• "Ces fanatiques musulmans hurlèrent au blasphème quand certains de leurs confrères les traitèrent de casse-c...". Jacques Damboise in "Pensées vraiment z'énervées".

    ***
    Pensées pour nous-mêmes:

    (DIRE LE VRAI EST DIRE
    AUSSI LE FAUX)

    ***

    (Femme voilée dévoilée
    dénudant un poulet
    de manière honteusement
    blasphématoire)



    Inga Loyeva

    ***

    "Oh, Mon Dieu, non... Je ne peux pas me marier
    avec elle... Ca ferait de moi une non cannibale...

    C'est contre toutes les traditions de ma tribu"

    Emmanuelle 5
    revue-ganymede.fr

    Vous oubliez le cannibalisme, 
    Monseigneur !
    Charles Arambourou

       (...) Monseigneur Barbarin, archevêque de Lyon, vient de couvrir l’épiscopat catholique de ridicule en déclarant que le mariage homosexuel ouvrirait la voie à l’inceste, ou à l’union à trois ou quatre. Pourquoi pas le cannibalisme, et, tant qu’on y est, la zoophilie ?

       Voilà où peuvent tomber ceux qui prétendent faire du mariage – procédure en voie de désuétude – un « enjeu de civilisation » (pas moins !). Un peu de sérieux, Monseigneur, l’amour et l’égalité des couples, ça se respecte.

       Mais, au-delà du dérapage verbal largement dénoncé, il faut rappeler une fois de plus que le mariage est un acte civil, depuis la Révolution française, et que la République est laïque. C’est-à-dire que « la première page de la Bible », invoquée par Mgr Barbarin, n’a pas voix au chapitre  (pas plus que la Torah ou le Coran...): qu’il la réserve à ses ouailles, c’est la liberté de culte. Mais qu’il l’oublie pour le débat citoyen. Le Parlement fait la loi : ce n’est certes pas « Dieu le Père », mais – excusez du peu – la volonté générale, la souveraineté du peuple.

       Que chaque culte ouvre ou non le mariage religieux à tous les couples, c’est son affaire – affaire privée. Que la République mette en place le mariage civil pour tous, c’est une affaire publique, dans laquelle les dogmes religieux particuliers ne peuvent d’aucune manière intervenir. (...)


    ***

    (Portrait de l'Homme à la Casquette de Travers,
    le fameux tueur des rues nauséabondes)

    Gerard Petrus Fieret-By Kees Breukel


    ***

    "Hou les z'amoureux! Hou les z'amoureux!
    - Dès qu'elle a le dos tourné, je leur
    éclate la tronche, à ces guignols"


    Montée des périls : des esprits mûrs 
    pour la grande déflagration
    Le Yéti

       (...) Les choses se sont brutalement accélérées. Parties de petits riens, éternelles étincelles stupides qui mettent le feu aux poudres. Ici, un film tocard contre l’islam, des émeutes incendiaires, des réactions disproportionnées ; là, une dispute de deux mastodontes asiatiques pour des îles dérisoires... Et un terreau désormais propice : des esprits bien mûrs pour la grande déflagration.

       L’implacable engrenage que l’on voit se mettre en place aujourd’hui est en réalité sans surprise. C’est toujours ainsi que cela se passe. La montée des périls vers les déflagrations guerrières est en voie de finalisation lorsque les cerveaux se mettent en état d’acceptation, sinon de demande.

       Les esprits se rétractent, se rangent en deux camps binaires d’où le moindre souci des nuances est balayé par la fureur des imprécations contre le camp d’en face. Il est exigé de choisir son camp. Qui n’est pas du mien est de celui d’en face. Alors quand ce dernier forme un « bloc compact ethnocentré », vous pensez !

       Certains, que vous croyiez de vos amis bien tempérés, basculent soudainement dans un des camps, conscience et mâchoires crispées, nouant des alliances que vous pensiez jusque-là obscènes, justifiant l’injustifiable. C’est parti dès lors que ceux-là commencent à évacuer la qualité douteuse des réponses au prétexte que les questions posées sont bonnes.

       Un petit prétexte de rien du tout suffit à révéler l’effrayante progression du sinistre. Une égérie du microcosme renvoyée à son microcosme comme un vulgaire chanteur sous un banal jet de tomates, par exemple. Mais lisez donc le fil des commentaires qu’une telle affaire déclenche. Glaçant. De part et d’autre. (...)

    Lire la suite sur:


    ***
    Luc Desle (avec le concours éclairé et blasphématoire de Jacques Damboise)
    « "Par dérision, Dracula, complètement pété, exigeait qu'on l'appelle le Roi des Pieux". Jacques Damboise in "Pensées contrites""Grâce à son piano, il avait quelques touches". Jacques Damboise in "Pensées à contre-pet". »

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :