• ¤¤¤

    Pensées pour nous-mêmes:

    (NE T'ASSIEDS JAMAIS

    SUR TES ESPÉRANCES)

    ¤¤¤

    The Swingle Singers Music Video Piazzolla 'Libertango'

    ¤¤¤

    Libertango: I've Seen That Face Before

    (APK Mix) Grace Jones

    ¤¤¤

    Libertango, by Astor Piazzolla - Electric Violinist -

    Kate Chruscicka

    ¤¤¤

    Nadine Estrella


    votre commentaire
  • ùùù

    Pensées pour nous-mêmes:

    (VIVRE PEU MAIS

    VIVRE MIEUX)

    ùùù

    "Qu'est-ce que tu veux ENCORE?"

    Source: tearthatcherryout

    ùùù

    http://www.tropclasse.com/des-nanoparticules-dans-les-bonbons/

    Faut-il s’inquiéter de la

    généralisation des nanoparticules ?

       Demeure la question essentielle : sont-elles dangereuses ? Du fait de leur très petite taille, elles sont facilement absorbées par le corps humain, pouvant mettre être le support de l’introduction de molécules toxiques. Cependant très peu d’études d’impact ont été menées. Chez l’animal, on a pu noter des problèmes de développement embryonnaire, des effets allergisants, voire cancérogènes.

       Tout juste sait-on que chez l’homme elles peuvent franchir le placenta, les muqueuses ou la peau (ex. : les crèmes solaires). Présentes dans les textiles dits « anti-transpirants » elles ne sont pas éliminées et sont donc rejetées dans l’environnement. Les gaz d’échappement des voitures roulant au diesel en contiennent également. Ainsi elles se retrouvent donc présentes dans la chaîne alimentaire.

       Dans l’industrie métallurgique, la législation est floue. En 2015, 1500 entreprises environ ont déclaré en avoir utilisé. Mais la liste n’est probablement pas exhaustive. Ainsi dans les PME, il arrive que certains employeurs achètent des matériaux en contenant sans le savoir : les fabricants n’ont pas obligation des les inscrire sur les fiches de données de sécurité ! D’où un risque accru pour les salariés qui les manipulent car les équipements de sécurité (masques, combinaisons de protection, mais aussi hottes d’aspiration et filtres) font défaut.

       On voit là une similitude totale avec le problème de l’amiante. Les personnels intérimaires sont là encore davantage exposés. De même qu’il existe peu d’études épidémiologiques, les formations sont quasi-inexistantes. D’où un problème accru de l’évacuation des nanoparticules, les éboueurs constituant une population très exposée.

       En plus d’être présentes dans les emballages, les nanoparticules ont envahi l’alimentation (notamment dans les préparations industrielles). Au point d’interpeller l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) qui a mis en place un groupe d’experts depuis 2012. Depuis 2013 en France les fabricants ont obligation de faire une déclaration pour la traçabilité. Mais l’ANSES en appelle à une réglementation européenne plus importante, les industriels pouvant très aisément contourner la réglementation REACH. Tout ceci n’est-il pas pure hypocrisie ? À l’heure du commerce mondialisé sacralisé par des accords AECG, TAFTA, CETA, …) demain rien n’empêchera l’importation de produits souillés. Ainsi aux États-Unis, de la poudre de lait maternisé contenait des nanoparticules.

       Celles-ci ont offrent pourtant des possibilités dans le domaine médical (par exemple destruction de cellules cancéreuses sans affecter les cellules saines voisines). Une fois de plus, ce n’est donc pas la recherche qu’il faut brider, mais ses applications qu’il faut contrôler de manière démocratique et sans conflit d’intérêt.

       L’UFAL demande donc l’application stricte du principe de précaution et le droit à l’information. Si des études indépendantes et sérieuses valident l’innocuité de certaines particules, elle doivent pouvoir être utilisées. Mais il faut avant tout prévenir la santé des salariés et celle des consommateurs. Dans le domaine alimentaire l’utilité n’est pas clairement avérée par rapport aux nuisances potentielles. Devrons-nous une fois encore attendre les lanceurs d’alerte ou allons-nous enfin tirer les leçons du passé et privilégier la santé au profit ?

    http://www.ufal.org/developpement-ecologique-et-social/faut-il-sinquieter-de-la-generalisation-des-nanoparticules/

    ùùù


    votre commentaire
  • ¤¤¤

    Pensées pour nous-mêmes:

    (VIVRE VITE

    EN PRENANT SON TEMPS)

    ¤¤¤

     "Je t'assure, ma Chérie, tu as un cerveau en état de marche!

    - Tu crois? Tu ne dis pas ça pour me faire plaisir, au moins?"

     Source: aintthatakick

    ¤¤¤

     http://misscaustic.over-blog.com/article-mes-courses-au-supermarche-56597209.html

    Violence de la vie ordinaire :

    témoignage d’une jeune adjointe

    de magasin, militante JRCF

       A la suite de la diffusion de l'émission Cash Investigation sur les conditions de travail chez Lidl et le mal-nommé Free, nous trouvons qu'il est bon de relire ce témoignage d'une de nos camarade travaillant dans un magasin et avec les mêmes conditions que ceux décrit par le documentaire d'Elise Lucet.

       "Travaillant actuellement au sein d’un magasin à prédominance alimentaire (appartenant à une célèbre enseigne nationale de commerce de proximité), je témoigne sur le quotidien de mon emploi et de celui des autres salariés de l’entreprise, et plus globalement sur le monde de la moyenne distribution, ayant travaillé dans différentes structures par le passé.

       Embauchée en tant qu’« adjointe de magasin », j’ai rapidement compris que ce titre portait à confusion. En fait, les surnoms qu’on prête souvent à mon poste – « bonne à tout faire » ou « porte clefs » – expriment bien mieux la réalité de mes missions, à savoir : détenir les clefs du magasin afin de l’ouvrir ou le fermer lorsque le gérant est absent, être responsable des fonds de caisses, effectuer les commandes de marchandises.

       En dehors de cela, mes tâches sont la plupart du temps les mêmes que celles des autres employés : mise en rayon, encaissement des clients, livraison l’après-midi tout cela en gérant un gros « flux client » le midi et le soir – moments où nous encaissons au minimum un client toutes les 30 secondes. Si l’employé, « multi-tâches », ne s’arrête jamais, le physique a lui quelque fois du mal à suivre : maux de dos et tendinites à répétition sont des douleurs régulières. Durant ces heures de mise en rayon et d’encaissement rythmé aux sons des « lip » de la caisse, les « bonjour », « au revoir », « merci » se répètent sans cesse, mécaniquement.

       Est-ce pour cela qu’ils restent si souvent sans réponse ? Le refus de saluer, voire le fait de totalement nous ignorer en téléphonant lors du passage en caisse, ne sont que quelques illustrations d’un mépris ordinaire. Plus rares, heureusement, sont les agressions verbales. J’ai compris au fil des années qu’une caissière ne faisait qu’un avec son outil de travail. Elle est devenue une machine sur laquelle on peut s’énerver de temps à autre. La moindre erreur et vous êtes traitée comme une moins que rien. Les citoyens sont égaux en droit mais, devenus clients « rois », certains d’entre eux sont ivres de leur pouvoir.

       Le travail suffit-il à l’épanouissement personnel ? Les experts de la grande distribution semblent en être absolument convaincus. Aussi la vie sociale des salariés est à la merci des incessantes modifications des emplois du temps (dont les jours de repos), révélés quinze jours en avance, et, plus encore, de l’amplitude horaire des journées de travail. Notre commerce est en effet ouvert du lundi au samedi de 8h00 à 21h00, et de 9h00 à 13h00 les dimanches et jours fériés. La durée quotidienne de travail oscille entre 3h00 et 9h00 suivant les besoins (jours de livraisons, inventaires, etc.). Certains d’entre nous sont contraints d’effectuer d’interminables journées coupées (9h00-13h00/15h00-21h00).

       La cadence infernale des journées est accentuée par l’énorme diversité des produits à stocker et à mettre en rayon dans une surface de vente réduite, les limites de la faisabilité étant sans cesse repoussées par la recherche continue de la maximisation du profit.

       A ce sujet, le groupe s’en sort à merveille grâce au système des franchises. Il est propriétaire du bâtiment et de l’enseigne et met en place un contrat de location-gérance ce qui lui permet de recevoir un loyer et une redevance et de ne plus verser les salaires. Ainsi, l’entreprise devient une société de moins de 10 salariés : pas d’avantages, ni 13ème mois, ni prime mais une mutuelle obligatoire de 20€ par mois qui ne couvre rien. Pour parfaire le tout, le travail le dimanche n’est pas majoré. J’ajouterai que le salaire d’une adjointe de magasin n’est pas mirobolant, il n’est tout de même pas à plaindre comparativement à celui d’un(e) employé(e) libre-service, qui dans la majorité des cas est à temps partiel et touche le SMIC.

       Utilisant toute la palette de la « flexibilité », les enseignes de grande distribution vont toujours plus loin dans la précarisation de leurs salariés, tout en inondant les centres-villes de tout l’hexagone. En passe de conquérir le monopole du commerce de proximité, les petits commerces n’y survivront pas. Au-delà de la conditions des salariés ou de la disparition des petits indépendants, le phénomène touche jusqu’aux rapports sociaux. L’épicerie de quartier, le contact entre les commerçants et leurs clients, leurs échanges qui n’étaient pas toujours seulement « marchands » parce que l’on prenait le temps de prendre le temps, il semble que tout cela appartiendra bientôt au passé."

    Sandrine (pseudonyme), militante PRCF-JRCF

    https://www.legrandsoir.info/violence-de-la-vie-ordinaire-

    temoignage-d-une-jeune-adjointe-de-magasin-militante-jrcf.html

    ¤¤¤

    Luc Desle


    votre commentaire
  • %%%

    Pensées pour nous-mêmes:

    (LA BRIÈVETÉ DU TEMPS NOUS

    INCITERAIT-IL À LA PRUDENCE?)

    %%%

    "Qu'est-ce que j'ai encore fait?"

    Source: naturalete

    %%%

    "Voilà, Mesdemoiselles... Du naturrrel... De la Grrrâce...

    C'est cela même"

    Source: exhibitionist-wife

    %%%

    "Suzy! Pas besoin de te mettre, ainsi, heu... martel en tête!"

    staatofmind

    Mark Bryan

    %%%

    Jacques Damboise


    votre commentaire
  • ***

    Pensées pour nous-mêmes:

    (L'AMOUR EST

    UNE CHAUFFERETTE)

    ***

    "Les nouvelles sont de plus en plus brûlantes ce matin..."

    Reblogged from ed70pz.

    ***

    http://keline.over-blog.com/article-la-loi-sur-le-niqab-a-inspire-71806864.html

    Un terroriste assassine

    deux jeunes filles à Marseille...

       A Marseille, un terroriste s'est attaqué, hier, à deux jeunes filles et les a tuées : deux cibles, deux victimes faciles à atteindre.
     
       Est-ce ainsi que ces terroristes peuvent espérer gagner leur paradis ? En tuant des jeunes femmes, par surprise, à l'arme blanche, en les égorgeant ? Il n'y a là aucune gloire. On est là devant un monde inversé, un monde absurde où la mort de jeunes filles devient un acte de gloire. Terrorisme banal et terrible, barbarie qui nie les femmes, jusqu'à les tuer.
     
       Dans certains quartiers, dans notre pays, les femmes sont exclues de l'espace public. Le harcèlement sexiste qui règne dans ces quartiers doit être éradiqué. Le salafisme ne doit pas avoir droit de cité dans notre pays, le salafisme est contraire à nos lois : il doit être réprimé partout. Assez de complaisance à l'égard de ceux qui ne respectent pas nos lois ! 
     
       J'écoutais hier Danièle Obono, députée de la France Insoumise : interrogée par des journalistes de BFMTV, elle déclarait qu'elle n'aurait pas voté la loi contre le voile à l'école. Elle précisait aussi qu'elle n'était pas forcément opposée au port du voile intégral dans l'espace public.
     
       "Pouvoir s'exprimer dans l'espace public, avoir une liberté", voilà les arguments qu'elle mettait en avant. Et, pourtant, le niqab est justement une atteinte et une entrave inadmissible à la liberté des femmes. Comment peut-on ainsi admettre dans nos sociétés de telles régressions ? De tels propos ne sont-ils pas un encouragement dangereux à une forme de radicalisation et de banalisation de pratiques religieuses contraires à nos lois ? Danièle Obono se dit et se prétend elle-même féministe, mais de telles prises de position vont à l'encontre de la libération et de l'épanouissement des femmes.
     
       Je m'inquiète que certains responsables politiques tiennent de tels propos, alors que le terrorisme salafiste s'attaque, sur notre territoire, à des victimes innocentes. Une femme sous un niqab n'est plus considérée comme un être humain à part entière, elle est réduite à l'état d'objet informe. Ce n'est pas notre conception de la liberté et de la vie.
     
       Quand nos responsables politiques se mettent à cautionner des pratiques religieuses qui portent atteinte à notre mode de vie, à nos libertés, c'est une façon de déroger à nos lois. Le laxisme n'est pas de mise face à la radicalisation et au terrorisme islamiste.

    Le blog :

    http://rosemar.over-blog.com/2017/10/un-soldat-de-daesh-assassine-deux-jeunes-filles-a-marseille.html

    ***

    Benoît Barvin


    votre commentaire
  • %%%

    Pensées pour nous-mêmes:

    (LE MAÎTRE DES SONGES

    EST UN VOLEUR D’IDÉES)

    %%%

    Timo Kuilder (because)

    %%%

    http://www.jeanmichelbaron.fr/autres-travaux.html

    Lobbying.

     Monsanto exclu

    du Parlement européen

    Claire Gounon

       Les députés européens ont retiré aux lobbyistes de Monsanto leur droit d’accès au Parlement. Un coup dur pour l’entreprise américaine, en pleine campagne pour défendre la commercialisation du glyphosate.

       Monsanto n’est plus le bienvenu à Bruxelles et à Strasbourg : jeudi 29 septembre, les députés européens ont retiré aux lobbyistes du géant américain de l’agrochimie leur droit d’accès au Parlement. Cette décision fait suite au refus de Monsanto de participer à une audience qui devait se tenir le 11 octobre dernier. Organisée par les commissions de l’agriculture et de l’environnement, cette séance devait être l’occasion de revenir sur les soupçons qui pèsent sur l’entreprise américaine de vouloir influencer les recherches autour du glyphosate, composant déterminant du désherbant Roundup, son produit phare. (...)

       (...) “C’est la première fois que les députés utilisent les nouvelles règles [entrées en vigueur en janvier 2017] de retrait du droit d’accès au Parlement aux entreprises qui ignorent une convocation à une audience parlementaire”souligne The Guardian. Le quotidien britannique note que cet évincement est un coup dur pour la firme américaine, qui était en pleine campagne pour la défense du glyphosate : en octobre prochain, les députés doivent se prononcer sur la commercialisation du pesticide le plus utilisé dans le monde, par ailleurs classé comme “cancérogène probable” par l’Organisation mondiale de la santé. (...)

       (...) “Nous avons observé, avec inquiétude, la politisation de la question du glyphosate dans les instances européennes, une question qui devrait être traitée de façon scientifique, mais qui a été détournée par bien des égards par le populisme”, a réagi Philip Miller, vice-président de Monsanto. Le coprésident du groupe des Verts, Philippe Lamberts, a de son côté déclaré que “ceux qui ignorent les règles de la démocratie perdent aussi leurs droits en tant que lobbyistes au sein du Parlement européen”.

       Si les questeurs de Bruxelles confirment, mardi 3 octobre, la décision des députés, Monsanto – qui dépense jusqu’à 400 000 euros par an pour ses activités de lobby – ne pourra plus rencontrer les parlementaires ni assister aux commissions. Mais pour Le Soir“les meilleurs lobbyistes le savent : l’accès au PE [Parlement européen], c’est surfait. Il leur suffit d’attendre la transhumance du jeudi soir. Sur quelques mètres : directement du Parlement vers les bars”, ironise le quotidien belge, en référence aux réunions informelles du Tout-Bruxelles les jeudis soir sur la place du Luxembourg, en face du Parlement européen.

    %%%

    Benoît Barvin


    votre commentaire
  • ***

    Pensées pour nous-mêmes:

    (ACCEPTE LA MORT APAISANTE)

    ***

     Faking it, Toni Hamel

    ***

     photo via Romeo Vernazza 

    http://www.yves.brette.biz/tag/beaut%C3%A9/page/2

    Je n’ai rien contre les femmes au volant :
    d’ailleurs, j’ai une excellente amie qui conduit

       En autorisant les saoudiennes à conduire, leur monarque a « brisé un tabou » dans « ce royaume ultra-conservateur » (L’Exress.Fr, 27septembre 2017) car l’interdiction « était emblématique de la mise au pas des femmes dans le royaume » (Le Monde.fr, 26 septembre), « l’un des pays les moins paritaires du monde » remarque France Info du 28 septembre.

       Arte du 27 septembre ironise « Arabie saoudite : femmes au volant, hommes au tournant… dans cette monarchie, berceau du wahhabisme, forme radicale de l’islam  ». Pour le Figaro.fr (27 septembre) « Le jeune prince héritier… » agit « habilement… au moment où de nombreux opposants ont été arrêtés ».

       Tous les médias soulignent qu’il reste beaucoup à faire. Mais, puisque l’Arabie Saoudite a brisé un tabou en prenant habilement une mesure emblématique contre la mise au pas des femmes dans un royaume ultra-conservateur et non paritaire, soumis à une religion radicale, on ne va pas user (et aucun des médias cités ne le fait) du mot « dictature » qui vient de partir en stage au Venezuela, où comme chacun sait :

       les femmes, conductrices ou pas, n’ont pas le droit de voyager, divorcer, disposer d’un compte bancaire, travailler, aller chez le médecin, être opérées, sans l’accord d’un « tuteur », le père, le mari ou tout autre parent de sexe masculin : un frère, un cousin, voire un fils. Et même si la charia Maduro-chaviste les dispense du port du voile intégral dans leur cuisine, l’accès aux lieux publics (comme les stades) leur est interdit, même bâchées de pied en cap.

       La charia bolivarienne (qui les sait dépensières) fixe que la part d’héritage d’une fille correspond à la moitié de celle d’un fils. Et celles qui la ramènent apprendront sur la Place Simon Bolivar de Caracas ce que le mot lapidation veut dire. Et il ne s’en prive pas, Maduro (1).

       Théophraste R. (Chargé du dossier : « Quand le monarque décide seul des moindres droits de la moitié de la population, est-on en démocratie ? »).

       Note (1). Le 4 mars 2016, le président Hollande a décoré de la Légion d’honneur le prince héritier d’Arabie saoudite qui avait fait procéder à l’exécution de seulement 70 personnes depuis janvier de cette année-là.

    https://www.legrandsoir.info/

    ***

    Benoît Barvin


    votre commentaire
  • ¤¤¤

    Pensées pour nous-mêmes:

    (LA MORT, CETTE

    REINE SILENCIEUSE)

    ¤¤¤

     "Chéri, tu n'as pas trouvé le vase, c'est ça?"

     http://thisisnthappiness.com/post/165864425274/say-it-with-flowers-alicia-peir%C3%B3

    ¤¤¤

     "Tu me trouves moche, c'est ça?"

     

     They just became yesterday, Josh Huxham

    ¤¤¤

     "Tu fais la g... à cause de la voiture

    dans la piscine, c'est ça?

    - Non, tu crois?"

     Dude, where’s my car?

    ¤¤¤

    Nadia Estrella


    votre commentaire
  • %%%

    Pensées pour nous-mêmes:

    (ON NE NAÎT PAS FLAMME,

    ON L'ENTRETIENT)

    Pcc Jacques Damboise

    %%%

    "Chrysé"

    André Chénier

    "Pourquoi, belle Chrysé, t’abandonnant aux voiles,
    T’éloigner de nos bords sur la foi des étoiles ?"

    http://coldtofire.tumblr.com/post/165810471404/mrmongoolian-grab-her-by-the-aft

    %%%

    http://www.dorffer-patrick.com/article-humour-revolution-francaise-14-juillet-1789-prise-de-la-bastille-a-paris-103159624.html

    Chateaubriand -

    Histoire falsifiée

    et Etat des lieux

       « Le 14 juillet, prise de la Bastille. J’assistai, comme spectateur, à cet assaut contre quelques invalides et un timide gouverneur : si l’on eût tenu les portes fermées, jamais le peuple ne fût entré dans la forteresse. Je vis tirer deux ou trois coups de canon, non par les invalides, mais par des gardes-françaises, déjà montés sur les tours. De Launay, arraché de sa cachette, après avoir subi mille outrages, est assommé sur les marches de l’Hôtel de Ville ; le prévôt des marchands, Flesselles, a la tête cassée d’un coup de pistolet ; c’est ce spectacle que des béats sans cœur trouvaient si beau. Au milieu de ces meurtres, on se livrait à des orgies, comme dans les troubles de Rome, sous Othon et Vitellius.

       On promenait dans des fiacres les vainqueurs de la Bastille, ivrognes heureux, déclarés conquérants au cabaret ; des prostituées et des sans-culottes commençaient à régner, et leur faisaient escorte. Les passants se découvraient avec le respect de la peur, devant ces héros, dont quelques-uns moururent de fatigue au milieu de leur triomphe. Les clefs de la Bastille se multiplièrent ; on en envoya à tous les niais d’importance dans les quatre parties du monde. Que de fois j’ai manqué ma fortune ! Si moi, spectateur, je me fusse inscrit sur le registre des vainqueurs, j’aurais une pension aujourd’hui. »

     François René de Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe, 1848. 

       Donc on en déduira d’après l’immense auteur témoin de cette non prise de la Bastille que dès l’origine l’Histoire de la Révolution Française fut une immense falsification. Prise de la Bastille il n y eut point vu cette comique reddition.

       Chercher l’argent c’est à dire qui finança ce soulèvement pseudo populaire aide à comprendre l’arnaque de cette fausse libération d’un joug (il est vrai que Louis XVI était un despote nous le savons tous) pour basculer dans des années sanglantes : la terreur de 1794, mais aussi les odieux crimes contre le Roi, La Reine, le Clergé, les aristocrates, tout un ancien régime coupable d’être seulement au-dessus mais nullement responsables des pandémies ou famines et que le bon peuple aimait et respectait. 
     
       La déclaration des Droits de l’Homme fut bien entendu un gigantesque trompe l’œil, jamais sa devise ne fut respectée bien au contraire. Les cinq républiques furent toutes consacrées à nourrir le sommet contre le peuple. Avec Macron, 3eme dépeceur de la Nation, le plus dur des trois, pas un drapeau français le soir de son intronisation mais celui de l’UE sur fond de pyramide Illuminati, c’est clair. Cet homme froid hait les français et ricane de leurs malheurs, toutes ses lois vont contre le peuple, et il donne tout a ceux qui ont beaucoup trop.
     
       Enfant roi sadique et pervers venant après un avocat d’affaires véreux et colérique, puis un Bébé Attali faussement gentil et sachant comme personne (Cf. attentats) mimer la souffrance. Sans dents : bien entendu qu’il l’a dit ! 

       Histoire falsifiée et français sans mémoire ayant abandonné vos racines chrétiennes, ça va être dur pour vous le réveil … Je prie pour vous et pour mon pays en voie d’extinction. Merci à la Perfide Albion, notre ennemi historique, et à son pantin US.

    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/chateaubriand-histoire-falsifiee-197216

    %%%

    Benoît Barvin


    votre commentaire
  • $$$

    Pensées pour nous-mêmes:

    (RIEN DE PETIT NE S'EST FAIT

    DANS LE MONDE SANS UNE

    CERTAINE DOSE DE SCÉLÉRATESSE)

    $$$

     (Le petit lapin blanc d'Alice était... hem... sur Alice)

     Source: herdirtylittleheart

    $$$

     http://lasserpe.blogs.sudouest.fr/tag/%C3%A9conomiste

    Anne Fretel, économiste à l’Université Lille 1,

    chercheuse au Clersé, associée à l’IRES.

       / Existe-t-il selon vous un lien entre droit du Travail et emploi ? Plus précisément, le droit du Travail actuel constitue-t-il un frein à l’embauche ? 


       - Un des arguments mobilisés par des économistes libéraux est qu’il existerait une relation positive entre le niveau de la législation protectrice de l’emploi (LPE) et celui du chômage, autrement dit, la LPE détruirait des emplois. Or le consensus qui émerge sur la base des études empiriques est l’absence d’un tel lien. L’OCDE elle-même a bien été obligée de le concéder.

       Si en 1994 l’institution plaidait pour la mise en place de réformes structurelles visant à baisser le niveau de LPE, dix ans plus tard, elle constate que si les indicateurs de LPE se sont « améliorés » dans la plupart des pays (c’est-à-dire que le niveau de protection a été réduit), aucun effet sur le niveau du chômage ne peut pour autant en être inféré.

       Et aujourd’hui au sein de l’institution, certains de ses économistes soulignent même les effets positifs de la LPE1 : outre le fait que la réduction de la LPE peut avoir un effet récessif via le canal de la demande (par exemple si ces réformes renforcent la modération salariale), la déstabilisation des institutions du travail conduit également à de moindres performances économiques car des salariés moins protégés sont moins productifs. 

       Au-delà des débats entre économistes, les employeurs eux-mêmes ne considèrent pas que le droit du travail soit un des principaux freins à l’embauche. Quand on les interroge ils déclarent que c’est avant tout l’incertitude économique - c’est-à-dire le manque de visibilité sur leur carnet de commandes - qui constitue le principal frein au développement de leur activité.

       / Quel regard portez-vous sur les modifcations apportées par la loi El Khomri de 2016 et sur les premiers éléments de contenus des ordonnances en cours de préparation ? 

       - Les lois et ordonnances récentes sont la mise en musique d’un projet libéral qui à travers quatre orientations modifient considérablement les rapports de force dans l’entreprise en défaveur des salariés :

    1. la remise en cause de la hiérarchie des normes (primat du droit conventionnel sur le droit réglementaire),
    2. la remise en cause du principe de faveur (possibilité pour un accord d’entreprise d’être contraire aux dispositions du contrat de travail d’un salarié et de lui imposer le résultat de la négociation),
    3. le primat accordé à la négociation d’entreprise,
    4. la mise hors-jeu de tiers régulateurs (l’État, le juge, les collectifs salariaux)
    5. Dans le fond, contrairement au discours avancé pour justifier les réformes, celles-ci ne sont pas une déréglementation (c’est-à-dire une réduction de la quantité de droit) mais une autre réglementation : sous couvert d’un discours prônant « l’autoréglementation conventionnelle », c’est en fait « l’autoréglementation unilatérale » de l’employeur (son autonomie) qui est renforcée.

       / Quelles seraient les pistes d’amélioration du droit du Travail, dans le sens d’une protection renforcée des salariés ? 

       - Le droit du travail est un droit vivant dont le contenu et l’orientation dépendent pour une part des rapports de forces. Renforcer le droit des salariés suppose donc déjà de pouvoir inverser le rapport de forces qui leur est défavorable depuis 40 ans. Au-delà de cette condition politique, c’est aussi mieux saisir ce qu’est « l’entreprise ». Historiquement, le droit du travail s’est construit en même temps qu’a émergé la grande entreprise intégrée, il s’est positionné par rapport à ses logiques.

       Renforcer aujourd’hui les droits des travailleurs (y compris ceux qui s’apparentent à des salariés) suppose de mieux saisir les nouvelles formes de mobilisation du travail issues des nouvelles formes d’organisation des entreprises (entreprise réseau, sous-traitance, valorisation boursière court-termiste, etc.) pour identifier des points d’imputation qui produiront une nouvelle régulation.

    http://fsu.fr/Anne-Fretel-economiste-a-l-Universite-Lille-1-chercheuse-au-Clerse-associee-a-l.html

    $$$

    Luc Desle


    votre commentaire