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    Pensées pour nous-mêmes:

    (LE MAÎTRE PARLE
    LA  LANGUE DE L'ESPOIR)

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    "S'il vous plaît... Qui voudra bien me lier
    les poignets? J'ai tellement envie de
    faire un truc politiquement incorrect,
    pour une fois..."


    (Source : yournaoko, via lightthroughrain)

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    bebesante.fr

    Crèches :

    pourquoi on ne saura jamais
    ce que respirent nos enfants
       (...) Les maires lui avaient accordé « le deuxième prix des normes absurdes ». Alors Ségolène Royal l’a enterré. Le décret adopté en 2011 et qui prévoyait la surveillance obligatoire, à compter du 1er janvier 2015, de la qualité de l’air intérieur dans les crèches et les maternelles, a été repoussé, a annoncé mercredi le ministère du Développement durable dans un très bref communiqué. Officiellement, donc, il n’a pas été supprimé. Officiellement seulement.

       Le décret ajourné précisait que « la surveillance de la qualité de l’air intérieur comporte une évaluation des moyens d’aération des bâtiments et une campagne de mesure de polluants ». L’idée était de procéder, une fois tous les sept ans si tout va bien et tous les deux ans en cas de dépassements des valeurs limites, à la mesure des taux de formaldéhyde, de benzène et de CO2 que les enfants sont susceptibles de respirer quand ils se trouvent dans un établissement d’accueil. Ensuite, progressivement, cette obligation devait être élargie jusqu’en 2023 à tous les établissements accueillant du public. (...)

       (...) « Les enfants en contact avec ces substances cancérigènes présentes en trop grandes quantités peuvent en subir des conséquences à long terme », alerte Andrée Buchmann, présidente de l’Observatoire de la qualité de l’air intérieur (Oqai) et vice-présidente de la Communauté urbaine de Strasbourg. L’Oqai a d’ailleurs publié en avril dernier, avec l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses), une étude évaluant à 20 000 le nombre de décès liés, chaque année en France, à la pollution de l’air intérieur, pour un coût de 19 milliards d’euros annuels.

       Toutefois, malgré « cet enjeu sanitaire de premier plan », l’élue alsacienne d’Europe Ecologie - Les Verts comprend la décision ministérielle de reporter ce décret, qui était devenu « une usine à gaz » :« D’abord, ce sujet de la pollution de l’air intérieur n’est pas considéré par les édiles municipaux comme vraiment important. Ensuite, avec les nombreux changements à la tête des villes qui ont suivi les municipales, de nombreux maires de petites communes n’étaient même pas au courant de cette obligation imminente et ne l’avaient donc pas budgétée. » Or, le montant à débourser pour les mesures de surveillance, par établissement d’accueil de la petite enfance, est évalué à environ 3000 euros. (...)

       (...) L’annonce du report a été accueillie avec satisfaction par l’Association des maires de France (AMF), qui la demandait. « Ce décret engageait des dépenses supplémentaires pour des évaluations pas forcément nécessaires. En effet, une étude pilote déjà menée dans 300 crèches de France a révélé que très peu ne respectaient pas les normes, car de nombreuses communes adoptent déjà des bonnes pratiques comme aérer les pièces et utiliser des produits d’entretien respectueux de l’environnement, pour éviter les polluants de l’air », explique Elisabeth Laithier, en charge des questions de la petite enfance à l’AMF.

       L’adjointe au maire de Nancy se félicite de ce que le gouvernement « offre une porte de sortie aux élus ». En fait, il s’agit plutôt d’un abandon du décret déguisé : « Le cabinet de Ségolène Royal nous a expliqué ce jeudi matin que les collectivités qui s’engageront à suivre des préconisations inscrites dans un guide de bonne pratique seront exonérées de l’obligation de mesurer la qualité de l’air », explique-t-elle. Dans ces conditions, quel élu opterait pour le coûteux relevé de mesures ? Ce guide, décrit par le ministère dans son communiqué comme « une décision simple, pragmatique qui concilie qualité de l’air et simplicité des actions », est actuellement en lecture au Conseil d’Etat. Il pourrait être publié par décret à la fin du mois d’octobre, début du mois de novembre selon l’élue. Le ministère du Développement durable, joint par Terra eco, n’a pas répondu à nos sollicitations et n’a donc pas donné plus de détails sur ce point.

       A l’Association pour la prévention de la pollution atmosphérique (Appa), qui sensibilise les personnels des crèches aux gestes simples pour réduire la pollution de l’air intérieur, « on tombe des nues » devant ce qui est perçu comme une reculade ministérielle. Remise de sa stupeur, Elodie Lapierre, chargée de projet à l’Appa, se souvient qu’en effet, les maires avaient à plusieurs reprises soulevé la question du coût de ces mesures réalisées par des entreprises certifiées : « Ils disaient que, de toute façon, trop peu d’organismes étaient accrédités pour que la réglementation puisse entrer en vigueur au 1er janvier 2015. » (...)

       Mais pour ces entreprises qui ont formé leurs salariés et financé leur certification, le coup est rude.« Pour elles, le marché s’effondre d’un coup, alors que la filière aurait pu se développer et créer de l’emploi », reconnaît Andrée Buchmann, de l’Oqai. Ce qui risque de leur passer sous le nez ? Un marché de 300 millions d’euros environ selon nos calculs, si l’on ne compte que les établissements d’accueil du jeune public, de la crèche au second degré en passant par les centres de loisirs.

       Elisabeth Laithier, qui admet « botter en touche » sur ce point délicat, préfère mettre en avant les économies indirectes que cette mesure permet de faire aux parents : « Non seulement les parents sont beaucoup plus sensibles à la question de la nourriture de leurs enfants qu’à la qualité de l’air qu’ils respirent, mais en plus ils comprennent que l’argent du maire se termine toujours en impôts. »


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    "Monsieur Goodfellow! Nous ne sommes pas contents!
    Vous avez volé une gomme à Monsieur Greenstreet!
    Ce n'est pas bien ça!
    - J'm'en fiche! C'est pas moi!"


    Norman Rockwell

    ###
    Luc Desle

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  • °°°
    Pensées pour nous-mêmes:

    (LE CORBEAU
    N'EST PAS UN CHAROGNARD)

    Pcc Jacques Damboise in
    "Maximes à l'envers"

    °°°
    "Un chapeau? Où ça?"


    Marcos Milewski (1959) is a painter of Polish origin
     and Argentinian-French nationality.


    °°°
    "Vous aimez mon nouveau soutien-gorge?"



    by Davide Franceschini


    °°°
    "Bon Dieu de Cupidon de mes fesses!
    - Héhé, tu l'as raté!"


    William Dyce (British, 1806 - 1864)


    °°°
    "Qu'est-ce que tu fais?
    - J'enterre le Parti Socialiste bien profond.."


    Pierre Subleyras (November 25, 1699 – May 28, 1749)


    °°°
    Blanche Baptiste (avec Jacques Damboise)

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  • ***
    Pensées pour nous-mêmes:

    (NOURRIS-TOI DE SAGESSE)

    ***
    "Comment qu'tu trouves mes tresses?
    - Heu, très jolies, vraiment..."



    ***
    "Orgasmus?
    Quésaco?"




    VU DE TURQUIE

    Comment Erasmus 
    est devenu Orgasmus


       (...) "Le scandale Erasmus", c'est avec ce titre que Yusuf Kaplan – intellectuel proche de l'AKP et éditorialiste du très pro-gouvernemental quotidienYeni Safak – évoque le programme d'échange d'étudiants de l'Union européenne auquel la Turquie est partie prenante.

       "Ce projet d'échange appelé Erasmus, plutôt que de développer les facultés intellectuelles des jeunes générations transforme en réalité celles-ci en esclaves de l'hédonisme et du nihilisme en relativisant toutes les valeurs", écrit Yusuf Kaplan.

       "Ainsi un million d'enfants seraient nés de relations illégitimes entre étudiants Erasmus [un chiffre un peu exagéré, comme le note cette analyse de Libération]. Peu importe le nombre, même si ce n'est que cent mille, c'est déjà un scandale. Certains étudiants européens ont d'ailleurs donné à Erasmus le nom d''Orgasmus'. La situation est donc vraiment grave ! Erasmus est un projet suscitant la dégénérescence et visant à créer une masse d'idiots idolâtrant le sexe. C'est un programme visant à fabriquer une générations de païens globalisés sans racines. Il conviendrait donc de réfléchir à nouveau à ce projet."


    ***
    "Dis-moi, Chéri...
    Tu veux que je te montre mon Erasmus?"




    Intox. 
    La Commission a largement extrapolé 
    ses chiffres sur le programme 
    d’échange universitaire.


       (...) Un million de bébés nés grâce à Erasmus… Cette information-mignonne-tout-plein a été publiée en début de semaine par la Commission européenne. Relayée par tous les médias, elle a été adorée par les lecteurs, c’est l’un des articles les plus partagés cette semaine sur le site de Libé. Un coup de pub énorme pour le programme d’échange universitaire européen, créé en 1987, qui a bénéficié à 2,5 millions d’étudiants et souvent présenté comme l’une des plus grandes réussites de l’Union européenne. Enthousiaste, la Commission remet le paquet, en lançant lundi Erasmus +, s’adressant non plus aux seuls étudiants, mais aussi aux apprentis et aux enseignants. En France, plus de 500 000 personnes devraient bénéficier de bourses pour financer leur échange d’ici à 2020.

       (...) C’est dans ce contexte qu’a été publiée une étude d’impact vantant les effets bénéfiques du programme à tous les niveaux. Sur l’emploi d’abord : «Avec une expérience internationale, les diplômés risquent deux fois moins de devenir chômeurs de longue durée que ceux qui n’ont pas étudié ni suivi de formation à l’étranger.»

       Et sur la sphère personnelle. Erasmus «procure les liens sociaux», nous dit-on : 1 million de bébés, vous vous rendez compte ! On imagine ces couples heureux racontant à leur enfant leur belle rencontre dans une auberge espagnole à la Klapisch, avec, en fond, du Bob Marley à la guitare… Au risque de casser l’ambiance, le «million de bébés», c’est du pipeau. Démonstration.

       (...)  On s’est farci les 229 pages de l’enquête mise en ligne sur le site de la Commission. Il n’est jamais question de bébés. D’où sort donc ce chiffre ? D’un communiqué, où il est précisé que, «selon les estimations de la Commission, environ un million de bébés sont vraisemblablement nés de couples Erasmus depuis 1987». Interrogée, celle-ci confirme : «Ce chiffre n’est pas inclus dans l’enquête, c’est une extrapolation…» A partir d’une donnée piochée dans l’étude, 27% des «anciens» étudiants Erasmus ont rencontré leur conjoint actuel (qu’il soit de la même nationalité ou pas) pendant leur séjour à l’étranger. Si on applique ce pourcentage aux 2,5 millions de personnes ayant fait Erasmus, on arrive à 675 000 personnes. Vous multipliez le tout par 1,6 (le nombre moyen d’enfant par femme dans l’UE)… Tadam, le million de bébés Erasmus !

       Sauf que l’extrapolation présente des biais. L’échantillon n’est pas aussi important que présenté. Certes, l’enquête se base sur 78 891 questionnaires recueillis à travers 34 pays. Mais seuls 18 618 ont été remplis par des «anciens» étudiants, parmi lesquels 83% (15 450) sont partis à l’étranger (dans le cadre d’Erasmus ou pas, d’ailleurs). Donc, le calcul de la Commission repose sur 27% de 15 450, soit 4 170 personnes vivant avec un conjoint rencontré à l’étranger…

       (...) Autre hic, l’âge de l’échantillon. L’enquête ne donne pas d’indication, si ce n’est l’année de diplôme de ces anciens : après 2009, pour plus de 80% d’entre elles. Donc pour que l’extrapolation tienne la route, cela suppose que les couples formés par la magie d’Erasmus se reproduisent plutôt jeunes… Par ailleurs, ce que la romantique Commission oublie de souligner, c’est que le programme produit plus de célibataires que de couples… 64% de ceux passés par la case Erasmus vivaient seuls au moment de l’étude, contre 40% pour ceux jamais partis (3 163 interrogés).


    ***
    Luc Desle

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  • %%%
    Pensées pour nous-mêmes:

    (LE DÉSIR EST SOUVENT
    UN FAUX-AMI)

    %%%

    (Tous le désignaient comme coupable d'avoir
    souri dans cette mosquée)


    Igor Morski (b. 1960). Polish


    %%%

    (Les lendemains de fête de la Duchesse Moldova
    étaient difficiles...)


    Lev Tchistovsky ~ Classical painter.
     Лев Чистовский [1902-1969] was born in Pskov, Russia.


    %%%

    "Bon... J'ai fait rimer Amour avec 'Balourd'?
    Non... 'D'un Jour'? ... Ça ne me dit rien...
    'Vautour'? 'Tambour?' 'Topinambour'?
    Saleté d'Alzheimer!"


    Hugues Jean François Paul Duqueylard (French, 1771-1845)


    %%%

    "Ben oui, j'remplace ma fille... Y'a un problèm?"


    Lucian Freud / ? / ?

    %%%
    Blanche Baptiste

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  • £££
    Pensées pour nous-mêmes:

    (AVANCE EN TOUTES CIRCONSTANCES
    LE SOURIRE AUX LÈVRES)

    £££

    "Ladies and Gentlemen... Approchez-vous
    de la Femme-Miroir... N'ayez pas peur
    de l'apparence qu'elle va vous révéler!"




    £££

    "Et cette infâme corruption qui...
    - Rompich...
    - Je dis la même chose...
    - Moi itou..."


    Honoré Daumier

    LA CORRUPTION 

    Le point commun aux incultes,
    analphabètes et autres illettrés

    Auran Derien 

       (...) La corruption est une méthode. Elle est systématisée par les financiers mondialistes car elle simplifie leurs affaires. Ou on achète la personne ou on la tue. L’acheter est d’autant plus prisé que la fabrication de dollars ne coûte rien. C’est quelque chose, ça….Un grand succès. (...)

       (...) Les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) sont parfaitement intégrés à la chaîne sans fin de la corruption. L’Inde a été gangrenée par les Britanniques qui utilisaient toutes les méthodes possibles, notamment l’endettement pour contrôler les petits royaumes qui en constituaient la structure politique. La Chine a une longue tradition mafieuse, au cours de laquelle les triades passent des accords politiques avec les autorités selon la région et l’époque. Brésil et Afrique du Sud connaissent le parasitisme institutionnel. L’oligarchie y est kleptocratique depuis fort longtemps. Se développe aussi la corruption légitime, justifiée si elle sert le clan ou la tribu, comme dans les pays musulmans et dans toute l’Afrique.

       A la grande époque de l’Europe, les groupes mafieux savaient qu’ils ne pouvaient accéder au pouvoir, seulement rester dans son ombre. L’Etat possédait assez de force pour limiter ce phénomène. Son personnel se recrutait dans une atmosphère plus marquée par l’honneur et la probité.

       Le changement d’époque est venu d’Italie. La mafia y avait été installée durant la seconde guerre mondiale par les forces américaines. Puis la corporation des politiciens n’offrit plus assez de services pour les charges qu’elle imposait aux membres de “l’honorable société”. Il semble que les groupes mafieux aient décidé de tenir les rênes pour s’adonner à l’économie du monde avec délectation.  Alors que les pays non alignés disposaient encore, dans les années soixante, comme l’Europe , d’une élite cultivée et digne, les coteries se sont désormais constituées. L’Europe est aujourd’hui une fédération faillie.

       Dans les temps que nous avons vécus, il se présentait parfois des cas de collusion entre les voyous et les gens de l’Etat. Mais la plupart des experts considèrent que nous avons dépassé cette phase. Aucune affaire, sauf le petit commerce ou l’artisanat, ne peut se réaliser sans la protection d’un parti, d’une administration, d’une secte ou d’un gang. De Tapie avec Christine Lagarde à Chirac et Delanoë en tant que maires de Paris, en passant par les associations redistributrices et les faux cabinets pour études bidons, toute l’Europe baigne dans ce monde ignoble. (...)

       (...) Plus la finance parasitaire détruit l’industrie, transformant l’Europe en un gigantesque bidonville où le tourisme seul crée des emplois, plus les circuits de la drogue et leurs dirigeants acquièrent de l’importance pour maintenir la population dans un état de léthargie qui évite quelque rébellion que ce soit.

       La richesse des oligarques tout comme le niveau de vie de la corporation politique passent par une intense activité de commerce de marchandises “stimulantes”. Avec les bénéfices de ces activités, tant les corps de police que les magistrats s’arrosent et ainsi, lentement mais sûrement, toute l’Europe s’enfonce dans le néant ou, ce qui en est proche selon les critères de la civilisation, dans des accumulations de ghettos où des gens de toutes sortes vivent de trafic, se satisfaisant de cette vacuité. Le point important est de voir avec lucidité comment des intérêts étrangers manipulent ces ghettos contre les Européens et comment les minables pions placés dans les postes de direction alimentent en subventions les gangs de ces zones afin qu’ils restent tranquilles.

       Même la recherche scientifique a cessé d’obéir aux critères qui, depuis les Grecs, lui ont assuré sa place et l’attention des grands esprits. Alors que sa finalité est le VRAI, une proposition expliquée ou comprise, l’intervention de la finance a éliminé peu à peu les vérifications gênantes, voire la falsifiabilité. Les dogmes et les escroqueries intellectuelles comme celles de Marx, Freud, … qui peuvent tout justifier ont détruit la science pour la mettre au seul service du gain. Il est douteux que d’autres groupes humains aient la liberté de faire de la bonne science dans les années à venir.

       La chute de l’Europe signe la victoire des barbares mercantiles. Ainsi que ne cesse de l’affirmer Xavier Raufer, Christian Harbulot et quelques autres autres observateurs, la loi du plus fort est déjà revenue sur le devant de la scène. Entre les trans-nationales, les banquiers, les obsédés de la contrefaçon, les oligarques, les mercenaires, les terroristes et les mafias, la corruption est la norme et les critères sont les mêmes: un taux de profit et la prétention à renaître pur en paroles.

       Emmanuel Macron, Ministre de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique est un forban parmi d’autres. Il tient sa place dans la chaîne des (étrons)… pardon… dans la chaîne des marchandises…. Il est le modèle idéal des aliénés : sourire béatement indifférent aux scandales, aux turpitudes, aux consciences vendues ou à vendre. Il a le vice du parasite financier, vice d’une époque sans grandeur, sans originalité, accumulant les travers de toutes les autres époques par obsession quantitative…. (...)


    £££

    (La Femme qui avait mangé son chapeau,
    devait à présent s'attaquer à son
    horrible natte)



    £££
    Benoît Barvin

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  • °°°
    Pensées pour nous-mêmes:

    (LES ANGES SONT TES
    FRÈRES ET TES SŒURS)

    °°°
    René Giffey
       René Henri Giffey (Paris 8 mars 1884 - Arcachon 1er septembre 1965 ) est un dessinateur français, illustrateur de livres et de magazines et auteur de bandes dessinées. Il fut dans ces domaines l'un des artistes les plus prolifiques de la première moitié du xxe siècle, auteur d'une œuvre immense en plus de cinquante ans de carrière.(...)

       (...) Formé à l'École nationale supérieure des arts décoratifs et à l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris, résidant rue Turgot, il débuta sa carrière comme illustrateur de revues pour la jeunesse ( Saint Nicolas et L'Écolier illustré ) et de livres scolaires de la maison d'édition Delagrave en 1904. Dès 1908, il commença à travailler pour Arthème Fayard tout en présentant des spectacles d'ombres chinoises dans des cafés de Montmartre. Mobilisé en 1914, il participa à la campagne d'Italie en 1917 et collabora au journal des tranchées Face aux Boches. Il sera l'une des innombrables victimes des gaz de combat. Après-guerre, il se lança un moment dans la restauration de peintures d'églises avant de commencer sa longue collaboration avec la maison Offenstadt (devenue par la suite le Société parisienne d'édition ou SPE ). Ses dessins apparurent ainsi dans les magazinesFillette, Cri-Cri, L'Épatant, Le Petit Illustré, l'As, Hardi! et Junior.

       Sa carrière d'auteur de bande dessinée débuta avec la publication de L'Espiègle Lili - en collaboration avec Jo Valle et succédant à André Vallet - en 1921-1923 dans le magazineFillette et se poursuivra avec Ninette et Cloclo, M. Dupont, Détective, Nigaude et Malicette. Au fil des ans, son style fin, fluide et dynamique s'affirme - en particulier son type de personnages féminins, « Pin-ups avant la lettre », qui devient très caractéristique. C'est à cette époque d'ailleurs qu'il débuta aussi son travail d'illustrateur d'ouvrages érotiquesfétichistes, notamment pour le roman Éducatrice de Joan Spanking et pour la Librairie Générale et L'Almanach de l'Humour. Ce genre - dont il fut le "pendant français" de John Willie - deviendra étonnamment un des aspects majeurs de son œuvre ... avec l'illustration d'ouvrages scolaires et de Littérature d'enfance et de jeunesse.

    Dans les années 1930-1940 parurent Les Frôle-la-Mort (dans Boum), Jean Lion le Spahi (L'As) ou encore Les Assiégés de Médine (Junior). À partir de 1941, il travailla pour Del Duca (Éditions Mondiales) - dont il produisit les collections principales - tout en contribuant à des collections de poche comme L'Aventure, L'Audacieux, Hurrah !, etc.

       Après-guerre, il débuta une série de bandes dessinées inspirées de grandes figures du roman populaire pour Fillette : Le Capitaine Fracasse, Les Compagnons de Jéhu, Cinq-Mars et bien d'autres. En 1948, il quitte définitivement Paris pour s'installer à Arcachon. Il cosigna avec Maurice Limat - un autre forcené du travail - la bande dessinée Buffalo Bill dans les années cinquante. Travailleur boulimique, il collaborait en même temps avec une dizaine d'autres maisons plus ou moins importantes (dont Casterman) tandis que sa signature apparaissait aussi dans France-Soir ! À la manière de Balzac, mort d'épuisement, il mourut foudroyé par une crise cardiaque en 1965.

       Par l'importance de son œuvre iconographique et sa renommée dans la presse et l'édition populaires, Giffey peut, quoique dans un autre style et un autre répertoire, être considéré comme le successeur d' Albert Robida et le précurseur de Brantonne, l'illustrateur de la Science-fiction. Quant à son itinéraire professionnel, entre illustration et bande dessinée, il n'est pas sans préfigurer ceux d' Hergé ou d' Edgar P. Jacobs.


    °°°
    "Mais ce n'est rien, Amanda, c'était la moindre des choses...
    Et, en plus, je n'étais pas au mieux de ma forme..."


    René Giffey

    °°°
    "Oh Mon Dieu, vous avez vu?
    - Incroyable!
    - Ces tatouages sont d'une finesse!
    - Merci... Merci..."



    °°°


    °°°

    René Giffey 1924 Lovers, Kiss


    °°°
    Blanche Baptiste

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  • @@@
    Pensées pour nous-mêmes:

    (PAR LE MAÎTRE
    TU TE TROUVERAS)

    @@@

       Plusieurs excellentes interprétations de la chanson de George Benson "Give me the night", un régal pour les oreilles...

    @@@

    George Benson- Give Me The Night



    Ce titre est extrait de l'album : Give Me The Night
    Année de sortie : 1980


    Give Me The Night

    Whenever dark has fallen
    you know the spirit of the party
    starts to come alive.
    Until the day is dawning
    you can throw out all your blues
    and hit the city lights.

    (1st chorus)

    'Cause there's music in the air
    and lots of loving everywhere
    so give me the night, give me the night.

    You need the evening action
    a place to dine, a glass of wine
    a little late romance.
    It's a chain reaction.
    You'll see the people of the world
    coming out to dance.

    (1st Chorus)

    (2nd Chorus)

    So come on out tonight
    and we'll lead the others 
    on a ride through paradise.
    And if you feel alright
    then we can be lovers 'cause i see that
    starlight look in your eyes.
    Don't you know we can fly?
    Just give me the night, give me the night.

    (Repeat 1st Chorus)

    (Repeat 2nd Chorus)

    And if we stay together
    we'll feel the rhythm of the evening
    taking us up high.
    Never mind the weather.
    We'll be dancing in the street
    until the morning light.


    @@@

    Smoma - Give Me the Night



    @@@

    Randy Crawford - Give Me The Night



    @@@


    BWO Pandemonium 2008 04 Give Me The Night




    @@@
    Nadine Estrella

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  • ¤¤¤
    Pensées pour nous-mêmes:

    (LA PENSÉE DU MAÎTRE
    S'INSCRIT-ELLE SUR LE SABLE?)

    ¤¤¤

    "Bon, Juliette, ça suffit maintenant
    avec tes bulles d'amoureuse transie... 
    Y'a du travail qui t'attend..."


    ¤¤¤

    (Le Penseur éructe toujours dix  fois)

    Traduction libre



    Bernard-Henri Lévy 
    et Geneviève de Fontenay, 
    même (ultime) combat !?

    Daniel VANHOVE

       (...) Il y a quelques jours, Bernard-Henri Lévy passait comme invité principal à l’émission On n’est pas couché animée par Laurent Ruquier et ses deux chroniqueurs Léa Salamé et Aymeric Caron.

       Lors de sa prestation – dont à peu de choses près, on connaît par avance la teneur – BHL a été interpellé par les deux chroniqueurs de l’émission à travers certaines questions relatives à son intervention calamiteuse et irresponsable en Libye, ainsi que sur la situation dramatique à Gaza suite à la énième déferlante militaire du soi-disant démocratique Etat israélien. J’écris « soi-disant démocratique » tant les infractions à tout ce qui s’apparente à une réelle démocratie qui se respecte y sont innombrables.

       Dans les deux cas soulevés par Léa Salamé et A. Caron – mais qui en eût douté – le maniéré du Café de Flore a gesticulé sur son siège pour défendre ses prises de position que l’on connaît : point d’erreur d’évaluation et justification des frappes dans la situation libyenne, et un soutien sans faille aux exactions de l’armée et à l’Etat israélien pour éradiquer le Hamas par tous les moyens. Avec en point d’orgue, un cri d’exaspération en forme d’anaphore – il semble que ce soit la mode à Paris – au nom des juifs de France, victimes de tant de mauvais traitements... L’on en pleurerait... Si ce n’est que dans cette habituelle course à la victimisation de certains, les musulmans sont considérablement plus vilipendés et malmenés que les juifs. 

       Vous pouvez écrire, vociférer, taguer que les musulmans sont des barbares, des terroristes et des islamo-fascistes sans risquer quoi que ce soit, mais ne vous avisez pas d’élever la moindre critique vis-à-vis des sionistes, sous peine d’avoir de sérieux problèmes avec une justice à géométrie désormais variable, sans parler des groupuscules shootés à l’étoile de David qui sévissent toujours en France alors que certains sont interdits dans d’autres pays et même en Israël ! Ni des coalitions que l’on voit fleurir un peu partout au nom de la « démocratie » pour aller y détruire tout ce qui bouge en pays arabes, même des enfants jouant au ballon sur une plage...

       Il y a quelques jours à Alger, Geneviève de Fontenay était amenée à une prise de parole en tant qu’invitée d’honneur lors de la deuxième élection de Miss Algérie 2014.

       Lors de la cérémonie de clôture dans le palace qui abritait l’évènement, Geneviève de Fontenay n’a pas trouvé mieux que de féliciter l’heureuse gagnante de « l’Algérie-française » ... avant de se rendre compte de sa bourde et de bredouiller piteusement dans la foulée, « ... qui est l’Algérie... mais française en même temps... ». Et d’en rajouter par la suite, se mélangeant les pinceaux à propos de la Martinique et de la Guadeloupe. Propos lamentables qui ont provoqué à juste titre le départ de nombreux officiels présents à la cérémonie, et qui a écourté le séjour de Mme de Fontenay pour revenir bien vite en France. Bref, du n’importe quoi qui atteste combien les stéréotypes dans la tête de certaines personnes sont durs à tomber.

       Vous me direz, quelle parallèle entre les deux personnages ? Celui-ci : qu’à l’image du triste clown Pierrot, tous deux semblent désespérément accrochés à ce qui leur reste, à savoir, leur déguisement en noir & blanc dont ils ne parviennent pas à se défaire, comme de leurs clichés et de leurs certitudes qu’ils débitent à chacun de leur passage sur antenne... A se demander d’ailleurs, pourquoi ils sont encore invités par les médias à nous débiter leurs conneries... car ils sont aussi sinistres l’un que l’autre, enfermés dans leurs propos et leur accoutrement...


    ¤¤¤

    "Bien sûr que c'est une plage de sable fin, qu'ils
    disaient... Et même qu'il y en a beaucoup...
    Beaucoup, beaucoup... J't'en fout... moi!"


    (Source: fancyadance)

    ¤¤¤
    Benoît Barvin

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  • @@@
    Pensées pour nous-mêmes:

    (LE MAÎTRE N'EST PAS
    UNE CANNE BLANCHE"

    @@@

    "Heu... Monsieur le Barbare...
    Je voudrais une pose moins... Heu...
    Plus... Heu...
    - Quoi dire toi?
    - Rien... En fait, rien..."


     Jeffrey Jones


    @@@

    "Quoi? C'est ce que tu appelles une jolie femme?
    Aucun bubon... Pas d'œil crevé... Pas de cuisses
    rachitiques et aucune griffes aux mains...
    Tu te fiches de moi!"


    Don’t Get Too Close To My Fantasy…

    @@@

    (Ce nouveau jeu de balle fit fureur
    dans le Royaume des Morts)




    @@@

    "Si j'ai besoin de lumière pendant que
    j'enfile mon pyjama? Heu, pas vraiment, en fait"



    @@@
    Blanche Baptiste

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  • ¤¤¤
    Pensées pour nous-mêmes:

    (LA MÉPRIS INSOLENT
    JAMAIS TU N'ADOPTERAS)

    ¤¤¤

    "Tous les jours TU QUOQUE tu regarderas"



    ¤¤¤


    Quand Londres et les capitales occidentales 
    découvrent la barbarie djihadiste

    Hassane ZERROUKY

       (...) Quand on écoute David Cameron fustiger les « terroristes » et affirmer qu’« avec l’Etat islamique, nous sommes confrontés à la menace la plus grave que nous ayons jamais connue », ou Barack Obama dénoncer la barbarie de l’Etat islamique (EI) après l’assassinat barbare de James Foley et avant-hier celle de Steven Sotloff on a envie de lui dire en face : arrêtez de mentir à vos opinions publiques !

       Le même reproche peut être fait à Hollande et, partant, à tous ces dirigeants occidentaux qui feignent d’avoir pris la mesure de la menace djihadiste alors qu’ils sont plus que responsables dans l’émergence du terrorisme islamiste et de la déstabilisation du Proche et du Moyen-Orient. Rappelons que c’est un certain Zbigniew Brzezinski, ancien conseiller à la sécurité nationale de Jimmy Carter et conseiller de Barack Obama pendant la dernière campagne présidentielle, qui a été dans les années 1970 le promoteur de la doctrine de la ceinture verte consistant à utiliser la mouvance islamiste, avec pour pays pivots les pétromonarchies du Golfe, la Turquie et le Pakistan, pour combattre le communisme soviétique.

       L’Afghanistan aura été le terrain d’expérimentation de cette stratégie. Et depuis, malgré l’effondrement de l’URSS et la fin de ce qu’on appelait le « camp socialiste » en Europe de l’Est, Washington et ses alliés ont poursuivi cette stratégie à l’endroit des pays arabes et musulmans dotés de régimes autrefois alliés de Moscou. Dans leur ligne de mire, la Syrie, l’Irak, l’Algérie malgré le virage droitier de Chadli Bendjedid, pays dirigés par des régimes autoritaires et corrompus, auxquels Washington préférait des régimes islamistes. C’est d’ailleurs ce qu’a réaffirmé l’ancien secrétaire d’Etat-adjoint de Bill Clinton, Robert Pelletreau, souhaitant ouvertement l’émergence de régimes islamistes allant du golfe Persique à l’Atlantique parce que, estimait- il, ils seront favorables aux intérêts étasuniens.

       Pour en revenir à David Cameron, rappelons que Londres était la plaque tournante de l’islamisme mondial dans les années 1980 et 1990. Côté algérien, le FIS, l’AIS et le GIA avaient pignon sur rue, éditant des documents comme « Al Ansar », « Etbicira » et autres, dans lesquels ils revendiquaient leurs actes en toute impunité. Il en va de même de leurs mentors, l’Egyptien Abou Hamza, le Jordanien Abou Qoutada ou le Syrien Omar Bakri, qui ont légitimé par des fatwas les massacres commis dans la Mitidja et les attentats du djihad islamique en Égypte, avant de légitimer l’attentat du World Trade Center. Rappelons simplement que pour ces djihadistes radicaux, ayant bénéficié du gîte et du couvert à Londres, la Palestine ne figurait pas au rang des priorités.

       Ainsi après avoir aidé à enfanter le monstre, les capitales occidentales feignent aujourd’hui de découvrir les horreurs sans nom commises par l’Etat islamique (EI) en Irak ! Or, quand ils ont décidé dès mars 2011 d’aider l’opposition syrienne en lui accordant une assistance militaire (logistique et technique), alimentant de fait la guerre civile en Syrie au lieu de peser de leurs poids pour contraindre les protagonistes syriens (pouvoir et opposition) à négocier, ils savaient de quoi il retournait. Ils savaient, par exemple, que les volontaires étrangers venant s’enrôler dans les rangs de l’EI ou du Front al Nosra, et que les armes transitaient (et transitent) par la Turquie et la Jordanie. 

       Chacun sait que le sud de la Turquie, pays membre de l’Otan, sert de base-arrière aux djihadistes de tout poil, et qu’Ankara ne fait rien pour intercepter ces « volontaires » venus d’Europe, du Maghreb et d’Asie centrale pour rejoindre les rangs de l’EI du Front al Nosra. Ils savaient et savent que les djihadistes avaient pris le pas sur l’Armée syrienne libre (ASL) et qu’ils commettent des crimes de masse. Comme ils savent que ces fous furieux sont financés et armés par les pétromonarchies du Golfe, ce que le sommet de la Ligue arabe de Doha en mars 2013 a publiquement officialisé. Mesures approuvées par John Kerry affirmant que « le président Obama a dit clairement que les Etats-Unis ne font pas obstacle aux pays qui ont pris la décision de fournir des armes [aux rebelles], que ce soit la France, le Royaume-Uni, ou d’autres ».

       Dans leur sordide logique, Washington et ses alliés européens et arabes pensaient que l’établissement du califat à cheval sur l’Irak et la Syrie allait permettre de prendre la Syrie en étau et précipiter la chute du régime de Bachar. Le résultat : ils ont permis au régime syrien de se refaire une virginité à bon compte en se présentant comme un rempart contre l’hydre salafo-djihadiste... (...)


    ¤¤¤
    (La nouvelle vigie nous plaisait bien)


    ¤¤¤
    Luc Desle

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