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    Pensées pour nous-mêmes:

    (VIVRE D'HUMOUR ET

    D'EAU SÈCHE, EVIDEMMENT)

    µµµ

    "Bon Dieu c'qui fait chaud aujourd'hui..."

    theblogcolder: Christina Ricci 

    (via lonewolf2409)

    µµµ

    "Heu... Votre chapeau...

    - QUOI MON CHAPEAU?!

    - Heu... Il est joli..."

    Alice Cooper

    (via m00ndingochan)

    µµµ

    "Toi, t'aimes pas les soutifs...

    - T'as deviné comment?"

    #sarah michelle gellar

    (Source: ltcastillo, via dreyesc)

    µµµ

    Nadine Estrella


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  • ***

    Pensées pour nous-mêmes:

    (DEUX MAÎTRES ENSEMBLE

    VALENT MOINS QU'UN SEUL

    MAÎTRE TOUT SEUL)

    Pcc. Jacques Damboise 

    in "Pensées inconséquentes".

    ***

    "Pourquoi je veux pas venir sur Terre?

    Vous avez vu la manière dont vous

    accueillez vos citoyens quand ils revendiquent?"

    (via discotracker)

    ***

    http://www.dorffer-patrick.com/article-humour-controle-de-police-un-re-u-apres-avoir-re-u-des-coups-106414357.html

    Geneviève Legay
    et les éléments de langage capillotractés

       Pierre Desproges : « de tout mon cœur, de toute mon âme, de toutes mes forces, je hais les coiffeurs » et leurs « commentaires météorologiques vibrant d’incompétence ». 
       L’humoriste ne supportait pas leur « crachin postillonnant des réflexions de philosophie banlieusarde… »

       Si vous remplacez coiffeurs par : médiacrates, politologues de BFMTV, Aurore Bergé, Claire O’Petit, Marlène Schiappa, Christian Estrosi, Christophe Castaner, procureur de la République de Nice ou Macron (expliquant la chute de Geneviève Legay), ça marche aussi. Ecoutez-moi ça : la vieille dame retraitée septuagénaire fragile Geneviève Legay (73 ans) a « fait une chute » est « tombée », a «  été poussée », etc.

       En vérité :


       1- Cette pacifiste militante d’ATTAC a tout juste 2 ans de plus que Jean-Yves Le Drian, un des principaux ministres de Macron (qu’on croyait plus respectueux des vieilles), 


       2- elle a été jetée volontairement par terre par des mercenaires qui ne voient dans le peuple que des bipèdes à faire saigner le samedi. Et en toute impunité : la famille de Zineb Redouane vous le confirmera.

       Théophraste R. Auteur d’un essai aquatique imperméabilisé et inachevé : « Les merlans, les requins et les morues macronistes en 2019 ».

       Plagiat  : « Si la haine des médias, de la justice et de la police et de ceux qui les animent est juste et saine, elle ne doit pas nous empêcher de réfléchir et de penser notre rapport à eux comme une question qui doit se traiter rationnellement dans les termes d’un combat. À chaque attaque, sa réplique particulière ».

    https://www.legrandsoir.info/

     

    ***

    Benoît Barvin


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  • %%%

    Pensées pour nous-mêmes:

    (COURIR, MARCHER,

    DORMIR PLUTÔT...)

    %%%

    (Ce parti de gouvernement était à la poursuite de lui-même)

    oldhollywood-mylove

    Gene Kelly as Don Lockwood 

    Donald O'Connor as Cosmo Brown 

    Debbie Reynolds as Kathy Selden 

    Singin’ in the Rain (1952)

    %%%

    https://www.superprof.fr/blog/professeurs-d-allemand-sur-bordeaux/

    Europe :

    vers l’unité continentale

       L’Europe, et l’Euro, sont rendus responsables de tous nos maux. Certes, les démonstrations des économistes sont convaincantes. Mais enfin, les USA, le Royaume-Uni ou le Japon ne sont pas dans l’Euro, mais vivent les mêmes vicissitudes que le reste du monde occidental. Cela doit nous conduire à relativiser. 

       L’Allemagne est devenue le bouc-émissaire de tous nos maux. On n’entend plus que conspuer « l’ordo-libéralisme » allemand, comme si il existait un « bon libéralisme » anglo-américain ? 

       Au niveau historique, il ne faut pas oublier que l’Allemagne n’est qu’un ennemi relatif de la France. L’ennemi héréditaire et structurant, c’est l’Angleterre (et l’Amérique). Au fil des siècles, la « perfide albion » n’a cessé de manigancer, pour faire s’entretuer les puissances continentales, pour ensuite tirer les marrons du feu à son propre profit. 

       A partir du 19ème siècle, l’Allemagne devient la puissance économique continentale rivale pour les banquiers anglo-américains (d’où la naissance de « l’Entente cordiale » entre la France et l’Angleterre en 1904). L’efficacité industrielle allemande est véritablement à même de renverser la domination anglo-américaine. Un peu à la manière de ce que fait la Chine aujourd’hui, qui inquiète tant l'establishment américain. 

       En 1918, la France a vaincu une première fois l’Allemagne, et en 1945, la Russie (soviétique) a vaincu une deuxième fois l’Allemagne. Mais qui en a tiré profit à chaque fois ? L’Empire anglo-américain ! 

       C’est d’autant plus paradoxal que la France et la Russie, puissance continentales et paysannes, nourrissent toutes les deux historiquement un désir d’unification continentale. Avec Charlemagne et Napoléon pour la France, avec l’idéologie « eurasiatique » pour la Russie. L’Europe « de l’Atlantique à l’Oural » disait même De Gaulle ! Et avant les Allemands avec le Mur de l’Atlantique, ce fut Napoléon qui mena le « blocus continental » contre les menées anglaises. 

       L’UE fut au début conçue comme un moyen de soumettre le continent, un « volet civil » de l’OTAN. Mais dans le même temps, les anglo-américains redoutaient que le bébé ne leur échappât. Il y a une véritable partie de poker-menteur sur l’UE, entre les continentaux et les anglo-américains. C’est une des raisons qui poussèrent le Royaume-Uni a entrer dans l’UE en 1973. Mais l’efficacité économique allemande (surtout après la réunification) finit par tailler des croupières à ses partenaires. Ce fut le Brexit en 2016. L’industrieuse Allemagne est redevenue un adversaire dangereux pour la banque spéculative anglo-américaine. 

       Aujourd’hui encore, il se lève un vent d’anti-germanisme sur le Continent. Ce sentiment nait effectivement de la domination quelque peu asphyxiante de l’Allemagne. Mais ce sentiment sert également -et on n’en parle pas- les intérêts des banquiers anglo-américains, qui cherchent un moyen de soumettre l’Allemagne. 

       Il se joue une page historique pour l’Allemagne. Elle doit enfin s’assumer comme « leader » de l’Europe continentale unifiée. Cela signifie déjà donner de l’air à ses partenaires, afin qu’ils ne soient pas obligés, une fois de plus, de se jeter dans les bras des banquiers anglo-américains. Cela signifie aussi être capable de donner une direction de puissance à cette Unité européenne continentale. La plupart des pays européens sont prêts à jouer cette carte « allemande ». Reste à savoir si l’Allemagne est prête à jouer sa propre carte. 

       Il s'agit presque d'une dimension psychologique profonde pour l'Allemagne : est-elle prête à se "réformer elle-même", afin de pouvoir assumer son destin historique ? Le modèle allemand repose justement sur une conception inégalitaire de l'homme et de la société, mais tempérée par le sens des responsabilités du chef envers ses vassaux (la "famille souche" analysée par E. Todd, ou les "échanges réciproques" analysés par l'anthropologie). L'Allemagne applique ce schéma en interne, mais elle devra l'appliquer en Europe, si elle veut garder sa place. 

       Les partenaires de l'Allemagne au sein de l'unité continentale peuvent trouver leur intérêt dans ce système. En effet, les systèmes inégalitaires ne sont pas forcément négatifs pour les vassaux, qui en échange de leur service au suzerain, perçoivent une protection, une aide, des technologies et des marchés (c'est peu ou prou la manière dont le monde réel fonctionne, au-delà des apparences politiquement correctes). 

       Ainsi, la France, de son côté, évidemment ne doit pas se brader. Elle représente le partenaire stratégique indispensable de l’Allemagne. Un peu comme la Russie est un partenaire stratégique de la Chine, malgré leurs frictions naturelles. La France possède une puissance militaire et un outil technologique de défense unique pour l'Europe. Elle possède un réseau diplomatique, une aire linguistique et un réseau dans la jeune afrique, de première utilité pour une Europe qui saurait enfin s'harmoniser. De même, chaque partenaire doit trouver sa place dans ce système, en pesant l'intrêt de rester et l'intérêt de sortir. 

       D’une manière générale, l’Europe doit cesser de fonctionner sur ce logiciel pseudo-démocratique, qui ne correspond à rien. Au contraire, cela renforce la bureaucratie ! La nature ayant horreur du vide, la vacance du pouvoir « démocratique » en Europe, favorise les secteurs bureaucratiques de l’Union. Soyons honnêtes, il est impossible (et illégitime) d’accorder autant de poids aux grosses nations qu’aux petites en Europe. Il faut évoluer vers une gouvernance de stratégie et de responsabilité : les puissants dirigent, avec cette idée que si ils écrasent trop les petits, ceux-ci finiront par les quitter. De leur côté, les petits doivent cesser de se comporter comme des enfants terribles, car ils n'ont pas vraiment intérêt à quitter l'Union. Pour trouver enfin de l'efficacité, il faut donc un gouvernement hiérarchique dans l'Union. Et mettre en place les institutions réelles qui vont avec. 

       Au-delà des rodomontades et des récriminations (légitimes) des uns et des autres, on voit bien que la plupart des pays renoncent à quitter l’Union, car elle leur apporte malgré tout un avenir. La Hongrie de Orban, pas plus que la Grèce de Tsipras, l'Italie de Slavini ou Chypre. De l'autre côté, les pays du nord et l'Allemagne préfèrent également rester avec ces pays soit-disant du "club med", car en fait, à eux-aussi l'Union apporte des perspectives. Au fond, tout le monde râle, mais tout le monde reste. Et c'est d'autant plus vrai qu'à l'échelle globale, historique et démographique, les nations d'Europe sont en perte de vitesse, et que cette union leur offre une planche de salut (si imparfaite soit-elle). 

       Une telle union continentale serait une révolution pluri-séculaire, et le cauchemard des banquiers cosmopolites anglo-américains. Au niveau stratégique, cette union continentale nous permettrait de nous coordonner enfin avec Moscou et Pékin, tout en gardant notre propre identité. Au niveau civilisationnel, ce serait un coup d'arrêt à la déculturation américaine qui est sur le point d'achever les peuples européens. 

       Si une telle évolution ne peut avoir lieu, alors, effectivement, l'Union explosera. C'est dans l'ordre des choses. Mais ne nous réjouissons pas inconsidérément d'une telle perspective. On sait ce que l'on perd, sans savoir ce que l'on gagne (qu'on songe au sort complexe des pays d'ex-URSS après l'éclatement de leur propre union). 

    https://www.agoravox.fr/actualites/europe/article/europe-vers-l-unite-continentale-213870

    %%%

    Luc Desle


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  • ***

    Pensées pour nous-mêmes:

    (ÉCHANGER DES IDÉES

    COMME ON CHANGE

    D'AMANTS OU DE MAÎTRESSES)

    ***

     nostalgic-random-thoughts

    Astrid Berges-Frisbey.

    ***

    http://canempechepasnicolas.over-blog.com/2015/04/les-etats-unis-contre-la-russie.html

    Leçon d’humour sur le thème de la guerre

       Près de 200 000 soldats US sont déployés dans 800 bases militaires dans 177 pays parmi lesquels plusieurs ne les ont pas invités et sont méthodiquement détruits et pillés par l’occupant. La base étatsunienne la plus connue est celle de Guantanamo, imposée depuis 1959 à Cuba et devenue en 2002 un centre de torture dans l’indifférence quasi générale.

       Sur invitation du président Nicolas Maduro, une centaine de soldats russes, dont des membres des forces spéciales et des spécialistes de la sécurité informatique viennent d’arriver à Caracas. Trump exige leur départ. Sinon…

       Juan Guaido, le putschiste vénézuélien « président par intérim » jure que cette présence est une « violation de la Constitution ». Hier encore, il appelait de ses vœux l’invasion de son pays par les armées de Trump.

       Théophraste R. Auteur de l’ouvrage historique (inachevé) : « Le Jour où Macron donna 8 jours à Trump pour démanteler ses 800 bases. Sinon... ».

    https://www.legrandsoir.info/

    ***

    Benoît Barvin


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  • µµµ

    Pensées pour nous-mêmes:

    (LES FLEURS DU DOUTE,

    JETTE-LES!)

    µµµ

    "Je ne dois pas dépasser?

    - C'est cela, oui"

    v-e-n-a-a-m-o-r-i-s

    µµµ

    "L'hiver est fini?"

    img5.duitang.com

    µµµ

    (Sans paroles)

    http://lovemeravilla.tumblr.com/post/167336550120

    µµµ

    Blanche Baptiste


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  • %%%

    Pensées pour nous-mêmes:

    (PARDONNE-TOI DE NE PAS

    TOUJOURS POUVOIR PARDONNER)

    %%%

    "Bon, maintenant, allons gifler ce petit paltoquet"

    http://thisobscuredesireforbeauty.tumblr.com/post/183520833512/source

    %%%

    https://twitter.com/allanbarte/status/1085806372812402689

    LA MALADIE DE LA

    POLICE FRANÇAISE

    Tieri Briet, le 25 mars 2019

       Je ne savais pas qu'en 1953, le jour du 14 juillet, notre police nationale avait tué huit manifestants qui avaient brandi le drapeau algérien place de la Nation. Je l'apprends en lisant la presse algérienne, ce matin, et c'est d'autant plus douloureux que je viens de visionner d'autres images où c'est la même police qui se déchaîne sur d'autres manifestants, à Marseille ou à Nice. Je continue de penser qu'on affronte une police de plus en plus coupable, depuis longtemps indéfendable et gravement malade de ses crimes.  

        Notre habitude de filmer ou diffuser les images de son acharnement à frapper des corps à terre, à piétiner des opposants déjà ensanglantés n'est plus rien d'autre qu'une résignation collective face à l'ordre nouveau. Je pense à ces citoyens-reporters, en Syrie, qui ont risqué leurs vies pour diffuser les images d'une répression tout aussi acharnée à Damas ou à Homs, au printemps 2011. Ceux qui ont survécu aux massacres affrontent aujourd'hui un exil douloureux, et leurs images ne sont plus visionnées que par les services du renseignement syrien et quelques archivistes, tout au plus.

       Ces images continuent de nous effarer, mais nous savons aussi depuis longtemps qu'elles n'ont pas le pouvoir de nous rassembler dans les rues, qu'elles ne deviendront pas une preuve pour qu'un tribunal puisse condamner le moindre porteur de matraque. En diffusant tant d'images d'hommes blessés impunément, c'est avant tout nos consciences que nous continuons de blesser, et la profondeur de ces blessures devrait nous obliger à changer d'attitude. À faire de nous des incendiaires, saboteurs d'un appareil d'État qui a montré son monstrueux visage, défiguré par la peur et la haine.

       Les yeux crevés des Gilets Jaunes sont devenus le symptôme d'une pathologie honteuse, celle d'un État malade qu'il nous faut maintenant euthanasier si nous voulons garder un peu de dignité.

    https://www.lautrequotidien.fr/articles/2019/3/25/la-maladie-de-la-police-franaise

    %%%

    Benoît Barvin


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  • ùùù

    Pensées pour nous-mêmes:

    (L'HUMAIN EST PARTOUT,

    SURTOUT DANS LA

    DÉSESPÉRANCE)

    ùùù

    "Bill, arrête, tu vas te claquer un muscle du cerveau"

    weightsandcrossfit:

    Muscles and stuff: WeightsAndCrossfit.tumblr.com

    ùùù

    http://npa29quimper.over-blog.fr/article-rapport-gallois-

    un-rapport-de-patron-pour-les-patrons-112159563.html

    La gauche a sa place :

    dans les poubelles de l’histoire...

       Chers « amis » de « gôche », vous qui avez voté Macron il y a un peu moins de deux ans « pour éviter le pire » et qui aujourd’hui crachez sans retenue sur les GJ que vous condamnez au nom de la « violence », de « l’antisémitisme » ou de toute autre calomnie à la mode... Nous ne vous oublions pas !

       « Chers » car vous nous faites payer cher votre raisonnement stupide.

       « Gôche » car c’est au nom de votre aveuglement, de votre vacuité intellectuelle, que vous perpétrez des politiques néolibérales que vous qualifiez de « gôche ». Macron était votre idole aux élections et vous avez largement contribué à l’élire...avec moins de 20% du corps électoral…C’est dire si votre voix compte !

       Vous n’aviez pas prévu la destruction du code du travail ? Vous n’aviez pas prévu Benalla ? Vous n’aviez pas prévu les politiques en direction exclusive des riches ? Vous n’aviez pas prévu la répression des chômeurs ?

       Vous n’aviez pas prévu la casse des services publics ? Vous n’aviez pas prévu la répression sanglante des manifestations ? Vous n’aviez pas prévu la « loi anti-casseur » c’est à dire l’atteinte au droit de manifester ? Vous n’aviez pas prévu le pacte de Marrakech ?

       Vous n’aviez pas prévu le traité d’Aix la Chapelle ? Vous n’aviez pas prévu l’augmentation des tarifs de l’EDF ? Vous n’aviez pas prévu l’augmentation du gasoil ?

       Etc.

       Bref, non seulement vous n’aviez rien prévu, alors que, avec un minimum d’analyse, tout était prévisible...mais vous avez entrainé le peuple dans votre hallucinante galère.

       Vous ne vous sentez pas responsable ?... C’est normal, vous êtes de « gôche »... donc les « amis » du peuple... heureusement que vous l’éclairez, car sans vous, il ne comprendrait rien.

       Malheureusement pour vous et vos élus félons, le peuple a compris... Très bien même. Pendant que vous participez au « grand débat », grand enfumage de Jupiter, le peuple est dans la rue, sans faiblir, depuis le 17 novembre.

       Alors vous revenez au secours de votre idole : vous justifiez les violences policières par la « violence » des gilets jaunes, justifiant au passage la violence capitaliste.

       Vous qualifiez les Gilets jaunes de racistes, de xénophobes, de suppôts de l’extrême droite, de fascisants, de racistes et maintenant d’antisémites. Il est vrai que cela vous permet de défiler avec la cour de Macron-le-petit et d’être sur la photo. C’est logique, après tant d’erreurs, de contradictions de renoncements et de bassesses, la lumière médiatique vous manque.

       Mais vous ne reconnaîtrez jamais vos erreurs. Pour tenter de survivre, et au passage empêcher les autres d’exister, vous persistez. Votre haine du peuple n’a de commun que la hargne de vos semblables il y a 150 ans contre les communards qualifiés de « racaille ». Vous détestez « Ceux d’en bas »...Nous, nous l’appelons le peuple !

       Vous commentez et jugez pourtant le monde que vous ignorez avec une morgue et une suffisance à toute épreuve. Vous n’aimez, dans la démocratie, que ce qui vous permet de débattre entre vous (le petit doigt en l’air), de décider pour tous, de défendre vos privilèges qui accablent le « petit ». Vous adorez l’Union européenne car, c’est votre instrument, votre baguette magique...elle réalise tous vos souhaits. Mais pas assez vite. C’est pourquoi vous êtes êtes au bord de l’extase quand votre maître dit qu’il en faut plus.

       Vous êtes l’antithèse de l’aspiration portée par les GJ. Vous aspirez à un pouvoir autoritaire, capable d’écraser toute contestation, capable de faire taire toute réelle opposition. La « gôche » est à sa vraie place avec Macron.

       Mais prenez garde, c’est une lame de fond sans précédent qui est en train de se forme. Elle emportera tout ce qui se met en travers de sa route pour remplir, les poubelles de l’histoire…

       Bon voyage...

    »» http://www.pardem.org/actualite/en-bref/937-la-gauche-a-sa-place-dans-...
    URL de cet article 34710 
    https://www.legrandsoir.info/la-gauche-a-sa-place-dans-les-poubelles-de-l-histoire.html

    ùùù

    Benoît Barvin


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  • ***

    Pensées pour nous-mêmes:

    (VIVRE DEMANDE

    DE SACRÉS BISCOTOS)

    ***

    "Tu sais ma Chérie que je te kiffe?"

    supermodelshrine

    Meghan by Ellen von Unwerth, early 90s

    ***

    "Pourquoi qu'elle fait la g... en m'embrassant?

    Elle aime pas les filles?"

    http://norrinffm.tumblr.com/post/183670328570/semioticapocalypse-pierre-houcmant-le-baiser

    ***

    "Ma Chérie, je sais que c'est toi qui a fini le pot de confiture

    à la fraise... Pas besoin de me mentir, JE LE SAIS!

    - Quoi? Quoi? Répète un peu?"

    http://norrinffm.tumblr.com/post/183668871453/benhopper-i-just-arrived-in-france-where-im

    ***

    Nadine Estrella


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  • §§§

    Pensées pour nous-mêmes:

    (L’ÉLÈVE DU MAÎTRE

    N'EST PAS SON ENFANT)

    §§§

    (Soudain l'espoir s'en fut)

    (via aleatoryalarmalligator)

    §§§

    https://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/sempe-et-cent-reproches-195927

     

    ILS POURRONT TOUJOURS SUSPENDRE

    LE DROIT DE MANIFESTER...

       Ils pourront toujours suspendre le droit de manifester.

       Pour moi, cela ne changera rien. Sitôt que je mettrai le nez dehors et poserai le pied sur le pavé d'un trottoir ou sur le goudron d'une chaussée, j'exige d'être tenu pour un manifestant. Si l'on me fouille, on ne trouvera sur moi ni armes par destination ni matériel de protection. Je ne porterai pas de cagoule, au pire une casquette.

       Je ne serai pas en noir, on connaît mon amour des couleurs. Je ne porterai pas de gilet jaune non plus, je n'en ai même pas un chez moi. Je ne casserai aucune vitrine. Je ne pillerai aucun magasin de luxe. Je ne brûlerai aucun kiosque. Je n'incendierai pas le Fouquet's, je n'y mangerai pas non plus d'ailleurs. Je n'insulterai personne. Je ne lancerai aucun projectile. Je n'écrirai aucun slogan sur les murs. Je n'en crierai aucun.

       Je serai parfois accompagné. Je serai souvent seul. Et pourtant, chaque pas que je ferai, où que je le fasse, si timide et si discret qu'il soit, sera un pas de manifestant. Je manifesterai comme l'on respire. Et sauf à m'empêcher de respirer, je ne cesserai pas de manifester. Je veux bien alors qu'on m'arrête.

       Je veux bien alors qu'on me poursuive. J'avoue, je plaide coupable: je suis un manifestant né. Je n'ai que trois revendications. J'exige la justice sociale. J'exige la rupture écologique. Et j'exige que les forces de l'ordre ne soient là que pour me permettre de manifester en toute sécurité. À l'abri des LBD et des grenades, comme à l'abri des casseurs. Vous pouvez partager. Devenez mes complices. 


       Jean-Christophe Attias, le 18 mars 2019

       Historien et philosophe français du judaïsme, directeur d’études à l’École pratique des hautes études, titulaire de la chaire «Pensée juive médiévale».

    https://www.lautrequotidien.fr/articles/2019/3/19/ils-pourront-toujours-suspendre-le-droit-de-manifester

     

    §§§

    Benoît Barvin


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    Pensées pour nous-mêmes:

    (L'AMANT NOUVEAU

    EST DE RETOUR)

    ùùù

    "Fait trop chaud, faut aérer les consciences"

    (SOURCE: TONE212, VIA OMOSHIROSOU)

    ùùù

    http://lephare1.e-monsite.com/pages/l-humour-de-resistance.html

    Macron, l’État terroriste

     Hervé Kempf (Reporterre) 

       Le recours à l’armée et l’annonce que le LBD sera employé sans limite sont l’expression nouvelle d’une politique de terreur employée par les gouvernants à l’encontre des contestations populaires. Il faut nommer les choses pour ce qu’elles sont, et résister.

      Le gouvernement a franchi cette semaine un nouveau pas dans l’escalade de la violence d’État. Ce pas nous fait basculer dans une situation nouvelle. En recourant, au nom du maintien de l’ordre, à l’armée — une première depuis 1948 —, en donnant licence aux forces de police d’user sans réserve des lanceurs de balles de défense (LBD), en « partant du principe que ces rassemblements sont des rassemblements d’émeutiers »MM. Macron, Philippe et leurs ministres visent clairement à terroriser celles et ceux qui entendent manifester samedi prochain et les suivants.

       La répression du mouvement des Gilets jaunes a déjà atteint en quatre mois un niveau de violence étatique sidérant, avec plus de 200 blessés graves, 22 personnes éborgnées, cinq mains arrachées, et une personne morte par un tir de grenade. Ce bilan est le plus lourd en matière de répression qu’on ait connu depuis mai 1968. Et non contents de tenir pour négligeables les critiques sur cet emploi démesuré de la force lancées par le Parlement européen, le Conseil de l’Europe, la haute commissaire aux droits de l’Homme de l’ONU, des ophtalmologistes et des chirurgiens effrayés par les « blessures de guerre », les terroristes d’État ont été jusqu’à accuser le Défenseur des droits – qui a recommandé la suspension de l’utlisation des LBD – d’avoir « indirectement » et « implicitement » une part de responsabilité dans le désordre et le vandalisme qui se sont produits à Paris le samedi 16 mars.

       Si tout cela ne suffisait pas, la licence donnée aux BAC (brigades anti-criminalité) et autres DAR (détachements d’action rapide) d’agir sans limite, l’absence de toute sanction contre la dissimulation systématique du matricule d’identification des agents, l’usage de policiers en civil, l’engagement de nouveaux moyens (drones, gaz lacrymogènes lancés depuis des véhicules blindés), confirment que dans leur panique devant la rébellion, M. Macron et ses subordonnés placent le « maintien de l’ordre » au-dessus de toute autre considération.

       Le message envoyé par le gouvernement est clair : toute manifestation des Gilets jaunes sera considérée comme une émeute, et face à l’émeute, tous les moyens sont permis : la mutilation, voire la mort, comme l’a évoqué le Premier ministre devant l’Assemblée nationale.

       Les violences exercées par les forces de police — et éventuellement par l’armée — sur l’ordre du gouvernement sont accompagnées d’une lourde pression sur l’appareil judiciaire pour le mettre au service d’une répression indiscriminée. De surcroît, la loi anti-manifestation, lancée dans un autre moment de panique gouvernementale en janvier, va éborgner un peu plus le droit de manifester en donnant plus de pouvoirs aux préfets et en introduisant des fichages de personnes jugées — par la police — comme susceptibles de violences. Cette loi s’ajoute à une longue liste de lois sécuritaires – pensées en principe pour lutter contre le terrorisme… civil — et dont les dispositions sont appliquées en pratique aux mouvements sociaux.

       Tout ceci n’est pas le seul fait de M. Macron et de ses subordonnés, même s’ils portent une responsabilité particulière dans la situation actuelle, et assument avec plus de cynisme ou d’aveuglement que leurs prédécesseurs — de Sarkozy à Valls — l’idée de terroriser les contestataires. Elle découle d’une évolution engagée depuis une vingtaine d’années — on pourrait en dater l’origine au Patriot Act adopté aux États-Unis en 2001 — et au long de laquelle les classes dirigeantes se sont éloignées des principes démocratiques pour mettre en place un système oligarchique. Et face aux contestations voire aux révoltes de plus en plus nombreuses se levant contre cette évolution et contre l’extension infinie des principes néolibéraux et de l’inégalité qui l’accompagnent, ils ont recouru à des moyens d’une brutalité répressive toujours plus intense.

       Dans le cas français, cette radicalisation des classes dirigeantes est favorisée par deux facteurs. D’abord, la synchronisation décidée en 2002 de l’élection présidentielle et des élections législatives assure au chef de l’État — puisque les députés sont élus dans la dynamique de la victoire présidentielle — une assemblée à sa botte, et donc une quasi impunité politique durant cinq ans. Un deuxième facteur facilitant la brutalisation du pouvoir étatique en France est le contrôle de l’essentiel du système médiatique par les dominants, si bien que l’opinion est orientée par les choix de thèmes traités et par les commentaires des chiens de garde — les Apathie, Barbier, Elkrieff, Calvi, on en passe, et des dizaines — de façon à rendre primordiaux les concepts d’« ordre » et de « sécurité », et très secondaires les réalités de l’inégalité, les souffrances endurées par les classes populaires et la dégradation continue de l’environnement naturel. Les contre-pouvoirs aux excès de l’État sont ainsi structurellement affaiblis.

       Il importe de qualifier le régime politique dans lequel nous sommes, et qui n’est plus une démocratie, malgré ce que serinent jour après jour les chiens de garde. « Quelque chose glisse »observe Daniel Schneidermann« que les médias peinent à nommer ». Il s’agit bien d’une oligarchie, mais la violence qu’elle exerce pour maintenir sa domination exprime une qualité particulière que le terme de « dérive autoritaire » ne suffit plus à qualifier. Régime autoritaire, sans doute. Mais ce qui se joue en ce moment est plus dangereux encore. Le mot d’État terroriste m’est venu.

       Il s’agit bien de terroriser la révolte sociale qui s’est levée depuis quatre mois. Dans une émission de radio en mars 2018, le philosophe Geoffroy de Lagasnerie disait que « Macron essaye d’instaurer un gouvernement de la terreur » : en affaiblissant les dispositifs de protection des personnes (ce que fait la politique néolibérale), expliquait M.de Lagasnerie, Emmanuel Macron rend les travailleurs soumis aux patrons, par terreur du licenciement, les chômeurs soumis aux contrôleurs, les migrants à la police, etc. Une observation comparable a été faite par l’avocate Judith Krivine : « Les gouvernements qui se succèdent privent les salariés de leurs droits et leur rendent l’accès au juge plus difficile, ce qui rend les recours de plus en plus décourageants. »

       Ainsi, la violence blessante voire meurtrière des forces d’État est le volet le plus apparent d’une politique généralisée de la peur dans tous les rapports sociaux au profit des puissants. L’État terroriste de M. Macron et de la classe dont il est l’instrument n’annonce pas seulement qu’il est prêt à tuer les Gilets jaunes. Il leur refuse toute concession, et entend poursuivre sans fléchir sa politique nous entraînant dans le chaos climatique et social.

       Mais quand on règne par la peur, on n’a plus d’autorité, on ne suscite plus aucune adhésion. Il ne reste que le pouvoir, dans la froide férocité du rapport de force. La bêtise criminelle des possédants dont la macronie est aujourd’hui l’expression ne doit cependant pas générer la peur par laquelle ils veulent nous paralyser, mais le simple et âpre sentiment qu’aujourd’hui, il n’est d’autre attitude digne que la résistance.

    https://reporterre.net/Macron-l-Etat-terroriste

    ùùù

    Benoît Barvin


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