• "La tête du Monstre de Frankenstein ne nous revenait pas". Jacques Damboise in "Pensées circonstanciées".

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    Pensées pour nous-mêmes:

    (PENSE CHAQUE JOUR

    QUE TU PENSES)

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    "Je t'ai dit 100 fois d'engager un professionnel... Tu n'es pas

    doué pour le travail manuel.

    Combien de fois dois-je le répéter?

    - Mal... Mal..."

    http://darkbeautymag.tumblr.com/post/143844120489/photographermakeupmodel-bryn-dc-bryndc

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    sjbm.wordpress.com

    Les labos pharmaceutiques

    vous draguent sur les réseaux sociaux

       Si dans votre entourage quelqu’un souffre d’une maladie chronique ou d’un cancer, vous avez sans doute atterri un jour ou l’autre sur Voix des patients ou La Chaîne Rose. Vous y avez lu des conseils ou des témoignages qui vous ont peut-être aidés. Vous vous êtes mis à suivre les publications de leurs pages Facebook. Mais vous n’avez peut-être pas relevé que derrière ces deux sites se trouvent les laboratoires Roche.

       Si c’est plutôt l’arthrose qui vous intéresse, vous avez de grandes chances d’avoir découvert Arthrocoach. Un site que l’on doit, cette fois, aux laboratoires Expanscience, et qui se prolonge sur Facebook et surYouTube

       De son côté, Arkopharma investit les réseaux sociaux et interroge les internautes à propos des vertus des plantes par l’intermédiaire de jeux-concours tandis que Biogaran s’est lancé dans la web série  : «  Avec les génériques, y’a pas de hic  ». (...)

       (...) Avec toutes ces initiatives, les laboratoires tentent de reprendre la main face aux patients consommateurs qui n’hésitent plus à promouvoir ou à dénigrer des médicaments sur les forums ou à suggérer un nouveau traitement à leurs médecins.

       Et puis, estime Caroline Faillet, codirigeante de Bolero, un cabinet de conseil en stratégies digitales : «  Ils tentent de se mobiliser face aux scandales sanitaires qui les ont affectés. La plupart sont dans une démarche purement corporate où il s’agit de soigner leur e-réputation.  »

       A l’entendre, les laboratoires se servent avant tout des réseaux sociaux et des sites de patients pour redorer leur image. (...)

       (...) Une stratégie dont se défend la directrice des relations institutionnelles de Roche, Véronique France-Tarif   : «  Le Web ne sert pas à nous donner une coloration positive. Je pense que les patients ne sont pas méfiants envers l’industrie pharmaceutique, ils sont conscients de ce qu’on peut leur apporter. »

       Compte tenu de la réglementation sur la promotion des médicaments, l’offensive de l’industrie pharmaceutique sur le Net français restera de toute façon limitée. Selon Caroline Faillet, les laboratoires « ont peur d’être suspectés de prescription déguisée ».

       Depuis deux ans, une charte de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) encadre les activités de promotion des producteurs de médicaments sur le Net. [PDF]

       L’agence assure «  être en mesure d’intervenir sur saisine ou si elle repère des pratiques litigieuses de sociétés pharmaceutiques  ». Mais elle ne possède pas de réel pouvoir coercitif et ne peut qu’«  alerter par des rappels ou des mises en garde les hébergeur de forums sur la santé  ».

    http://rue89.nouvelobs.com/2016/05/04/les-labos-pharmaceutiques-draguent-les-reseaux-sociaux-263946

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    Benoît Barvin

    « "Il avait une tête de bricolo du samedi soir, le Monstre de Frankenstein". Jacques Damboise in "Pensées circonstanciées"."Le roi des chocottes, il est pas très courageux", m'affirma le fils de Monsieur de la Palice". Jacques Damboise in "Pensées circonstanciées". »

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