• "A vivre sans barrir, on biberonne sans boire". Jacques Damboise in "Pensées à contre-pets"


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    C'est donc cela, la vie d'adulte : 
    construire des châteaux de sable, 
    puis sauter dessus à pieds joints. 

    [Frédéric Beigbeder] 
    Extrait de L’Amour dure trois ans

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    L'INDE TROP OCCUPÉE POUR S’INTÉRESSER 
    AUX CONTRATS PROPOSÉS PAR LES FRANÇAIS?



    Voyage indien du Résident et de la grande gigue


    (...)  Dans les coulisses de ce voyage français, la délégation de chefs d'entreprises qui accompagnait Nicolas Sarkozy espérait signer quelques accords. Une incroyable brochette de ministres étaient aussi du voyage. Lundi, Anne Lauvergeon, présidente d'Areva et son confrère de l'entreprise publique NPCIL (Nuclear Power Corporation of India Limited) ont signé un accord en présence de Nicolas Sarkozy et Premier ministre indien Manmohan Singh pour la construction de deux EPR. En fait, rien de bien nouveau. Un premier protocole d'accord avait été conclu en février 2009. Pas sûr, d'ailleurs, que cette commande soit une si bonne nouvelle. La catastrophe du Bhopal, en 1984, est dans toutes les mémoires. Et une loi sur la sécurité nucléaire vient d'être votée cet été. Cette dernière prévoit que le fournisseur, en l'occurrence Areva, est responsable de tout accident. Des milliers d'opposants s'étaient rassemblés le 5 décembre sur le site retenu pour les deux centrales d'Areva. 

       Sur un autre contrat, les conseillers du président français furent trop pressés en annonçant 800 millions d'euros de location de quatre Airbus A330 par Air India et 2 milliards d'euros pour dix Airbus A330 vendus à Jet Airways. Louis Gallois, le président d'EADS, fut surpris par l'envoyé spécial du Monde en train de s'exclamer : « Les chiffres sont faux ! » Globalement, l'Elysée a affirmé que quelques 15 milliards d'euros de commandes avaient été conclues lors de ce voyage, une déclaration grossière rapidement démentie par les journalistes présents sur place : aucun contrat formel n'a été signé. On a même promis des Rafales de Dassault, comme au Brésil, il y a deux ans, une commande jamais concrétisée depuis ! « Sur le Rafale, nos amis indiens prendront leur décision quand ils l'auront décidé » a sobrement (ahaha) confirmé Sarkozy lors d'une conférence de presse.

       Mardi, Carla et Nicolas repartent pour la France dans l'airbus A330. Les deux Falcon supplémentaires suivront. Ils avaient été dépêchés sur place pour permettre des déplacements plus faciles dans ce gigantesque pays aux 1,2 milliards d'habitants. (...)

    article à lire en entier sur:




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    "Moi aussi, j'ai un beau fuselage, vous ne trouvez pas, hihihi..."

    (c) Helmut Newton


       Vous vous souvenez d'une photo de Carla Bruni-Sarkozy nue, vendue par Christies ?... Voici maintenant un cliché de l'ancien mannequin, signé Helmut Newton qui a été mis en vente hier lors d'une vente aux enchères intitulée Sex, organisée par Philips de Pury : on voit la Première Dame sans culotte sous sa robe raccourcie aux ciseaux.


    Rappel: prix du Air Sarko One (comme ça, en passant):


    Le coût est dévoilé : 176 millions d'euros, dont 60 millions pour l'achat, 91,5 pour l'aménagement, 20,5 pour la sécurisation des communications et les systèmes d'écoutes, et 4 millions pour la qualification de l'appareil, précise un rapport parlementaire. (A rajouter au 100 millions de $ pour 2 Falcon.)


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    Airport_Set_2D-Etihad_Airways_Airbus_A330-200




    (Hélas pour le Résident, le gouvernement indien a refusé 
    qu'il amène avec lui son aéroport personnel)


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    "La vieillesse arrive brusquement, comme la neige.
    Un matin au réveil, on s'aperçoit que tout est blanc."

    [Jules Renard]
    La neige est tombée dès mercredi midi sur la capitale française, comme ici au jardin des Tuileries. L'épaisseur de neige atteignait au soir les 12 à 13 cm en banlieue et 7cm à Paris. 
    (Charles Platiau/REUTERS)


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    "On a beau dire, 
    on n'abandonne jamais toute espérance."

    [Claire de Lamirande] 
    Extrait de la Neige de mai



    "Youpie! Le Monsieur Blanc il m'a promis 
    que j'allais danser à l'Opéra de Paris!
    Il m'en dira plus, ce soir, dans sa chambre"

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    Luc Desle
    « "Tanguant de bonheur, ce tango eut le mal de mer". Benoît Barvin in "Pensées contrefaites""Quand ce communiste voyait rouge, il n'y voyait plus rien du tout". Jacques Damboise in "Pensées à contre-pets" »

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