• "Cette rangée de platanes aimait les calandres de voitures". Benoît Barvin in "Pensées pensées"

    ***
    Pensées pour nous-mêmes:

    (LA HAINE TE DONNE LA SERRURE
    MAIS PAS LA CLEF)

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    "Allez, Ouste! Seul Moi et ma clique
    avons le droit de vendre les objets
    du culte et la... hem... pensée y afférents!"


    Législatives : 
    Les cathos traditionalistes 
    tête de pont du FN ?

       (...) Des sites dirigés par des cathos traditionalistes multiplient appels et pétitions pour que candidats et électeurs de l'UMP votent Front National en cas de duel PS/FN. Leurs cibles : Les homosexuels et des députés UMP ou du Centre sortant jugés « non conformes ». (...)

       (...) Sur le site Nouvelles de France : « site internet 2.0 développé par des journalistes et des internautes de droite, libéraux et conservateurs » on peut lire et signer la pétition suivante : « La France est majoritairement à droite. (ah bon?) Les récentes élections présidentielles l’ont encore confirmé (re ah bon?). Malgré cela, le candidat socialiste l’a emporté. Pour une unique raison : les états-majors politiques de droite obéissent aux diktats de la gauche et des médias « bien-pensants » et refusent toute entente entre les différentes tendances de la droite française (ah, bon, c'est la faute aux z'ôtres, évidently...) (...) Il n’est pas tolérable que cette alliance, si facile à gauche, soit interdite à droite (...) 
       Nous vous demandons de constater qu’il existe plus de différence entre un homme de droite et un socialo-communiste qu’entre deux hommes de droite (même extrème? Dont on connaît le respect qu'ils et qu'elles ont pour le christianisme?) (...) 
       Électeurs de droite, nous vous demandons, à vous qui dirigez les formations politiques de droite, et qui êtes élus grâce à nous, de préférer l’entente à droite à l’alliance avec la gauche. Nous ne pouvons pas admettre que la France soit abandonnée à une minorité d’agitateurs sectaires et irresponsables simplement parce que les élus de droite préfèrent obéir à leurs adversaires que suivre leurs électeurs (...) » (...)

    Lire sur:

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    (La main de la Démocratie américaine
    se terminait par un doigt... Heu...
    d'honneur?)
    PROPAGANDE CONTRE DEUX JOURNALISTES : 
    L’AUTEUR TOMBE LE MASQUE
    RODOLPHE BARON
    [lu sur USA Today

       (...) Un mois presque jour pour jour après notre article sur Les barbouzes de l’e-reputation, l’auteur de la campagne de désinformation lancée sur le web contre deux journalistes américains du journal USA Today, Ray Locker et Thomas Vanden Brook, vient de se dénoncer sur son site personnel
       Camille Chidiac, actionnaire minoritaire et ancien PDG de Leonie Industries, une entreprise menant des opérations de type Psyops pour le compte de l’armée américaine, a avoué être à l’origine du dispositif de propagande dirigé contre les deux journalistes. Il dit avoir agi "indépendamment de l’entreprise" et du Pentagone, pendant un temps soupçonnés d’être à l’origine de la propagande. (oui, on le croit, bien sûr...) 
       Ray Locker et Thomas Vanden Brook avaient vu de faux comptes Twitter, de fausses pages Wikipédia et de faux sites en .com créés avec leurs noms alors qu’ils enquêtaient sur des entreprises privées sous contrats avec le Pentagone, dont Leonie Industries. 
       Le Pentagone, partenaire de Leonie Industries a fermement condamné "ce genre de comportement". Le secrétaire à la Défense, Leon Panetta, a demandé au ministère de "prendre les mesures appropriées". 
       En février dernier, USA Today rapportait que les programmes Psyops menés par le Pentagone en Irak et en Afghanistan faisaient l’objet de nombreuses critiques, notamment pour des questions économiques et parce que leur efficacité restait à démontrer.(...)


    Lu sur:

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    "Y'a encore des Canadiens dans la salle?"
    David Cronenberg sur «Cosmopolis»: 
    «le livre était prophétique, 
    le film est contemporain»

       (...) Dans son entretien avec Slate.fr, le réalisateur David Cronenberg revient sur sa découverte du livre de Don DeLillo, ce qui l'a convaincu de l'adapter au cinéma, les différences entre le livre et le film et son choix et sa direction d'acteurs. (extraits)

       (...) "Dans Cosmopolis, le dialogue porte entièrement le film, il y a pratiquement toujours quelqu’un en train de parler –c’est d’ailleurs un point commun avec A Dangerous Method, bien que les films soient par ailleurs très différents. C’est un défi, beaucoup de spectateurs aujourd’hui ne sont pas disponibles aux dialogues, aux idées, ils cherchent surtout une impression visuelle forte."

       / Que représentait pour vous l’univers de Don DeLillo?

       J’avais lu plusieurs de ses livres, Libra, Outremonde, Chien galeux…,j’aime beaucoup son travail, même si c’est très américain. Je ne suis pas américain, je suis canadien. C’est très différent. Les Américains et les Européens croient que les Canadiens sont des Américains un peu mieux élevés, un peu plus sophistiqués, mais c’est beaucoup plus compliqué.

       Au Canada, nous n’avons pas eu de révolution, ni d’esclavage, ni de guerre civile, ici seules la police et l’armée ont des fusils, nous n’avons pas du tout cet usage civil de la violence armée, et nous avons un sens très développé de la solidarité collective, de la nécessité d’assurer un minimum matériel à tous.

       Aux yeux des Américains, on passe pour un pays socialiste! Même si Michael Moore a exagéré: nous fermons nos portes à clef la nuit… Mais nous sommes sans doute plus proches de la France que des Etats-Unis à bien des égards, et c’est très curieux pour les Américains.

       Quand j’ai travaillé avec des producteurs américains, ils croyaient que ce serait pareil à Toronto qu’aux Etats-Unis, ils ont découvert que pas du tout! Il m’est arrivé de refuser des scénarios qu’on me proposait parce qu’ils étaient trop américains pour moi, je n’étais pas la bonne personne.

       J’ai pu faire History of Violence parce que cette histoire se situe sur un plan mythologique, ça fonctionne à peu près comme un western, mais une histoire réaliste aux Etats Unis me serait difficile. Le cas des livres de DeLillo est différent, il a une vison de l’Amérique que je peux comprendre, parce qu’il me la rend compréhensible, et avec laquelle je me sens en affinité. (...)
    Lire l'entrevue sur:

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    "Oui, Monsieur, cette liqueur 
    vous donnera du coeur à l'ouvrage...
    Son nom? Fuego in your ass...
    - Ah???"


    ***
    Benoît Barvin
    « "Lassée de sa mauvaise réputation, la Mort, parfois, ratait son coup". Jacques Damboise in "Pensées à contre-pet""Dans la Vie y'a des hauts et des bas et, parfois, c'est encéphalogramme plat. Mais là, alors, c'est que t'es mort". Benoît Barvin in "Propos de mes Voisins" »

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