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    Pensées pour nous-mêmes:

    (DIEU N'AIME PAS

    LES CHOCHOTTES)

    PCC Jacques Damboise in

    "Pensées à donf"

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    (Source: art-grome, via la-passion-de-salome

    $$$

     https://www.varmatin.com/justice/quid-du-harcelement-sexuel-devant-les-tribunaux--49349

    Violences sexuelles au travail :

    une victime témoigne de sa descente aux Enfer

       Victime pendant plusieurs mois d’agressions sexuelles et de menaces de mort au travail, Clara* a fait face à l’inaction de ses employeurs et au rejet de ses demandes devant la justice. Dans le témoignage qui suit, elle raconte sans filtre le parcours de l’impossible pour les femmes harcelées et violentées qui veulent faire entendre leur voix et faire valoir leurs droits.
     

       « Je travaillais en tant que Manager en restauration. J’étais responsable de service ; j’ouvrais et je fermais le magasin, je gérais le personnel et avais accès à l’argent dans le coffre. Mon harceleur, Jérôme*, était un grade en dessous de moi.

       Tout a commencé par des blagues douteuses, des allusions à propos de mes fesses, ou des regards insistants et mal placés. Au bout d’un mois de travail, il a pris l’habitude de venir dans le vestiaire des filles en caleçon pendant que je me changeais et que j’étais seule, pour se « mettre en avant » devant le miroir. À chaque fois, je lui demandais sèchement de partir. En dépit de mes oppositions, la situation s’est rapidement dégradée. Jérôme a commencé à insister pour que je « couche avec lui ». Face à ses « propositions », la plupart du temps, je partais, gênée, et sans rien répondre.

       Ce n’est pas faute d’avoir alerté mes supérieurs à propos de la situation. Mais ces derniers n’ont pas pris mon propos au sérieux, pour des raisons que je ne saurais expliquer. Comment vouliez-vous que je réagisse devant cet homme si je n’étais pas soutenue ? Je me souviens du soir où ça a vraiment dérapé une première fois. Ce soir là, je fermais. Et comme d’habitude, Jérôme ne faisait rien d’autre que de faire ce qu’il voulait. Je me souviens le voir assis sur la poubelle de la ligne de caisse en jouant sur son téléphone.

       Et puis, brusquement, il s’est collé à moi, m’a bloquée contre le « passe » qui relie cuisine à caisse. Je ne pouvais plus bouger. Il m’a cerclé de ses bras et tandis qu’il était collé contre mon dos, il s’est mis à se mouvoir et à danser contre moi, frottant son pénis en érection contre mes fesses. Je ne pouvais pas le laisser faire alors je l’ai repoussé violemment en criant. Il est parti avec un regard mauvais.

       Le lendemain, j’ai immédiatement alerté la direction. L’information est remontée. Et quelques jours, après mon agresseur venait me chercher pendant un service que nous avions en commun pour me cracher à la figure le fait que ce qui s’était passé l’autre soir « n’était qu’un jeu ». Il me faisait payer pour avoir osé me plaindre.

       Après cet épisode, il est devenu de plus en plus virulent : il ne cessait de me rabaisser, de me juger. Il me traitait de tous les mots et dès qu’une personne arrivait vers nous, il changeait brusquement d’attitude pour faire croire que nous menions une conversation normale. De la manipulation la plus perverse qui me mettait constamment en porte-à-faux vis-à-vis de mone mployeur, qui ne voyait pas de quoi je me plaignais.

       Peu à peu je suis entrée dans une bulle noire. Malgré le harcèlement physique et moral que je subissais, la directrice protégeait Jérôme. De mon côté, j’ai commencé à avoir peur d’aller au travail. Le soir, quand je rentrais chez moi, je composais le numéro vert pour les victimes d’agressions sexuelles. J’en étais au point d’avoir peur de sortir. Puis il a commencé à me menacer de mort. Plusieurs fois et ce dans le cadre du travail. À trois reprises, il est venu se coller nez à nez avec moi. Il m’a dit qu’il allait me frapper, me tuer, que je n’étais qu’une hypocrite, que je n’avais rien à faire là, que j’étais inutile.

       La dernière altercation a été la plus violente. J’avais décidé de me défendre, de ne plus lui laisser le dessus. Ce jour-là, le directeur adjoint l’avait fait partir se changer pour qu’il ne soit pas sur mon service. Une fois changé, il est venu me chercher en tenue civile en désignant la caméra du doigt en me criant qu’il n’était pas fou, qu’il ne me frapperait pas devant les caméras, qu’il m’attendrait jusqu’à la fermeture s’il le fallait. Témoin de la scène, le directeur adjoint l’a calmé et a proposé un échange dans le bureau. Jérôme m’a insulté tout du long. Et tandis que je luttais pour ne pas lui faire le plaisir de pleurer, je n’avais qu’une idée dans la tête : sauter par la fenêtre. Pas pour mourir. Mais pour dire « stop, je vous en supplie, je ne peux pas plus. »

       Quelques semaines plus tard, les entretiens annuels réalisés au sein de l’établissement auprès des salariés ont mis en évidence que je n’étais pas la seule victime de Jérôme et qu’il avait des comportements similaires avec une autre collègue. Nous avons alors décidé de porter plainte. Elle pour agression sexuelle, et moi pour agression sexuelle, menace de mort réitérée et harcèlement moral. Énième désillusion.

       La plainte de ma collègue a été classée sans suite. La mienne pour agression sexuelle a également été classée sans suite, tout comme celle pour menace de mort. Lors de ma confrontation avec mon agresseur, les agents de police en présence ont prétexté son énervement pour expliquer ses menaces à mon encontre. Face aux agents, il a suffi à Jérôme de dire qu’il n’avait aucune intention de me tuer pour s’en sortir. Mais le pire ? La policière a suggéré que mon histoire était bancale puisque, selon elle, si on ne s’entendait pas bien il n’avait aucune raison de me toucher.

       C’est comme ça que l’on en est venu à me traiter de menteuse. J’ai mis 4 mois après la confrontation pour ressortir de chez moi parce que j’avais peur de le croiser ainsi que ses amis. J’ai dû combattre ma dépression et je n’ai toujours pas arrêté de ressasser cette histoire. Je n’ai toujours pas de réponse en ce qui concerne ma plainte pour harcèlement moral et je n’ai jamais compris pourquoi ma plainte pour agression n’a pas été retenue alors que deux caméras de sécurité peuvent attester de ses actes à mon encontre.

       En France, en 2019, un an après #metoo, les violences contre les femmes restent taboues. Que ce soit dans le cadre professionnel ou devant la justice, notre parole n’est pas écoutée, nous ne sommes pas prises au sérieux. Et quand on ose s’exprimer, on arrive encore à être rendues coupables pour les violences dont nous sommes victimes. »

     https://mrmondialisation.org/violences-sexuelles-au-travail-une-victime-temoigne-de-sa-descente-aux-enfers/

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    Benoît Barvin


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    Pensées pour nous-mêmes:

    (POLIR SON BONHEUR

    A CHAQUE MINUTE)

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    (J'aime pas les gens)

    (Source: youneedone2)

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    (via lord-of-hahn)

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    By Chema Madoz

    http://youneedone2.tumblr.com/post/181399198866/by-chema-madoz

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    Nadine Estrella


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  • ***

    Pensées pour nous-mêmes:

    (L'HUMILIATION EST UN

    SENTIMENT DIFFUS)

    ***

     (Pour entrer dans ce long courrier,

    les passagers devaient être sacrément souples)

     https://infinite-paradox.tumblr.com/post/182746571947

    ***

     https://www.huffingtonpost.fr/xavier-delucq/les-consequences-

    inattendues-de-la-taxation-du-metal-par-donald-trump_a_23381209/

    Le déclin des classes populaires américaines

     Ioana Marinescu, professeure d’économie

    à l’université de Pennsylvanie 

       La semaine dernière, Donald Trump a présenté son discours annuel sur l’état de l’Union, insistant sur la situation économique exceptionnellement favorable des Etats-Unis. Mais la croissance économique n’efface pas les problèmes structurels du pays : la semaine dernière, j’ai participé à une table ronde sur le déclin des classes populaires. Des experts de droite comme de gauche se sont réunis pour produire un rapport sur le sujet (1).

       La classe populaire, ce sont les gens ayant le niveau bac mais sans diplôme du supérieur, et qui ont un revenu un peu en dessous de la moyenne. L’un des problèmes centraux de la classe populaire est le déclin économique. Les salaires de cette catégorie n’ont pas augmenté depuis les années 90, alors que la valeur totale de son patrimoine a diminué. En particulier, le patrimoine immobilier des classes populaires a été durement touché par la crise de 2008 : en 2000, 66 % étaient propriétaires de leur logement, alors qu’en 2016 seulement 57 % l’étaient.

       En plus de ce déclin économique, les classes populaires ont été affectées par des problèmes sociaux. En 2016, les overdoses médicamenteuses étaient la cause numéro 1 de décès parmi les Américains de moins de 50 ans. Une cause majeure de ces décès par overdose est la prescription excessive d’un médicament opioïde contre la douleur (l’oxycodone) et la création d’un marché noir pour ce médicament addictif. Un autre problème social est l’augmentation de la proportion des enfants élevés par un seul parent, ce qui a tendance à accroître la pauvreté et à diminuer les opportunités d’ascension sociale.

       Les experts se sont penchés sur ces problèmes pour proposer des solutions qui pourraient satisfaire la droite et la gauche américaine : une mission ardue, étant donné la divergence d’opinion croissante entre les démocrates et les républicains. Il a fallu se mettre d’accord sur des valeurs communes, et c’est finalement la place centrale du travail qui en est ressorti : les experts proclament qu’il faut restaurer le contrat social pour que celui qui travaille dur et suit les règles puisse avancer dans la société. Les experts proposent donc de renforcer les politiques qui promeuvent le travail et de réformer la protection sociale dans ce sens.

       Sur la réforme de la protection sociale, le rapport propose de renforcer le contrôle des chômeurs qui reçoivent l’assurance chômage, une proposition qui rappelle celle d’Emmanuel Macron. Même si un contrôle standard est utile pour inciter les chômeurs à retourner à l’emploi, le contrôle renforcé est inefficace et peut avoir des effets pervers (2). Par exemple, au Royaume-Uni, le nouveau système a imposé un tel coût aux chômeurs que certains ont été découragés. Ils ont complètement arrêté de chercher un emploi et sont passés aux allocations handicap, ce qui a in fine diminué le taux d’emploi.

       Sur la promotion du travail, les experts proposent d’étendre la prime pour l’emploi. A l’heure actuelle, cette prime n’est substantielle que pour les parents isolés. Le rapport propose de doubler la prime pour l’emploi pour les travailleurs sans enfant. C’est une idée prouvée, qui augmenterait les revenus des classes populaires, même si une partie des bénéfices se retrouvera dans la poche des entreprises. En effet, la prime augmente le bénéfice d’une heure de travail pour le salarié, donc les entreprises pourraient se permettre de le payer moins.

       Pour promouvoir le travail, les experts pensent aussi qu’il faut résister à l’introduction d’un revenu universel. Non pas parce que cela décourage l’emploi - ce qui n’est pas forcément le cas, comme le montre ma recherche sur l’Alaska (3). Non, leur argument est que le revenu universel décourage la politique pour l’emploi : «Le but de la nation devrait être l’emploi universel, pas le revenu universel», et «instaurer un revenu universel évite aux politiques une tâche plus difficile : s’assurer que tout le monde dans la société puisse participer pleinement et contribuer de façon productive». Chacun peut avoir son opinion sur les buts de la nation, mais il n’est pas du tout évident que le revenu universel décourage la politique pour l’emploi. Est-ce que l’assurance chômage décourage la politique pour l’emploi ? Probablement pas.

       En conclusion, l’extension de la prime pour l’emploi est l’une des pistes les plus solides proposées par ce rapport pour améliorer la situation de la classe populaire américaine. Bien sûr, cela suppose que les deux partis puissent se mettre d’accord, ce qui n’est pas gagné. Affaire à suivre pour la deuxième partie du mandat de Trump…

    (1) www.aei.org/press/restoring-opportunity-for-the-working-class/
    (2)  Libération du 4 avril 2017.
    (3)  Libération du 8 mars 2017.

    https://www.liberation.fr/debats/2019/02/11/le-declin-des-classes-populaires-americaines_1708769

    ***

    Luc Desle


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    Pensées pour nous-mêmes:

    (LA JUSTESSE DE LA JUSTICE,

    PARLONS-EN!"

    +++

    http://norrinffm.tumblr.com/post/182820564114/boudhabar-by-bernard-of-hollywood

    +++

    http://survet.lapin.org/index.php?number=9

    Archéologie. 

    Les mégalithes d’Europe seraient

    tous issus d’une même civilisation

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       Stonehenge, ce célèbre monument mégalithique d’Angleterre n’est que l’un des milliers de sites où l’on peut voir des roches curieusement arrangées en Europe et sur le bassin méditerranéen. Une étude parue le 11 février dans Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America (PNAS) suggère que tous ces sites n’ont pas été conçus indépendamment les uns des autres mais qu’ils remonteraient à une seule et même civilisation, apparue il y a environ 7 000 ans dans ce qui est aujourd’hui la Bretagne.

       “Les résultats indiquent également que les humains de l’époque étaient de meilleurs navigateurs qu’on ne le croit généralement, diffusant leur culture par voie maritime”, complète Science. Pour parvenir à ces conclusions, Bettina Schulz Paulsson, chercheuse à l’université suédoise de Göteborg, a passé au crible les données de datation au carbone 14 de 2 410 sites antiques européens afin de reconstituer une chronologie archéologique. “Les datations provenaient principalement de restes humains enfouis dans les sites”, détaille la revue scientifique.

       La chercheuse a également pris en compte des informations sur l’architecture des sites, l’utilisation des outils et les coutumes funéraires afin de mieux cerner les époques. Elle a découvert que les tout premiers mégalithes provenaient du nord-ouest de la France, où ils sont appelés dolmens. “Ceux-ci datent d’environ 4 700 av. J.-C., lorsque la région était habitée par des chasseurs-cueilleurs”, détaille Science.

       Aux environs de 4 300 avant J.-C., cette civilisation aurait propagé sa culture en construisant “des mégalithes sur divers sites littoraux dans le sud de la France, au bord de la Méditerranée et sur la côte atlantique de la péninsule Ibérique”rapporte encore Science. Pour l’archéologue spécialiste de Stonehenge à l’University College London Michael Parker Pearson, cité par la revue scientifique : l’étude montre de façon satisfaisante que les mégalithes sont d’abord apparus dans le nord-ouest de la France, mais [je] n’exclus pas la possibilité que par la suite d’autres cultures aient eu la même idée de leur côté”.

       Des études complémentaires impliquant l’analyse d’ADN ancien seraient bienvenues pour corroborer l’hypothèse de Bettina Schulz Paulsson ou au contraire l’infirmer.

    https://www.courrierinternational.com/article/archeologie-les-megalithes-deurope-seraient-tous-issus-dune-meme-civilisation

    +++

    Benoît Barvin


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    Pensées pour nous-mêmes:

    (DANS LA VIE ÊTRE HEUREUX

    EST UN VRAI SACERDOCE)

    ***

    Reblogged from Träumen Vinyl von elektrischen Schafen?

    ***

    http://malakoffantilberalunitaire.over-blog.org

    /2019/01/l-humour-noir-des-gilets-jaunes.html

    Portrait et destin des gilets jaunes

       Les gilets jaunes (qui s’appellent tous Jojo) sont d’extrême gauche, d’extrême droite, récupérés par La France Insoumise, antisémites, anti-migrants, homophobes, misogynes, violents, fumeurs de clopes, manifestants sans autorisation, incendiaires, casseurs, liquidateurs de petits commerces, consommateurs de diésel, énergivores, complotistes, manipulés par les Russes et chiatiques.

       Les médias vous ont servi ce désastreux portrait, pas vrai ?

       Or, en vérité, les gilets jaunes sont intercepteurs de balles de flash-ball avec leurs yeux ou leurs mâchoires, bloqueurs de grenades avec leurs mains ou leurs pieds, réceptionnistes des matraques avec leur tête, leurs jambes, leurs épaules, leur dos, enfileurs de menottes, gros consommateurs de colliers serflex, amateurs de gaz qui pique aux yeux et aux poumons, peinturlureurs de pavés à l’hémoglobine, voyageurs sans billet dans des fourgons à gyrophare, dormeurs oisifs dans des cellules gratuites, futurs pensionnaires de Fleury-Mérogis où ils ne croiseront ni Benalla, ni les Balkany, ni Guéant.

       L’histoire mondiale retiendra cependant qu’ils ont affronté jusqu’à 90 000 policiers (dotés d’armes quasiment létales) pour dire la haine des pauvres envers un président-roitelet, ivre d’orgueil, trop petit pour son palais de l’Elysée d’où il commande qu’on le sauve en frappant, gazant, amputant, condamnant, emprisonnant.

       La question est de savoir si les policiers désormais armés de fusils d’assaut tireront sur les manifestants en croyant défendre la République ou bien s’ils mettront crosse en l’air pour ne plus servir un président devenu l’ennemi de son peuple.

    Théophraste R. Corédacteur du mémoire (à paraître)  : « Condamnations des policiers de terrain après la chute de Macron. »

    https://www.legrandsoir.info/

     

    ***

    Benoît Barvin


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    Pensées pour nous-mêmes:

    (NE JAMAIS DIRE POUR DIRE

    MAIS POUR CHANGER LE MONDE)

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    (Isadora priant les Dieux pour qu'on la débarrasse

    du paltoquet de l'Elysée Montmartre)

    Maria-Theresa Duncan, adopted daughter of Isadora Duncan,

    dancing at the Acropolis, Athens, Greece, 1921, photo by Edward Steichen

    http://wehadfacesthen.tumblr.com/archive

    £££

    (L'appareil anti paltoquet de l'Elysée Montmartre

    prenait forme)

    Joan Blondell in the pre-Code comedy The Greeks Had A Word For Them  (Lowell Sherman, 1932).

    http://wehadfacesthen.tumblr.com/archive

    £££

    "Enfin, Joan, on va deviner que tu as une sulfateuse sous

    ton manteau pour le paltoquet de l'Elysée Montmartre!

    - Meuh non..."

    Rita Hayworth, 1941, photo by AL “Whitey” Schafer

    http://wehadfacesthen.tumblr.com/archive

    £££

    Blanche Baptiste


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    Pensées pour nous-mêmes:

    (NOMMER LE BONHEUR

    C'EST LE TRAHIR)

    %%%

    (Wanda, quand elle avait bu, était super rigolote)

    (Source: green-nordic-light)

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    http://chb70.eklablog.com/l-europe-humour-a126516374

    Europe : on ne fait pas

    une omelette avec des œufs durs…

       - Salut Loulle. On va bientôt voter pour l’Europe. Mais une Europe que les margoulins ultralibéraux qui l’ont confisquée ont réussi à faire détester par les populations. En réalité, il y a deux Europe, celle du nord et celle du sud, celle des buveurs de vin et celle des buveurs de bière. Voire trois avec les ex pays de l'Est. Ne vaudrait-il pas mieux organiser ces différences plutôt que de s'entêter dans un rêve fédéraliste impossible.

       - Ah ! Trois Europe pour le prix d’une. Et alors, on fait quoi ?

       - On pourrait réfléchir à reconstruire l’Europe selon des regroupements de nations. Un peu comme on a regroupé les départements français en grandes régions selon les proximités géographiques et culturelles. Pourquoi pas la création d’une grande Nation latine, qui s’appellerait Latinia et qui regrouperait la France, l’Italie, l’Espagne, le Portugal, la Belgique Wallonne et la Suisse non alémanique (parlant français, italien, romanche). On pourrait et devrait y intégrer évidemment la Grèce et la Roumanie. Avec convergence en matière fiscale et sociale, ce que refuse l'UE actuelle. Armée commune, diplomatie commune, on verra à l'usage. Monnaie : l’euro latin.

       - Bref, les buveurs de vins, ayant subi la religion catholique. C’est tout de même mal barré avec nos amis italiens qui nous font la gueule !

       - On peut le voir comme ça, selon ta vision de mastroquet. Quant à la brouille avec les Italiens, c’est de la rigolade : nos deux pays sont amoureux l’un de l’autre depuis plus de deux millénaires… Alors les cargagnages de Macron et de Di Maio, ce n’est que pisse de chat. Bref, on mettrait comme langue non pas commune mais véhiculaire évidemment le latin, langue de base de tous les idiomes parlés dans cet espace géographique, et véritable ciment culturel entre leurs populations. Ce pourrait être une confédération, sur le modèle suisse. Quant à la capitale confédérale, ce serait probablement Paris, ou Barcelone ? Ou Milan ? Ou Genève ?

       - Pourquoi pas Avignon Victor ? Ville qui a déjà été capitale de la chrétienté ! Et qui a une position géographique idéale entre le nord de la France, l’Espagne et l’Italie ?… teng ! Mon bistro prendrait de la valeur. Je vois d’ici la pancarte : « Bistrotum Loulo. Potest bibere, manducare, disputatio. »

       - C’est vrai que ça aurait de la gueule. Ce Latinia aurait une population de plus de 220 millions d’habitants, atteignant ainsi la taille critique des grands pays (plus que la Russie, plus que le Japon). Son PIB atteindrait les 10 000 milliards d’euros, à comparer à celui des États-Unis (18 000 milliards) et de la Chine (12 000 milliards d’euros). Il serait au troisième rang mondial.

       - Mais, et l’Allemagne ? On ne va pas encore se fâcher avec nos cousins germains ? On sait trop où ça mène…

       - L’Allemagne pourrait, sur le même modèle, créer une autre grande Nation regroupant les pays de culture et de langue nordico-germanique : l’Allemagne, les Pays-Bas, la Belgique flamande, le Danemark, la Suède, l’Autriche, le Luxembourg, la Finlande, les Pays baltes et peut-être, mais pas sûr, la Pologne. Ça ferait une nation – Germania – équivalente, avec 182 millions d’habitants et 6 500 milliards d’euro de PIB. Avec pour monnaie l’euro nordique.

       - Le pays buveurs de bière. Ayant subi la religion protestante.

       - C’est vrai. Quant aux pays de l’est de l’Europe, ils pourraient eux aussi se regrouper en une autre grande Nation.

       Ces trois nations créeraient ensuite naturellement, ensemble, l’Union des Grandes Nations d’Europe. Basée sur la solidarité et non sur la « concurrence libre et non faussée ». Il serait probablement plus facile de faire vivre et travailler ensemble des populations se comprenant et ayant des affinités naturelles.

       - Ce serait toujours mieux que le foutoir actuel. Allez, « At nostri ! Vinum purpuriso ! »

       - Bien Loulle. A la nôtre et du vin rouge car, comme disait Horace : « Nulla placere diu nec vivere carmina possunt, quae scribuntur aquae potoribus ». Ce qui veut dire « Des vers ne peuvent plaire ni durer longtemps s'ils ont été écrits par des buveurs d'eau ! »

    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/europe-on-ne-fait-pas-une-omelette-212567

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    Benoît Barvin


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    Pensées pour nous-mêmes:

    (LE PUISSANT L'EST MOINS

    QUE LE TOUT PUISSANT)

    Pcc Jacques Damboise in

    "Pensées à donf"

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    "Bon, j'ai tout pris, j'ai donc le temps de boire un jus..."

    https://infinite-paradox.tumblr.com/post/182610334536

    ***

    https://www.pinterest.es/pin/452682200024350879/

    Lobbycratie ou lobbytomie ?

       Aujourd’hui, les dangers de l’amiante, des pesticides, du tabac, de l’alcool ou des perturbateurs endocriniens semblent bien documentés et ne plus faire plus l’ombre d’un doute. Du moins, pour qui veut bien « s’informer »... Ou ne pas céder aux manipulations des marchands de doute embusqués au coeur de nos systèmes d'"information" ... S’agissant du tabac, il a fallu des décennies d’une bataille d’informations et de rapports plus ou moins « indépendants » pour en arriver à une conclusion aussi implacable qu’irréfutable : « Fumer tue » - du moins ceux qui succomberaient à leur addiction, comme dirait un Monsieur de La Palisse de nos temps...

       Mais le doute bénéficie toujours à d’autres « acteurs » de la vie économique qui usent de stratégies pernicieuses afin de continuer à diffuser leurs produits toxiques « voire parfois mortels » en bloquant toute vélléité de réglementation à leur sujet. Ainsi des perturbateurs endocriniens. Stéphane Horel leur a consacré un livre, Intoxication (La Découverte, 2015), récompensé par le prix Louise Weiss du journalisme européen.

       Des études continuent à être réalisées sur le Bisphénol A (BPA) ou sur d’autres nuisances qui interfèrent avec le système hormonal. Mais nombre de ces « études », subventionnées par l’industrie chimique, ne « trouvent » pas d’effets sur la santé de ces produits, en dépit de l’accumulation de faits bien établis et de preuves évidentes... Bref, la recherche trouve parfois ce qu’elle veut – ou ce qu’ « on » lui suggère de bien vouloir « trouver »...

       Ainsi se fabrique, de déformations de preuves scientifiques en fabrique de mensonges, une « industrie du doute » au profit des marchands de nuisances dont la dynamique d’illimitation emporte toutes les digues de la décence commune et de la santé publique...

       Dès l’introduction de son nouveau livre, Stéphane Horel dresse ce constat glaçant et sans appel : « Depuis des décennies, dans le seul but de maintenir sur le marché des produits parfois mortels, des firmes sont engagées dans une entreprise de destruction de la connaissance et de l’intelligence collective. Elles font commerce de la science, créent le conflit d’intérêts, disséminent leur propagande : la mise en oeuvre de ces stratégies pernicieuses est au coeur d’une gigantesque manufacture du doute. Devenue rouage essentiel de l’économie de marché et du monde moderne, la manipulation de la science a progressivement redessiné jusqu’aux contours de la démocratie. »

    Mais qu’est-ce que « la science », au juste, si ce n’est un « processus de construction de la connaissance et de production du savoir  » ? Ainsi, la psychanalyse, « conçue pour comprendre et soulager la souffrance des êtres », a été « hybridée avec la propagande dans le but de vendre » tout et n’importe quoi aux « consommateurs » dont on « malmène l’humanité ». La faute à Edward Bernays (1891-1995), ce « profiteur de la psychanalyse » ?

       Neveu de Freud, le publiciste austro-américain avait inventé la propagande institutionnelle et l’industrie des relations publiques au service des industriels du tabac pour... convertir les femmes à la cigarette durant les Années folles – en faisant passer la fumeuse vessie de l'addiction tabagique pour la lanterne rouge d'une souveraine manifestation de liberté...

       Le langage est vidé de son sens par l’artifice des « renominations ». Ainsi, les pesticides et autres produits avec leur suffixe « cide » (venu du latin « tuer ») sont rebaptisés en « produits phytosanitaires » et infestent la chaîne alimentaire... Stéphane Horel avait reçu, avec Stéphane Foucart, le European Press Prize de l’investigation pour la série sur les Monsanto Papers - mais les pesticides « renommés » n’en poursuivent pas moins leur oeuvre mortifère dans nos écosystèmes...

       Il n’y a pas que la malbouffe (junk food) ou les poisons industriels qui abîment le corps : il y a aussi la « malinformation » qui gangrène l’esprit. Comme celle fabriquée par les lobbyies qui passent commande de « recherches » dites « scientifiques » aboutissant aux « résultats » exigés par les industriels. Ou celle de ces « experts juges et parties » qui conditionnent pour des décennies les politiques de santé publique sans que cela ne trouble un seul « responsable politique »...

       Cette manufacture du doute, cette fabrique de controverses, cette « science de diversion » achetée au prix de son reniement (junk science) gangrènent aussi nos démocraties.

       Serait-ce là le « prix à payer » juste pour une illusion de confort dans un système de fraude et d’irresponsabilité généralisées ? Stéphane Horel en rappelle le coût caché : « Nous ne pourrions nous permettre l’opulence de la société de consommation si le coût astronomique de cette destruction de la connaissance était compris dans le prix des biens que nous achetons. Les dégâts qu’elle engendre sont le plus souvent à la charge de la collectivité, c’est-à-dire nous, individus, par le biais de nos cotisations sociales ou des atteintes à notre santé. »

       Mais qui va payer le « juste prix » de ce gâchis et de cette dévastation planétaire ? Qui « responsabiliser » à cet effet jusque sur son patrimoine ?

       La journaliste laisse entrevoir une piste de réflexion : « Les responsables de ce désastre ne sont des sociétés « anonymes » que d’un point de vue juridique. Les sociétés engagées dans cette destruction de l’intelligence collective et de la connaissance scientifique possèdent des noms, des logos et des adresses. »

       Mais "que fait l’Europe" ? La Commission européenne ferait-elle le choix délibéré de s’appuyer sur des études financées par les industriels ? Stéphane Horel interroge le fonctionnement d’une machine qui semble rouler au-dessus des moyens et des intérêts de citoyens tenus à l’écart des décisions qui pourtant les concernent au premier chef : « Qu’est-ce donc que ce système politique où interrogations et critiques provoquent l’inverse de ce qu’elles devraient dans un débat démocratique ? (...) Embarqués dans une opération de repli hostile, les responsables européens se sont retournés contre le public (...) L’appareil administratif de l’Union européenne n’est-il qu’une gigantesque machine à traiter les besoins des acteurs économiques, un ustensile dont la vocation serait d’infuser leurs desiderata ? »

       Le sentiment de confiscation démocratique éprouvés par les peuples européens se traduit par une désertion des urnes... Faudrait-il interroger aussi la nature du « projet européen » ? Serait-il réaliste d’exiger une « repolitisation, urgente et nécessaire, de ces questions », sachant que « le pire cauchemar de ces industriels de la dissimulation et du cancer, c’est en fait la démocratie » ?

       Si le « crime de destruction de la connaissance » n’existe pas, est-ce à dire que l’impunité est assurée pour ceux qui captent à leur profit la science et la production de connaissance ? Pour Stéphane Horel, il ne s’agit rien moins que d’une captation de la démocratie : « Nos sociétés ont mis des siècles à développer des processus raffinés de production et de contrôle des connaissances. En se les appropriant, les industriels sont parvenus à implanter l’ignorance au coeur de la décision collective en quelques décennies seulement.  »

       Le « curseur de l’intérêt général semble déréglé » dans nos « démocraties avancées » dont le jeu politique faussé n’assure plus des gouvernements véritablement représentatifs. Si le « totalitarisme marchand » (appuyé par le consumérisme d'Etat forçant à la dépense...) n’est pas une fiction et si la frénésie accaparatrice de quelques uns n’est pas seulement une hypothèse « complotiste », la démocratie ne relèverait-elle pas, alors, d’un mythe non avenu et non opérant puisque le « mirage des urnes » s’avère impuissant à constituer un frein à la plus corrosive des corruptions ?

       Jacques Maritain appelait « démocratisme » ce « mythe religieux » d’une démocratie incantatoire et fétichisée dont les infortunes ne pourraient cesser qu’avec l’abolition de la domination de l’homme par l’homme et de la recherche de « profit » à tout prix... Quelle arme de reconstruction et de repolitisation massive pourrait contrer celles de destruction massive qui empoisonnent l’air, l’eau, la nourriture et le « doux commerce » des hommes dont elles dévastent la niche écologique ?

       La santé actuelle et à venir de « l’espèce non inhumaine » est consubstancielle à notre capacité à répondre aux exigences fondamentales et vitales d’une démocratie authentique dans un état de « réalité » où la dite « réalité » serait de plus en plus optionnelle mais non moins impérieuse.

    Stéphane Horel, Lobbytomie, La Découverte, 368 p., 21,5

    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/lobbycratie-ou-lobbytomie-212504

    ***

    Luc Desle


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    Pensées pour nous-mêmes:

    (LA FOLIE HUMAINE

    EST DÉCIDÉMENT

    TROP PARFAITE)

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    "Je vous remercie beaucoup...

    - Clap, clap, clap..."

    http://norrinffm.tumblr.com/post/182701460954/theindifference

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    "Et tes écouteurs, tu en es contente?"

    (Source: staatofmind)

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    "Argh!"

    (Source: thewindowofthesummerhouse)

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    Nadine Estrella


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    Pensées pour nous-mêmes:

    (LA MORT N'EST QU'UNE

    LONGUE SUITE DE PÉRIPÉTIES)

    $$$

    minavagante: Mv⚠️


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