DU JOUR:

    AVOIR FAIT CE QU'IL

    ÉTAIT JUSTE DE FAIRE)

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    "Qui a éteint la lumière?"

    https://www.demotivateur.fr/article/photo-image-cliche-ombre-lumiere-art-effet-idee-astuce-7344

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     https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-capitalisme-sinon-quoi-d-autres-190031

    Le capitalisme, un aller simple…

    sans retour possible

    Fabrice AUBERT

       Introduction : L’idée de ce papier est née d’un article lu sur un média classique  [1]. Mais avant que d’en parler, rappelons. Les humains de la « démocratie libérale » étaient confrontés à un système Stalinien dénommé URSS. La fin du « système soviétique  » devait ouvrir sur une période de paix et de prospérité partagée, du fait de la « mondialisation  » dite libérale…

       De fait, pour la paix, depuis le 11 Septembre, c’est foutu, conséquence du système lui-même. Il fallait bien substituer à la « lutte contre le communisme », de fait dissous depuis 1989, la lutte contre le terrorisme, nouveau adversaire à présenter aux peuples en vue de justifier les financements militaires.

       Quant à la prospérité des peuples, là encore, depuis le Krach de 2008, c’est aussi foutu… D’où la question suivante : « Dans une démocratie de marché », le retour est-il possible ? ou s’agit-il d’un « aller simple » sans aucun retour possible ?

       Du mur de Berlin au mur d’argent : Il n’est pas facile pour le communiste (et aujourd’hui insoumis) que je suis, de rappeler cet événement de la fin du mur de Berlin, non que j’ai soutenu ce mur, pour moi insoutenable, d’un point de vue humain, mais du fait du sens de ce que représente un mur… Mais la fin du mur de Berlin, c’est l’émergence « du mur de l’argent », dénommé de manière plus soft : « mondialisation  ». La « mondialisation  » n’est que le système économique de la « dictature de l’argent » [2] imposé aux peuples et dont les conséquences portent le nom de « chômage et précarité de masse », « désindustrialisation  », « pauvreté », « S.D.F  », « sans papiers, sans logements  » « migrations de survie permanente », « nomadisme salarial » etc…

       La renationalisation des autoroutes : Au-delà des « revendications-doléances » sur le prix des carburants et des taxes, à l’image de 1789, une des revendications des « gilets-jaunes » est celle de la « renationalisation des autoroutes » en vue d’éviter de devoir financer les profits de Vinci et de ses acolytes… La question devenant donc : Quelle réponse politique à cette doléance du « peuple des ronds-points » ? Pour celles et ceux qui ne connaissent pas leur histoire, rappelons ici qu’une des taxes imposée par « l’ancien régime » portait le nom d’octroi. Le « droit d’octroi » était une taxe payée par tous ceux qui rentraient dans la ville et elle fut développée sous Louis XVI, déclenchant des insurrections, du fait des mobilités déjà imposées [3]. A ce questionnement des taxes des péages privés, voilà donc la seule réponse politique « crédible  » ici analysée. La renationalisation des autoroutes serait…. Impossible.

       La « renationalisation impossible » ? Il ne s’agit pas d’une illusion idéologique mais la transcription exacte de ce que disent les « politiques » officiels actuels. Prenant conscience des abus des sociétés privées, enfin cette question est posée… Voilà à cette suggestion du « bon sens des ronds-points », la réponse politique apportée.

       Les réponses apportées : « ’Nous y avons pensé nous-mêmes lors du quinquennat précédent. Le problème d’une renationalisation c’est qu’elle coûte extrêmement cher et qu’elle suppose d’être indemnisée. C’est la raison pour laquelle nous ne pouvons pas revenir en arrière.’ [4] Un aveu d’impuissance de toute possibilité de retour en arrière sur les décisions antérieurement prises.

       Du fondement de la démocratie : La démocratie a une définition extrêmement précise. Il s’agit de la « souveraineté du peuple ». En termes pratique, si le peuple vote pour un choix politique qui lui semble correspondre à son « optimum économique et social », celui-ci doit être respecté et aussitôt appliqué [5]. Tout système qui empêcherait cette matérialisation, serait de fait par définition antidémocratique, pour ne pas dire plus. Que de fois dans l’Histoire du XXème siècle les « libéraux  » au nom de « la liberté du client »n’ont-ils reproché au « système soviétique », de ne pouvoir être changé… Or qu’a-t-on observé ?

       Dans le cadre des mobilisations de masse à l’Est, le mur de Berlin fut non seulement détruit, mais le système économique a changé, sans morts, sans charge des « Dark-vador » tout de noir vêtu… Et tout le système a basculé du « communisme d’Etat », au « capitalisme d’Etat », car la Russie de Poutine, n’est pas autre chose que du « Capitalisme d’Etat ». Sans Etat et puissance publique en Russie, il n’y aurait pas de puissance russe… qui fait si peur à l’occident et notamment à Trump…

       Comment appeler un système qui ne permet pas de revenir en arrière ? Si la démocratie permet de privatiser, alors, elle doit aussi en fonction des décisions du peuple souverain, pouvoir revenir sur ces privatisations et pouvoir renationaliser, si telle est la volonté du peuple. Voilà la vraie question. Si le citoyen inséré dans un système qui le dépasse, et qui considère qu’il ne peut plus comme citoyen intervenir dessus, en vue d’en modifier le sens, ce système porte le nom de dictature et déclenche de fait une révolution : « « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple le plus sacré et le plus indispensable des devoirs. » / Robespierre

       Le capitalisme est une dictature : Tant qu’il s’agit de « privatiser » en vue de permettre l’obtention des profits le « libéralisme » est favorable, pour ne pas dire enthousiaste… et plus si affinité. Dès lors que le choix démocratique consiste à exprimer l’inverse, à savoir la Renationalisation, alors le système, pour sa propre sauvegarde explique que c’est IMPOSSIBLE.

       C’est pourquoi le titre de l’article qui a déclenché cet article est : « ’Le problème d’une renationalisation c’est qu’elle coûte extrêmement cher’. En d’autres termes, si dans le cadre de la « démocratie de marché » aujourd’hui imposée, la « privatisation  » est possible, pour ne pas dire facilitée, le contraire est « impossible » au vu des « coûts engendrés » …

       Mais tout système qui empêche de revenir sur un choix antérieur porte le nom de dictature. Dans ce cadre, si le capitalisme est un système organisant le profit d’une minorité et que ce système est adopté par la majorité, les médias appellent cela « démocratie de marché », mais tout peuple qui oserait revenir sur ce principe, en serait de fait empêché par la comptabilité des apparences, forme de force centrifuge du système lui-même. En ce sens le capitalisme une fois établi est donc une dictature, car se définissant comme « un aller, sans retour possible ». Observons que cette définition était ce qui était attribué à l’époque, d’avant 1989 aux régimes appelés communistes…

       Et si c’était l’inverse ? à savoir qu’en effet le capitalisme est un système qui n’offre qu’un « aller simple » sans retour possible…ou en tout cas tellement cher à payer, qu’il dissuade le peuple d’oser même le penser (pas d’alternative) …expliquant en retour la « crise des gilets-jaunes » pour le coup tout autant « Révolutionnaire de l’impossible » que les « sans culottes de 1789 » …

    [2Du Capital mondialisé…

    [4Olivier Faure, actuel premier secrétaire du PS.

    [5A l’inverse du référendum de 2005 bafoué par Sarkozy au nom du « marché libre et non faussé ».

    URL de cet article 34309 
    https://www.legrandsoir.info/le-capitalisme-un-aller-simple-sans-retour-possible.html

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    Luc Desle


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    Pensées pour nous-mêmes:

    (LA MORT CHANTE

    TOUJOURS FAUX)

    ***

    "Fatiguée, Miranda?"

    https://i.pinimg.com/originals/1d/f9/79/1df979a04fb10a7e4eff6b8d9e09bfa2.jpg

    ***

    "T'as pas oublié quelque chose, Sophia?"

     

     https://www.pinterest.fr/pin/471400285993914751/

    ***

    "Heu... Le body painting, c'est pas tout à fait ça, Clara..."

     https://www.pinterest.fr/pin/308144799502224244/

    ***

    Blanche Baptiste


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  • µµµ

    Pensées pour nous-mêmes:

    (MOURIR NE SERAIT-IL

    QU'UN ÉPIPHÉNOMÈNE?)

    µµµ

    "Bang!"

    https://www.pinterest.fr/pin/521713938066623797/

    µµµ

    https://reporterre.net/Les-solutions-sont-necessaires-mais-elles-n-empecheront-pas-l-effondrement

    « Quand on sait » : la société industrielle

    face à son effondrement (Documentaire) 

       Quand on saitpremier film d’Emmanuel Cappellin, expose le gigantisme vertigineux de la société de consommation et son inexorable déclin. En réaction, le réalisateur essaye de cerner les nouveaux récits qui émergent et qui tentent d’expliquer les défis auxquelles s’expose l’humanité.

       Face à l’épuisement des ressources et au changement climatique, une nouvelle période, certainement marquée par l’instabilité, s’ouvre pour l’humanité. Le réalisateur Emmanuel Cappellin a essayé de comprendre les tenants et aboutissants de cette nouvelle ère en scrutant les réactions humaines face à ces perspectives inquiétantes.

       « Quand on sait » raconte le cheminement intellectuel de l’auteur, depuis le moment où, à bord d’un cargo, il réalise la fragilité de notre société et la possibilité que nous ayons dépassé des points de non-retour, laissant envisager la possibilité d’un effondrement global. Il fait dialoguer ses sentiments avec ceux de scientifiques reconnus, comme le climatologue Hervé Le Treut, ou l’ingénieur Jean Marc Jancovici en les interrogeant non pas tant sur leurs recherches que sur leurs émotions personnelles par rapport à la situation présente et la manière dont ils se préparent aux bouleversements à venir.

       Le réalisateur a commencé par faire des études au Canada en Sciences environnementales, un cursus qui privilégie une approche transdisciplinaire de la question, laissant aussi bien la place aux sciences dures qu’aux sciences humaines« Ces études m’ont permis de parler tous les langages des sciences environnementales », se souvient le réalisateur. Par la suite, il se forme au cinéma en Californie, avant de commencer sa carrière professionnelle en travaillant à la réalisation de documentaires, notamment auprès de Yann-Arthus Bertrand.

       Les origines de « Quand on sait » remontent à 2012. « Je voulais essayer de traiter du malaise ambiant qui grimpe ainsi que de nombreux récits qui émergent en parallèle », nous explique le réalisateur, qui voit dans ces récits l’un des points de cristallisation des futurs débats. « Ces différents récits sont en compétition. Chacun d’entre eux essaye d’expliquer ce qui nous arrive aujourd’hui, avec une recherche de sens très forte », poursuit-il. Ainsi de la « crise » des réfugiés, qui trouve des interprétations souvent opposées et à laquelle la société réagira de manière différente selon l’interprétation qui dominera les débats.

       Ramenés à la question écologique et plus précisément à la finitude des ressources, ces récits questionnent notre capacité à réagir de manière collective. « Le plus dangereux n’est pas la contrainte sur l’énergie, mais de le vivre dans une société extrêmement atomisée et individualisée », analyse Emmanuel Cappellin. La question qui se pose alors est la suivante : « Comment est-ce qu’on apprend à développement des aptitudes et des compétences qui nous permettent de nous adapter à une société en décroissance forcée ? ». En d’autres termes, les questions physiques doivent désormais structurer les débats si nous souhaitons y apporter une réponse crédible.

       Néanmoins, la discussion est rendue d’autant plus complexe que les question de la finitude des énergies et de l’empreinte environnementale ne sont pas les seules en cause. « Il y a deux questions qui se polluent mutuellement », résume le réalisateur : « il y a la question des limites, c’est-à-dire le gâteau que nous avons à disposition, et la question de justice, c’est-à-dire la manière dont on se répartit le gâteau ». Ce qu’il signifie qu’il est difficile d’obtenir de la sobriété – perçue par la majorité comme de la restriction – alors que notre société n’a jamais été aussi inégalitaire. À l’avenir, les décisions collectives seront certainement soumises à un difficile équilibre à trouver entre ces deux aspects. Avec cette interrogation au centre : serons-nous encore capable de faire société demain ?

       Avec « Quand on sait », Emmanuel Cappellin produit son premier long-métrage en tant que réalisateur. Une campagne de financement participatif est en cours pour permettre le montage final du documentaire. Quelques extraits peuvent d’ores et déjà être consultés sur le site du film. Mr Mondialisation est partenaire du film.

    https://mrmondialisation.org/quand-on-sait-la-societe-industrielle-face-a-son-effondrement-documentaire/

    µµµ

    Benoît Barvin


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