• "Elle portait des dessous taquins ou coquins, je ne me souviens plus bien". Jacques Damboise in "Pensées contradictoires".

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    Pensées pour nous-mêmes:

    (MUSCLE TON CERVEAU

    AVEC DE L'AMOUR)

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    "Et cette bière est faite à base de?

    - D'urine d'élan, Madame..."

    (Source: rogerwilkerson, via soul45)

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    lechocotier.blogs.midilibre.com

    Chers policiers,

    les adresses IP ne constituent

    pas des preuves 

       Se fier à la géolocalisation d’une adresse IP pour retrouver l’auteur d’un crime en ligne peut être une erreur. C’est ce que montre Fusion après la publication sur le site Electronic Frontier Foundation d’un texte à ce sujet. Pour le démontrer, le site d’information revient sur un cas en particulier. Cette histoire remonte à février, lorsqu’un utilisateur du site communautaire 4Chan a partagé des photos pédopornographiques. 

       Immédiatement, le site identifie son adresse IP et le signale aux autorités. Grâce au service de géolocalisation de l’adresse IP, les enquêteurs pensent avoir identifié les auteurs de la publication. Il s’agirait d’un couple vivant à Seattle aux Etats-Unis, David Robinson et sa compagne Jan Bultmann. Un matin,les forces de l’ordre débarquent chez eux. Le couple répond aux questions, en état de choc. 

       Aucune preuve n’est trouvée chez eux. Pas même dans leur ordinateur. (...)

       (...) David Robinson et Jan Bultmann sont des utilisateurs de Tor, cette plateforme permettant d’aller sur le «  dark Web  » – et de rester anonyme en ligne.

       Le réseau fonctionne grâce à l’aide de bénévoles. Ces derniers, comme le couple Robinson-Bultmann, installent un logiciel sur leur ordinateur pour permettre aux utilisateurs de se connecter à Tor. Au démarrage de la plateforme, un circuit aléatoire de connexions, généré grâce à toutes les adresses IP des bénévoles, s’offre aux utilisateurs. Ce système permet de ne pas être repéré.

       Seule la première IP, celle avec laquelle un internaute entre sur Tor, peut être identifiée. Dans l’histoire qui nous occupe, c’est donc l’IP de l’ordinateur de David Robinson et Jan Bultmann qui a servi de porte d’entrée sur Tor à l’utilisateur de 4Chan.

       Ce n’est pas la première fois que la police se pointe chez des innocents, pensant avoir identifié les auteurs d’un crime après s’être basé sur une adresse IP. C’est arrivé plusieurs fois. En cause, à de nombreuses reprises, les réseaux wifi ouverts de certains utilisateurs et qui laissent la possibilité aux autres de se connecter.

    http://rue89.nouvelobs.com/2016/09/23/pourquoi-les-adresses-ip-constituent-sources-fiables-police-265247

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    Benoît Barvin

    « "Il avançait sans reculer, sauf quand il ne pouvait pas faire autrement, le fils de Monsieur de La Palice". Jacques Damboise in "Pensées bradoulboudour"."Cette homme qui se baladait une plume dans le séant avait perdu le pari fait avec sa Belle-Mère". jacques Damboise in "Pensées à petits pets". »

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