Le 19 mars 2018, le grand-duc (sic) Henri du Luxembourg et son épouse étaient reçus à l’Élysée pour un dîner d’Etat.
Brigitte Macron, robe crème « prêtée » (sic) par Vuitton (= LVMH, Bernard Arnaud, le milliardaire qui gagne 780 €/seconde), escarpins assortis, cheveux relevés en chignon, yeux maquillés comme une BMW volée, zygomatiques coincés en position extension maximale, resplendissait aux côtés du président français, (maquillé discrètement, comme les comptes de campagne de Sarkozy) qui avait opté pour un costume noir de banquier et « en même temps » pour un début de calvitie frontale.
Parmi les invités, Laurence Ferrari (maquillée comme une voiture éponyme volée) et Stéphane Bern (maniéré comme un mignon d’Henri III et maquillé comme un carrosse volé à Chambord), sans lesquels la servilité des médias et les charmes des royautés seraient méconnus.
Bref, une belle soirée où la France a vendu des Airbus et des TGV et où a été valorisé le concept de République, ciment de notre pays, gage de paix civile, de liberté, d’égalité et de fraternité.
Théophraste R. (Président du Comité pour la garde à vue des complices français du paradis fiscal luxembourgeois).