• "Endettée jusqu'au cou, cette tortue fut obligée de vendre son logement principal". Jacques Damboise in "Pensées de noeud-noeud".

    ***
    Pensées pour nous-mêmes:

    (TES PENSÉES SONT TES ENFANTS,
    ÉLÈVE-LES AVEC AMOUR)


    ***
    "Je cherche un certain Lindsay Owen-Jones,
    c'est pour régler définitivement un litige"

    Lindsay Owen-Jones attaque... 
    une baraque à frites
    (sal... de - sales - pauvres!)

       (...) L'ancien patron de L'Oréal, propriétaire d'un appartement au pied de la station de Val d'Isère a assigné en justice la gérante d'une baraque à frites pour "troubles au voisinage". (...)

       (...) "Pour des personnes fortunées, c'est sûr qu'une cabane à frites devant chez soi cela dérange, mais nous, nous sommes obligés de travailler pour gagner notre vie", proteste Valérie Maertens poursuivie devant le tribunal d'Albertville par l'ex-PDG du premier groupe mondial de cosmétiques (1988-2006).
       "Ils se plaignent du bruit et des odeurs de frites, mais si vous voulez être tranquilles vous n'achetez pas un appartement sur le front de neige", déplore la gestionnaire de ce chalet de 5m2 devant lequel une quarantaine de transats ont été installés pour accueillir la clientèle. (Voir l'interview de la propriétaire, sur le site d'Europe 1).
       Les copropriétaires reprochent à la commerçante le non-respect du code de l'urbanisme (pour des qui le violent à chaque fois qu'ils peuvent, c'est gonflé), ainsi que la violation des règles d'hygiène (ah, péter dans un bas de soie, c'est pas donné à tout le monde!). Ils demandent en cas de non-fermeture du chalet une compensation financière liée à la perte de valeur de leur bien (combien de millions d'euros?).
       Contacté par l'AFP, l'avocat de Lindsay Owen-Jones a refusé de s'exprimer. (...)


       Info relayée par http://www.pensezbibi.com/, blog que nous vous conseillons de visiter régulièrement. Vous ne serez pas déçus.

    ***
    « La fortune est aveugle 
    et l'argent n'a pas d'odeur, 
    disent des communs proverbes. 
    C'est pourquoi les financiers 
    s'efforcent de perfectionner 
    le toucher. »
     Paul Laffitte
    Extrait du Jéroboam 
    ou la finance sans méningite 

    "Moi... Chomp, chomp...
    quand je serai grand,
    c'est aux mamelles d'un pays
    que... Chomp, chomp...
    je m'abreuverai... 
    A m'en faire péter le ventre"

    ***
    La retraite en or d'Owen-Jones
    Laurent Mauduit 

       (...) Le groupe L'Oréal, ou plus précisément son ancien directeur général et actuel président du conseil d'administration, Lindsay Owen-Jones, qui arrive en tête de ce hit-parade, avec une retraite-chapeau qui culmine selon le magazine à 3,3 millions d'euros par an, devant le PDG de Danone Franck Riboud, qui touchera à sa retraite 1,8 million d'euros de rente annuelle, et celui d'Axa, Henri de Castries, dont la rente prévue, alors qu'il n'a que 55 ans, est de 1,1 million d'euros annuels. Derrière eux se trouvent le PDG du réassureur Scor et ancien numéro deux du Medef, Denis Kessler (800.000 euros annuels), l'ancien président de Sanofi-Aventis Jean-François Dehecq (779.000 euros) et Henri Proglio, qui outre une pension de 769.000 euros versés par Veolia Environnement, touche 1,6 million d'euros annuels comme PDG d'EDF.

       De ce classement transparaît donc deux grandes tendances. D'abord l'extrême boulimie des PDG français qui, malgré les pressions de l'opinion et les fausses interpellations de l'Elysée (et leur peu de réussite?), ne modèrent toujours pas leurs faramineuses rémunérations. Pour mémoire, le même Lindsay Owen-Jones a en poche la fortune absolument insensée de 360 millions d'euros en stock-options.

       Et puis surtout, l'affaire Bettencourt-L'Oréal révèlent la double caractéristique des plus grandes firmes françaises : en certains aspects, comme les stock-options ou les retraites dites chapeau, elles miment les travers les plus sulfureux du capitalisme anglo-saxon ; et puis, dans la vie ordinaire, elles n'en continuent pas moins à barboter dans les allées poisseuses du capitalisme de connivence parisien (mauvaise langue...)



    ***

    « Les financiers ne font bien leurs affaires 
    que lorsque l'État les fait mal. »
     Talleyrand

    "Moi, j'me la pète...
    L'Résident, y s'occupe de moi, 
    alors..."

    ***
    Fillon (qui?) 
    monte au front (de gauche?),
     avec une cote de confiance en chute
    (ça s'appelle un boulet, alors?)

    ELSA FREYSSENET

       (...) La chute est rude (désolé, j'ai pas de sparadrap pour vous). François Fillon est désormais tout aussi impopulaire que Nicolas Sarkozy selon le dernier baromètre CSA pour « Les Echos » (qui a dit "enfin"?). Pas moins de 61 % (c'est tout?) des sondés ne font « pas confiance » au Premier ministre « pour aborder efficacement les principaux problèmes qui se posent au pays », soit 7 points de plus que le mois dernier. 
       Le contingent de ceux qui lui font confiance (35 % à égalité avec le chef de l'Etat) a diminué de 6 points (re c'est tout?). La baisse est particulièrement sensible chez les ouvriers et employés, ainsi que chez les travailleurs indépendants (oh, surprise...). Les premiers sont sensibles (heu... "touchés par" serait plus exact) au chômage record, les seconds sont « traumatisés par la TVA sociale » ("assommés par " serait, là, plus judicieux), selon Jérôme Sainte-Marie, le directeur du département opinion de CSA. 
       Pour celui-ci, cette chute est aussi le signe que la différence de style entre les deux têtes de l'exécutif, qui a longtemps profité au Premier ministre, ne joue plus (ben, si le fond est le même, le style, hein?) : « François Fillon s'est banalisé ("a toujours été banal" serait plus exact), car il est entraîné dans la campagne (qui a ricané: "héhéhé"?). Il était le numéro deux de l'exécutif ; maintenant il est le numéro deux de la campagne de Nicolas Sarkozy. » 

    ***
    "Non, Messieurs, je ne m'ennuie jamais...
    Je travaille toujours, d'arrache-pied et...
    Comment ça, ça ne vous étonne pas?"


    Faire la grasse matinée 
    rend plus créatif

       (...) Une étude publiée en 2011 démontre en effet que pour les personnes qui ne sont pas du matin, c'est à cette période de la journée que le pic de créativité a lieu. En étant un peu endormi, notre attention est plus diffuse et amène notre esprit à vagabonder d'avantage, augmentant de ce fait la capacité à gérer les problèmes de manière originale... Annie Murphy Paul explique que c'est dans ces moments de rêverie que «les procédés mentaux qui inhibent les pensées déconcentrantes ou hors de propos sont à leur niveau le plus bas, ce qui permet à des connexions inattendues et parfois très inspirées de se faire.»
       D'où l'intérêt de ne pas se presser le matin, pour laisser notre esprit en errance nous rendre créatif (ouah! Juste ce que les gens de Tu Quoque font chaque matin...).
       En octobre, un article publié sur Wired montrait également, en se fondant sur plusieurs études scientifiques, que la rêvasserie est une source importante de créativité intellectuelle et artistique, sorte de mode «par défaut» du cerveau qu'il faut apprendre à maîtriser pour le développer.
       «Ce n'est pas l'ennui en soi qui compte, résumait alors Jonah Lehrer. C'est la façon qu'a l'ennui de nous amener à réfléchir. Quand les gens sont immergés dans la monotonie, ils tombent automatiquement dans cette forme très spéciale d'activité cérébrale», à mi-chemin entre rêve et réflexion consciente.


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    Benoît Barvin
    « "Cette femme voilée ne dévoilait jamais ses sentiments, qu'elle avait pourtant tendres". Jacques Damboise in "Pensées à contre-pet"."La montre du Monstre de Frankenstein n'était pas belle non plus". Jacques Damboise in "Pensées à contre-pet". »

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