•  "Le journalisme est une grande catapulte mise en mouvement par de petites haines" (Honoré de Balzac".

    Claude Askolovitch:

       Ancien élève du Lycée Chaptal, il suit des études d'économie à l'université Paris-Dauphine avant d'entrer au Centre de formation des journalistes, dont il sort diplômé en 1985.
       Après des piges à Sciences et vie Économie et Mondial, il travaille à RFO avant d'être engagé au Matin de Paris. Il rejoint en 1987 le quotidien Le Sport qui vient de se créer. À la disparition de ce titre, il travaille à Europe 1 avant de devenir reporter à l'Evénement du jeudi puis à Marianne. Il a été grand reporter au Nouvel Observateur pendant 7 ans de 2001 à Juillet 2008.
       Depuis le 25 août 2008, il est rédacteur en chef au Journal du dimanche, et éditorialiste politique sur Europe 1, dans la tranche d'information du matin.
       Journaliste sportif à l'origine, il a écrit avec Basile Boli son autobiographie Black Boli, et traite aujourd'hui surtout de sujets sociétaux et politiques, avec une inclination particulière pour les controverses d'opinions et les sujets polémiques. Il a couvert pour le Nouvel Observateur le mouvement altermondialiste, et a lancé la controverse autour des déclarations jugées antisémites de Tariq Ramadan en 2003.
       Il a suivi le Front national, qui constitue le thème de son deuxième livre, écrit une biographie de Lionel Jospin, et a interrogé Éric Besson pour son pamphlet contre Ségolène Royal. Il a réalisé deux autres livres d'entretiens, le premier avec Rachida Dati, sur son parcours, le second avec le député et maire socialiste d'Évry, Manuel Valls, sur la refondation de la gauche.
    Il a été chroniqueur dans des émissions de radio et télévision comme On refait le monde (RTL), On refait le match (RTL et LCI), Entre les lignes (La Chaîne Parlementaire).
       Il a dénoncé les discours antisémites du comédien Dieudonné et son glissement vers l'extrême-droite.
       Il est également à l'origine de « l'affaire Siné » : le 8 juillet 2008, lors d'une émission sur RTL, il qualifie d'antisémite une chronique du dessinateur Siné publiée dans Charlie Hebdo, qui suggérait, selon lui, que l'éventuelle conversion au judaïsme du fils du président de la République Française, Jean Sarkozy, serait profitable à sa carrière. Peu après, le directeur de Charlie Hebdo Philippe Val décide de mettre fin à sa collaboration avec Siné.
       Peu après « l'Affaire Siné », en juillet 2008, Claude Askolovitch quitte le Nouvel Observateur. En août, il devient éditorialiste politique à Europe 1 et rédacteur en chef au Journal du dimanche. Daniel Schneidermann dénonce alors dans le quotidien Libération "L'ascension d'un journaliste", faisant un lien entre l'affaire Siné et ces embauches dans des médias du groupe Lagardère, dont le propriétaire est réputé proche de Nicolas Sarkozy (en remerciement de sa prise de position dans l'affaire Siné).
       Le 20 janvier 2009, comparaissant devant la 17e chambre correctionnelle de Paris à la demande de Siné, qui l'accuse de diffamation, Claude Askolovitch qualifie les assertions de Daniel Schneidermann de « tissus d'imbécillités, le fruit d'une idiotie malveillante », relevant « d'une paranoïa propre à Schneidermann » et de « l'idéologie du complot ». Le 2 mars 2009, le tribunal a relaxé Claude Askolovitch et débouté Siné de sa plainte en diffamation.
     


    Qu'en termes amusants (?) ces choses-là sont dites...
     
    ***

    «Il est peu de plaies morales que la solitude ne guérisse.»
    [ Honoré de Balzac ] - Madame de la Chanterie



    ***

    «Le comptoir d'un café est le parlement du peuple.»
    [ Honoré de Balzac ]


    (Celui de la télé est le parlement de... heu? Vous avez une idée, vous?)


    ***

    « Plus sa vie est infâme, plus l'homme y tient ; elle est alors une protestation, une vengeance de tous les instants.»
    [ Honoré de Balzac ] - Extrait des Splendeurs et misères courtisanes


    http://www.forum-auto.com/les-clubs/section7/sujet213600.htm



    http://www.evene.fr/celebre/biographie/honore-de-balzac-215.php


    Et, pour respirer un peu, un zoli dessin de femme guillerette.



    Benoît Barvin

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  • Il est impossible de vivre avec des gens qui n'ont pas le moindre sens de l'humour.
    Sidonie Gabrielle Colette

     "Quoi, ma gueule! Qu'ess-qu'elle a ma gueule?!"
     Paroles(?) célèbres (?)


     °°°

    L'humour est la forme la plus saine de la lucidité.
    Jacques Brel

    Dernière (?) pensée humoristique de notre bon ami Allègre appliquée à l'écologie:
    "A quand le vocable de biostupide, voire de biocriminel ?". 
    C'est ce qu'on appelle une pensée typique idiosyncrasique
       L'idiosyncrasie est le comportement particulier, voire atypique, d'un individu face aux influences de divers agents extérieurs. Du grec ancien ιδιος (idios = « qui a un tempérament particulier »), σùν (syn= « avec »), et "κράτος" (kratos= « force, vigueur »).
       L'adjectif correspondant est idiosyncrasique et le concept général est parfois nommé idiosyncrasisme.

       Bien qu'on puisse parler d'idiosyncrasie en termes positifs concernant un objet, une personne, une culture, etc., le mot est le plus souvent utilisé, dans les contextes de la médecine ou de la linguistique, pour qualifier des comportements troublants voire non souhaités.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Idiosyncrasie

    °°°

    L'humour est enfant de nos haines.
    Jacques Prévert
    http://www.lepoint.fr/actualites/2010-05-26/johnny-hallyday-se-prete-a-une-expertise-medicale/1037/0/459370

    Pensée du maître:
       Cheveux longs et idées courtes
       «On parle toujours de l'intelligence, mais chaque individu a une intelligence différente. Obligatoirement, vous avez votre propre intelligence, l'intelligence de quelqu'un d'autre ne sera pas à votre portée. Donc, c'est pour ça qu'on ne peut pas vraiment dire que "Untel est con" ou "Untel est intelligent". Chaque personne, même un con, a une intelligence à lui. Quand je dis un con, je veux bien sûr dire quelqu'un qui est considéré comme un con.»
    Elle, 26/06/1995 

       Confessions
       «La cocaïne, j'en ai pris en tombant du lit. Maintenant c'est fini. J'en prends pour travailler, relancer la machine. Je n'en suis pas fier, c'est ainsi, c'est tout.»
    Le Monde, 07/01/199
    Il y a plus à faire de la vie que d'augmenter sa vitesse.
    Mohandas Karamchand Gandhi


    Si vous voulez voir d'autre montages photos humoristiques, reportez-vous au blog ci-dessous:


    °°°

    Vends corbillard occasion: levier de vitesse bloqué 
    au point mort.
    Pierre Dac


    "Meuh non, il est pas bloqué... Pas encore... Si M'damoiselle  Diana était là, elle vous le confirmerait"



     Benoît Barvin

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  • "VOUS POUVEZ SORTIR DEHORS DANS LE FOG, MONSIEUR HOLMES. VOUS VOUS RENDREZ MIEUX COMPTE"


    " LA PROCHAINE FOIS ÇA SERAIT MIEUX DE PRENDRE UN ACCORDEUR PROFESSIONNEL "



    "C'EST LA PREMIÈRE FOIS QU'IRVIN ET MOI AVONS PRIS NOS VACANCES SÉPARÉMENT"


    "JE M'EN FICHE QU'IL PLEUVE DEHORS! TU N'AS PAS A JOUER DANS LA MAISON"


    "ALLO? LA SOCIÉTÉ DES VOLETS AUTOMATIQUES POUR GARAGE? "




    "LE PÈRE NOËL? MON ŒIL!"



    "ET TU PEUX RECONNAITRE LA FEMELLE GRÂCE A L'AGRÉABLE EXPRESSION QU'ELLE ARBORE"

    Dessins récupérés sur l'excellent blog cité ci-dessous. Je vous invite à y faire un tour.



    Blanche Baptiste

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  • "Alors les Rois mages arrivèrent... en sifflotant et les mains dans les poches"


    $$$

    "Souvent le café du comte Dracula avait une drôle de couleur. Quant à l'odeur..."


    $$$


    "La main du Marché, parfois, pouvait avoir la 'dent' dure"


    $$$


    "Bourré à la coke, l'architecte avait du mal à garder les idées claires"


    $$$


    "... Et la danse "swinging with the crisis" eut un incroyable succès"


    Blanche Baptiste

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  • José Ortiz

    "Je cherche des traders... Vous n'en auriez pas vu dans le coin, par hasard?"

    $$$

    Victor de la Fuente
    FAÇON VIRILE DE TRAITER LES VALETS DU CAPITALISME MONDIALISE

    $$$

    Jordi Bernet
    LE TUEUR DES MARCHES VA ENCORE FRAPPER

    $$$

     N.C. Wyeth

    LA PRINCESSE EUROPA ÉTAIT AMOUREUSE DE LA CHEVELURE D'OR PUR DU PRINCE FMI


    " Ya, ya! Nous z'allons donner un beu de zeuros bour zauver l'Eurobe"


    http://illustrateurs.blogspot.com/

    Blanche Baptiste

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  • «Le grand thème de la vie, c'est la lutte et la souffrance.»
    [ Charlie Chaplin ] - Ma vie

    (Manifestement, pas pour tout le monde)


    ***

    «L'humour renforce notre instinct de survie et sauvegarde notre santé d'esprit.»
    [ Charlie Chaplin ] - Ma vie

    "J'me suis occupé des chevaux, j'ai trait les vaches et nourri les poules, mon chou. Maint'nant, ch'suis en super forme pour te faire ta fête, Honey!"

    ***

    «Il faut savoir s'effacer avant que ne commencent à pâlir les plaisirs de la foire aux vanités.»
    [ Charlie Chaplin ] - Ma vie

    (Certains, incorrigibles, ne savent pas)


    ***

    «Le point de vue le plus simple est toujours le meilleur.»
    [ Charlie Chaplin ] - Ma vie

    (Nettoyez-moi ça! Et que ça brille, hein!)


    ***
    «C’est ce que nous sommes tous, des amateurs, on ne vit jamais assez longtemps pour être autre chose.»
    [ Charlie Chaplin ] - Limelight

     (Allégorie de la course effrénée des européens et européennes à la recherche de leurs cervelles)


     Luc Desle


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  •    Ah cette belle vision du farniente français des années soixante! 

       La fille - femme? Maîtresse? - est super sexy. L'homme... Bon, OK, on ne peut pas en dire autant. Mais égrillard, ça oui, et peut-être qu'il compense avec son compte en banque bien garni. Certainement, d'ailleurs. Encore que, vu le "bon coin", l'affiche "au poisson frais" (ahaha!!!), tout laisse à penser qu'on est plutôt dans une vision idyllique de beauf de ces années-là. 

       Manque plus, dans un coin du paysage, que la silhouette - à chercher - de l'amant de passage pour faire bonne mesure.

       Ah quelle était douce à vivre cette France sans femme voilée...


    "Ben, c'est ta faute, aussi... C'est toi qui n'a pas voulu que j'envoie le premier paiement de notre traite pour la maison..."


       Mêmes années, mais cette fois aux USA. Alors que la bonne France se prélasse - mais plus pour longtemps (gniark, gniark) - nos amis d'outre-Atlantique, eux, se "décarcassent" depuis un bon moment. Z'ont beau avoir des tonnes de flouzes, faut quand même qu'ils le dépensent plus vite qu'ils ne le gagnent... et que je me coltine des traites à ne plus savoir comment les honorer. Déjà... 

       Ceci dit, la femme est jolie - et bien mamelue, comme sa consoeur -, quant à son mari, c'est un battant, musclé jusque dans les sourcils. Ce qui ne l'a pas empêché de confondre prétention et insouciance. Dame! N'est-il pas le Maître du Monde? Ce qui ne l'empêche pas, chez lui, de n'être qu'un simple "cochon de payant" qui doit se tuer au travail pour rebourses ses dettes.

       Dettes bientôt abyssales...

       Comme quoi, l'humour, parfois, c'est basé sur du réel bien faisandé.

    Blanche Baptiste

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  • "Cet agent du fisc avait une manière bien à lui de récupérer les créances des mauvais payeurs"



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    "Juché sur le serpent monétaire terriblement énervé, il se demanda bien quoi faire"



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    "Hou! Méchants spéculateurs! Vilains, vilains! " crièrent en vain les représentants du gentil peuple des Zeuropéens."




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    "Bâillonnée, ligotée et croupissant dans un cul-de-basse-fosse, Miss Europa se demanda ce qu'on allait faire d'elle"


    (pour les 4 dessins ci-dessus: http://vintagepaperbacks.tumblr.com/)



    "Je te sers un verre, poupée?"
    "Oui, mais évite l'ouzo, s'il te plaît..."


       L'ouzo (ούζο) est une  boisson alcoolisée anisée grecque fabriquée à base d'alcool neutre mélangé à divers aromates (principalement l'anis) puis distillé et dilué.
       Il est assez proche, au goût, de certains anisés blancs français comme la Marie Brizard.


    http://www.flickr.com/photos/jlevar/


    Blanche Baptiste

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  • "Froid? Moi, jamais, avec ma nouvelle combinaison British Petroleum"


    Benoît Barvin

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  • "On est gouverné par des lascars qui fixent le prix de la betterave et qui ne sauraient pas faire pousser des radis".
    "Le Président". Michel Audiard





    Extrait du film "Un idiot à Paris" (1967) de Serge Korber.

     Une excellente - et de plus en plus actuelle - définition du salarié dans le beau monde  capitaliste: un chômeur en puissance...

       Et une vision très réaliste de la manière dont un patron voit les "rêves" - forcément étriqués - des futurs pauvres, car virés en trois coups de pied au...
       
       Il faut dire que, sans les monceaux de frics avec lesquels ces arsouilles - nos chères z'élites - se goinfrent, les palais de la Médina, ça ressemble beaucoup à un conte des "Mille et une nuits", mal lu au travers d'un catalogue de voyagiste low cost.


    / Synopsis:

       Goubi, bredin (c'est-à-dire idiot de village, Jean Lefebvre, évidemment) de Jaligny-sur-Bresbre dans l'Allier, rêve de découvrir Paris et la Tour Eiffel. Un jour, après s'être saoulé, il se réveille à Paris où il a été conduit par deux maraîchers de son village, mais il se perd dans la grande ville. Il y rencontre Monsieur Dessertine (l'immense Bernard Blier), patron d'un commerce de viande en gros, issu comme lui de l'assistance, qui le prend sous son aile, et  "La Fleur", (la sublime  Dany Carrel) une prostituée dont il tombe amoureux...

    / Distribution (une petite partie):

       Avec cette distribution, on pourrait rêver à une superbe comédie.  "Un idiot à Paris" n'a hélas pas la tonicité des films de Lautner, mais il se laisse encore regarder, grâce aux dialogues caustiques de Michel Audiard, bien sûr.

    Quelques mots sur Serge Korber, né en 1936, à Paris.


    / Filmographie

        On le voit, une filmographie en dent de scie - les de Funès ne sont pas les meilleurs de l'acteur - pour mon goût personnel, s'entend. Quant à tourner avec "Les Charlots", certes c'est kitsch aujourd'hui, mais... Bon..
    / Télévision:
    • 1988 : Marie Pervenche (quelques épisodes de la saison 3). Avec l'inénarrable Danièle Evenou. C'est dire...
    / Plus intéressant son passage dans la Pornographie:

       Serge Korber a également réalisé dans les années 1970, sous le pseudonyme de John Thomas, quelques films pornographiques avec son acteur préféré dans le genre, Richard Darbois (Désir intense, Odyssée de l'extase, Cailles sur canapé, Pornotissimo, Nibblers).
       Il réalise en 1975 "L'Essayeuse", un film qui sera d'abord autorisé, classé X, puis censuré. Le réalisateur et les acteurs sont alors condamnés à des amendes de 400 à 10000 francs pour outrages aux bonnes mœurs. La condamnation sera confirmée et amplifiée en appel le 10 juin 1977, les amendes allant alors de 3000 à 18000 francs, et la cour d'appel ordonnant « la saisie et la destruction du négatif et de toutes les copies du film ayant servi à commettre le délit »
       
       Le tout sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing. Vous savez, le même qui a écrit deux romans - lestes, le dernier narrant une supposée relation avec l'ex-princesse  Diana...

    "Un idiot à Paris" est donc regardable comme un bon nanar à la française, grâce aux dialogues de notre ami Michel Audiard.

       De son nom complet Pierre Michel Audiard), (1920/1985), il s'agit d'un excellent  et talentueux dialoguiste, ainsi que d'un honnête - à mon avis - réalisateur français de cinéma(tographe?) 

       S'inspirant de la gouaille du peuple parisien (mais pas que) , les dialogues de Michel Audiard constituent l'un des meilleurs témoignages de l'irrévérence détachée propre aux années 60 (irrévérence qui, hélas, aujourd'hui, n'est plus guère possible)...

       Parfois qualifié d'anarchiste de droite (par qui?), un des seuls regrets qu'on lui connaisse est de ne pas avoir eu le temps d'adapter à l'écran le "Voyage au bout de la nuit" de "Louis-Ferdinand Céline". Il est le père du dialoguiste et réalisateur (moins gouailleur, lui) Jacques Audiard. 

    (La plupart des infos, sauf mes commentaires, proviennent du lien ci-dessous):


    Quelques pensées de Michel Audiard, avant de se quitter:

    "Si t'as pas de grand-père banquier, veux-tu me dire à quoi ça sert d'être juif?" (100 000 dollars au soleil)

    "Dans la vie on partage toujours les emmerdes, jamais le pognon". (idem)

    "Faut pas parler aux cons, ça les instruit".

    "Le bœuf mironton et le droit d'asile sont deux névroses typiquement françaises".

    "L'idéal, quand on veut être admiré, c'est d'être mort".

    "Quand on a de graves préoccupations alimentaires, on n'a pas beaucoup d'ambition"

    "Le bonheur, on s'y fait, le malheur on s'y fait pas, c'est ça la différence".


    Méditons, Frères et Soeurs, ces belles paroles de sagesse. 

    Et Vivent les PIGS!




    Une photo tirée du film.
    http://www.allocine.fr/personne/fichepersonne-8023/photos-films/detail/?cmediafile=18814454



     "La petite vertu", 1967

    Pour ceux qui seraient intéressés par la carrière de cette jolie actrice, l'adresse ci-dessous vous donnera tous les renseignements nécessaires: 



    Luc Desle

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