• "Étrange: Après sa rencontre avec Gilles de Rais, la Pucelle d'Orléans l'était un peu moins". Benoît Barvin in "Étrange, vous z'avez dit".

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    Pensées pour nous-mêmes:

    (TU N’ES PAS UN SAUMON 
    QUI REMONTE LE COURANT)

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       McClelland Barclay (1891-1942) est un peintre, connu pour ses très belles pin-ups. Né à Saint- Louis en 1891, Barclay a d'abord étudié à l' Art Institute de Chicago , puis plus tard à l' Art Students League de New York City. À l'âge de 21 ans, le travail de Barclay a été publié dans le Saturday Evening Post , le  Ladies 'Home Journal et CosmopolitanPendant la Première Guerre mondiale, il a été récompensé pour une affiche de propagande.
       Durant les années 1920 et 1930, les images McClelland Barclay ont été vues dans de nombreux périodiques, comme Colliers, Country Gentleman, Redbook, Pictorial Review, Coronet, Country Life, Saturday Evening Post, The Ladies’ Home Journal, Cosmopolitan. Barclay s'est ensuite intéressé à l'affiche de film pour d'Hollywood, dans les années 1930, où il a également été reconnu.
       Toujours en 1930, la General Motors l'a sélectionné pour une série de publicités, et l'image de la femme qu'il a conçue est devenue rapidement très populaire. C'est son épouse, âgée de 19 ans, qui a servi de modèle. Barclay a également illustré de nombreuses publicités: les Chocolats WhitmanTexaco , les cigarettes Camel et Chesterfield.
       A la fin de ces années-là, Barclay a mis en place une petite entreprise qui reproduisait des bijoux et fabriquait des cendriers, des serre-livres, bref, toutes sortes d'articles pour la maison et le bureau. 
       En Juin 1938, il a été nommé adjoint dans la construction navale. Lorsque le Japon a attaqué les USA, à Pearl Harbour, Barclay venait d'achever la première des nombreuses affiches de recrutement qu'il a peintes à destination de la Marine .
       Nommé lieutenant- colonel, Barclay a effectué de nombreuses missions jusqu'en 1942, où il a été porté disparu après que son navire ait été torpillé près des îles Salomon .
    Adaptation de l'article suivant:

       Blanche Baptiste s'est alliée (?) à Jacques Damboise pour effectuer ses détournements habituels. A voir l'ironie de leurs commentaires, on comprend que l'excellence du trait, la finesse du détail, la beauté de la palette de Barclay les fascinent, mais ils n'en oublient pas que cet artiste a surtout mangé à tous les râteliers, pourvu qu'ils soient dans la droite ligne d'un patriotisme un rien bêta (tautologie?),  sentiment noeud-noeud qui est souvent l'apanage de nos amis américains...

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    (L'homme à la pipe maléfique 
    venait de dénicher une nouvelle victime)





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    (La femme aux aisselles nettes ne l'était que là)




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    (C'est dans la marine que cet inverti découvrit son vice)




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    "Mon chéri... En quoi est fabriqué ton long bâton?
    - Hein?"



    (Le mariage de cette pimprenelle fut instantanément déprogrammé)



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    "Ouiii... Le Résideeennnttt...
    Jeeeeuhhh t'aimeeeuuhh...
    Beaucoup"


    (Les fans du Résident, en sa présence,
    massacraient toujours allègrement
    les chansons d'amour)

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    Blanche Baptiste/ Jacques Damboise
    « "Le Résident avait donné rendez-vous à ses adversaires à la Saint glinglin. Il ne s'y rendit jamais". Jacques Damboise in "Pensées à contre-pet""Du haut de ses souliers compensés, vingt courtisans contemplaient le Résident". Jacques Damboise in "Pensées noeud-noeud". »

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