• ¤¤¤
    Pensées pour nous-mêmes:

    (LA PENSÉE DU MAÎTRE
    S'INSCRIT-ELLE SUR LE SABLE?)

    ¤¤¤

    "Bon, Juliette, ça suffit maintenant
    avec tes bulles d'amoureuse transie... 
    Y'a du travail qui t'attend..."


    ¤¤¤

    (Le Penseur éructe toujours dix  fois)

    Traduction libre



    Bernard-Henri Lévy 
    et Geneviève de Fontenay, 
    même (ultime) combat !?

    Daniel VANHOVE

       (...) Il y a quelques jours, Bernard-Henri Lévy passait comme invité principal à l’émission On n’est pas couché animée par Laurent Ruquier et ses deux chroniqueurs Léa Salamé et Aymeric Caron.

       Lors de sa prestation – dont à peu de choses près, on connaît par avance la teneur – BHL a été interpellé par les deux chroniqueurs de l’émission à travers certaines questions relatives à son intervention calamiteuse et irresponsable en Libye, ainsi que sur la situation dramatique à Gaza suite à la énième déferlante militaire du soi-disant démocratique Etat israélien. J’écris « soi-disant démocratique » tant les infractions à tout ce qui s’apparente à une réelle démocratie qui se respecte y sont innombrables.

       Dans les deux cas soulevés par Léa Salamé et A. Caron – mais qui en eût douté – le maniéré du Café de Flore a gesticulé sur son siège pour défendre ses prises de position que l’on connaît : point d’erreur d’évaluation et justification des frappes dans la situation libyenne, et un soutien sans faille aux exactions de l’armée et à l’Etat israélien pour éradiquer le Hamas par tous les moyens. Avec en point d’orgue, un cri d’exaspération en forme d’anaphore – il semble que ce soit la mode à Paris – au nom des juifs de France, victimes de tant de mauvais traitements... L’on en pleurerait... Si ce n’est que dans cette habituelle course à la victimisation de certains, les musulmans sont considérablement plus vilipendés et malmenés que les juifs. 

       Vous pouvez écrire, vociférer, taguer que les musulmans sont des barbares, des terroristes et des islamo-fascistes sans risquer quoi que ce soit, mais ne vous avisez pas d’élever la moindre critique vis-à-vis des sionistes, sous peine d’avoir de sérieux problèmes avec une justice à géométrie désormais variable, sans parler des groupuscules shootés à l’étoile de David qui sévissent toujours en France alors que certains sont interdits dans d’autres pays et même en Israël ! Ni des coalitions que l’on voit fleurir un peu partout au nom de la « démocratie » pour aller y détruire tout ce qui bouge en pays arabes, même des enfants jouant au ballon sur une plage...

       Il y a quelques jours à Alger, Geneviève de Fontenay était amenée à une prise de parole en tant qu’invitée d’honneur lors de la deuxième élection de Miss Algérie 2014.

       Lors de la cérémonie de clôture dans le palace qui abritait l’évènement, Geneviève de Fontenay n’a pas trouvé mieux que de féliciter l’heureuse gagnante de « l’Algérie-française » ... avant de se rendre compte de sa bourde et de bredouiller piteusement dans la foulée, « ... qui est l’Algérie... mais française en même temps... ». Et d’en rajouter par la suite, se mélangeant les pinceaux à propos de la Martinique et de la Guadeloupe. Propos lamentables qui ont provoqué à juste titre le départ de nombreux officiels présents à la cérémonie, et qui a écourté le séjour de Mme de Fontenay pour revenir bien vite en France. Bref, du n’importe quoi qui atteste combien les stéréotypes dans la tête de certaines personnes sont durs à tomber.

       Vous me direz, quelle parallèle entre les deux personnages ? Celui-ci : qu’à l’image du triste clown Pierrot, tous deux semblent désespérément accrochés à ce qui leur reste, à savoir, leur déguisement en noir & blanc dont ils ne parviennent pas à se défaire, comme de leurs clichés et de leurs certitudes qu’ils débitent à chacun de leur passage sur antenne... A se demander d’ailleurs, pourquoi ils sont encore invités par les médias à nous débiter leurs conneries... car ils sont aussi sinistres l’un que l’autre, enfermés dans leurs propos et leur accoutrement...


    ¤¤¤

    "Bien sûr que c'est une plage de sable fin, qu'ils
    disaient... Et même qu'il y en a beaucoup...
    Beaucoup, beaucoup... J't'en fout... moi!"


    (Source: fancyadance)

    ¤¤¤
    Benoît Barvin

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  • @@@
    Pensées pour nous-mêmes:

    (LE MAÎTRE EST-IL 
    LE MAÎTRE DU MAÎTRE?)

    @@@

    (Baboubaba, la jolie biche, était dans le vent)



    @@@

    "Mmmmhhhh....
    - Qu'ess-tu dis?
    - Mmmmhhhh...
    - Toi, tu sais pas parler avec ton chèche.
    T'es un mauvais musulman!"



    INDE : 

    VERS LE GRAND CONFLIT 
    HINDOUISTES/ISLAMISTES 

    Jean Bonnevey

       Revendiquant depuis près de 20 ans son autorité sur les jihadistes du monde entier, Al Qaïda est en perte de vitesse. Fragilisé par l’émergence de l’EI en Syrie et en Irak, le réseau fondé par Oussama ben Laden tente de revenir en ouvrant un nouveau front.

       Cette nouvelle branche est nommée en anglais « Qaedat al-Jihad in the Indian Subcontinent » (« Al-Qaïda en guerre sainte sur le sous-continent indien »). Elle est déjà active en Afghanistan et au Pakistan, sous l’autorité du Pakistanais Assim Oumar, un Pakistanais lui-même subordonné au mollah Omar, le chef des talibans afghans. La création d'«al-Qaida en guerre sainte sur le sous-continent indien» est le fruit de deux ans de travail, précise al-Zawahiri. Le chef du mouvement islamiste, déclare que la naissance d’Al-Qaïda en Inde est une bonne nouvelle pour les musulmans « de Birmanie, du Bangladesh, de l’Assam, du Gujarat, d’Ahmedabad et du Cachemire » afin de faire face à l’ «injustice » et à l’ »oppression ». Le chef de la nébuleuse islamiste entend mener le combat pour faire renaître un califat sur des terres considérées comme musulmanes par Ayman al-Zawahiri.

       On sait peu de choses sur le chef de la nouvelle branche indienne d'al-Qaida. Assim Oumar lit assurément le pachto, la langue du peuple pachtoune, qui forme l'ossature du mouvement taliban. Mais il parle et écrit surtout en ourdou, langue nationale du Pakistan, qui se rapproche de l'hindi indien. Turban de charbon enroulé autour de la tête, barbe hirsute, Assim Oumar apparaît dans des vidéos de propagande diffusées notamment par al-Qaida. «Pourquoi les musulmans de l'Inde sont-ils totalement absents du jihad», s'interrogeait-il l'an dernier dans une vidéo en ourdou diffusée sur internet par Al-Qaida. Il appelait les jeunes musulmans indiens à faire preuve «d'honneur» et de «zèle» afin que l'Inde soit dirigée à nouveau par sa minorité musulmane et non sa majorité hindoue. 

       «Ne forcez pas les infidèles à prononcer la profession de foi... C'est à eux de décider s'ils veulent devenir musulmans ou continuer à pratiquer leur ancienne religion. Mais puisque cette planète est celle d'Allah, il est nécessaire d'y établir le système d'Allah», disait-il en ourdou. Ses allocutions sont truffées de références à l'empire moghol, musulman, qui a régné sur l'Inde du 16ème à la moitié du 19e siècle, et au califat ottoman. Il appelle ainsi à un «renouveau» islamique en Inde, au moment où les djihadistes prennent le contrôle des régions entières de l'Irak et de la Syrie.

       Par cette déclaration, Al Qaïda remobilise ses forces, alors que l’Etat Islamique, qui a crée un califat avant elle, ne cesse de multiplier les actions et s’est sérieusement implanté en Irak, territoire de création d’Al Qaïda par Abou Moussab al Zarkaoui, tué par les forces américaines en 2006. Suite à la diffusion de la vidéo, les services de renseignement indiens ont demandé aux gouvernements provinciaux de plusieurs Etats de se placer en état d'alerte.

       «Nous prenons le sujet très au sérieux. De telles menaces ne peuvent être ignorées», a déclaré à l’AFP une source des services de renseignement indiens. «Nous avons demandé aux Etats, en particulier au Gujarat, au Madhya Pradesh, à l’Uttar Pradesh et au Bihar, de se mettre en état d’alerte». Déjà actif en Afghanistan et au Pakistan, Al-Qaïda revendique depuis longtemps avoir autorité sur les jihadistes qui luttent pour rétablir un califat sur les terres considérées comme musulmanes.

       «C’est un coup publicitaire qui montre un certain désespoir, car l’EI est désormais la vraie menace mondiale», estime Ajit Kumar Singh, du groupe de réflexion Institute of Conflict Management, dont le siège est à New Delhi. «C’est une bataille pour la suprématie entre Al-Qaïda et l’EI». Parmi les Etats cités dans la vidéo par Ayman al-Zawahiri, le Cachemire, seul Etat indien en majorité musulman, est depuis longtemps en proie à un mouvement séparatiste, mais les représentants de ce dernier soulignent que la nébuleuse jihadiste ne joue aucun rôle sur ce territoire.


    @@@

    (D'après des scientifiques intègres,
    les ondes des appareils du quotidien
    n'avaient aucune incidence sur la santé)



    @@@
    Luc Desle

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  • @@@
    Pensées pour nous-mêmes:

    (LE MAÎTRE N'EST PAS
    UNE CANNE BLANCHE"

    @@@

    "Heu... Monsieur le Barbare...
    Je voudrais une pose moins... Heu...
    Plus... Heu...
    - Quoi dire toi?
    - Rien... En fait, rien..."


     Jeffrey Jones


    @@@

    "Quoi? C'est ce que tu appelles une jolie femme?
    Aucun bubon... Pas d'œil crevé... Pas de cuisses
    rachitiques et aucune griffes aux mains...
    Tu te fiches de moi!"


    Don’t Get Too Close To My Fantasy…

    @@@

    (Ce nouveau jeu de balle fit fureur
    dans le Royaume des Morts)




    @@@

    "Si j'ai besoin de lumière pendant que
    j'enfile mon pyjama? Heu, pas vraiment, en fait"



    @@@
    Blanche Baptiste

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  • ¤¤¤
    Pensées pour nous-mêmes:

    (LA MÉPRIS INSOLENT
    JAMAIS TU N'ADOPTERAS)

    ¤¤¤

    "Tous les jours TU QUOQUE tu regarderas"



    ¤¤¤


    Quand Londres et les capitales occidentales 
    découvrent la barbarie djihadiste

    Hassane ZERROUKY

       (...) Quand on écoute David Cameron fustiger les « terroristes » et affirmer qu’« avec l’Etat islamique, nous sommes confrontés à la menace la plus grave que nous ayons jamais connue », ou Barack Obama dénoncer la barbarie de l’Etat islamique (EI) après l’assassinat barbare de James Foley et avant-hier celle de Steven Sotloff on a envie de lui dire en face : arrêtez de mentir à vos opinions publiques !

       Le même reproche peut être fait à Hollande et, partant, à tous ces dirigeants occidentaux qui feignent d’avoir pris la mesure de la menace djihadiste alors qu’ils sont plus que responsables dans l’émergence du terrorisme islamiste et de la déstabilisation du Proche et du Moyen-Orient. Rappelons que c’est un certain Zbigniew Brzezinski, ancien conseiller à la sécurité nationale de Jimmy Carter et conseiller de Barack Obama pendant la dernière campagne présidentielle, qui a été dans les années 1970 le promoteur de la doctrine de la ceinture verte consistant à utiliser la mouvance islamiste, avec pour pays pivots les pétromonarchies du Golfe, la Turquie et le Pakistan, pour combattre le communisme soviétique.

       L’Afghanistan aura été le terrain d’expérimentation de cette stratégie. Et depuis, malgré l’effondrement de l’URSS et la fin de ce qu’on appelait le « camp socialiste » en Europe de l’Est, Washington et ses alliés ont poursuivi cette stratégie à l’endroit des pays arabes et musulmans dotés de régimes autrefois alliés de Moscou. Dans leur ligne de mire, la Syrie, l’Irak, l’Algérie malgré le virage droitier de Chadli Bendjedid, pays dirigés par des régimes autoritaires et corrompus, auxquels Washington préférait des régimes islamistes. C’est d’ailleurs ce qu’a réaffirmé l’ancien secrétaire d’Etat-adjoint de Bill Clinton, Robert Pelletreau, souhaitant ouvertement l’émergence de régimes islamistes allant du golfe Persique à l’Atlantique parce que, estimait- il, ils seront favorables aux intérêts étasuniens.

       Pour en revenir à David Cameron, rappelons que Londres était la plaque tournante de l’islamisme mondial dans les années 1980 et 1990. Côté algérien, le FIS, l’AIS et le GIA avaient pignon sur rue, éditant des documents comme « Al Ansar », « Etbicira » et autres, dans lesquels ils revendiquaient leurs actes en toute impunité. Il en va de même de leurs mentors, l’Egyptien Abou Hamza, le Jordanien Abou Qoutada ou le Syrien Omar Bakri, qui ont légitimé par des fatwas les massacres commis dans la Mitidja et les attentats du djihad islamique en Égypte, avant de légitimer l’attentat du World Trade Center. Rappelons simplement que pour ces djihadistes radicaux, ayant bénéficié du gîte et du couvert à Londres, la Palestine ne figurait pas au rang des priorités.

       Ainsi après avoir aidé à enfanter le monstre, les capitales occidentales feignent aujourd’hui de découvrir les horreurs sans nom commises par l’Etat islamique (EI) en Irak ! Or, quand ils ont décidé dès mars 2011 d’aider l’opposition syrienne en lui accordant une assistance militaire (logistique et technique), alimentant de fait la guerre civile en Syrie au lieu de peser de leurs poids pour contraindre les protagonistes syriens (pouvoir et opposition) à négocier, ils savaient de quoi il retournait. Ils savaient, par exemple, que les volontaires étrangers venant s’enrôler dans les rangs de l’EI ou du Front al Nosra, et que les armes transitaient (et transitent) par la Turquie et la Jordanie. 

       Chacun sait que le sud de la Turquie, pays membre de l’Otan, sert de base-arrière aux djihadistes de tout poil, et qu’Ankara ne fait rien pour intercepter ces « volontaires » venus d’Europe, du Maghreb et d’Asie centrale pour rejoindre les rangs de l’EI du Front al Nosra. Ils savaient et savent que les djihadistes avaient pris le pas sur l’Armée syrienne libre (ASL) et qu’ils commettent des crimes de masse. Comme ils savent que ces fous furieux sont financés et armés par les pétromonarchies du Golfe, ce que le sommet de la Ligue arabe de Doha en mars 2013 a publiquement officialisé. Mesures approuvées par John Kerry affirmant que « le président Obama a dit clairement que les Etats-Unis ne font pas obstacle aux pays qui ont pris la décision de fournir des armes [aux rebelles], que ce soit la France, le Royaume-Uni, ou d’autres ».

       Dans leur sordide logique, Washington et ses alliés européens et arabes pensaient que l’établissement du califat à cheval sur l’Irak et la Syrie allait permettre de prendre la Syrie en étau et précipiter la chute du régime de Bachar. Le résultat : ils ont permis au régime syrien de se refaire une virginité à bon compte en se présentant comme un rempart contre l’hydre salafo-djihadiste... (...)


    ¤¤¤
    (La nouvelle vigie nous plaisait bien)


    ¤¤¤
    Luc Desle

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  • ***
    Pensées pour nous-mêmes:

    (MÊME LE MAÎTRE DU MONDE
    N’ÉGALE PAS LE SOLEIL)

    ***

    "Heu... Pardonnez-moi mais...
    Vous n'auriez pas vu ma chère épouse?"


    Maxime Ballesteros- Tracy and fur on the shelf 2013 


    ***

    (Menu touristique avec de véritables
    paires d'yeux d'indiens dedans)



    PÉROU
    Safaris humains 
    dans la jungle péruvienne

    SABINE GRANDADAM

       (...) Une ethnie indienne isolée de l'Amazonie péruvienne serait l'objet d'incursions touristiques organisées clandestinement par des agences de Cuzco. La tribu des Mashco Piro, petite communauté de quelque 600 âmes apparentée aux Arawaks, vit isolée dans la réserve Madre de Dios, dans le sud-est du pays.

       Les accès à cette zone protégée, située au sein du parc national de Manú inscrit au Patrimoine mondial de l'humanité, sont strictement limités et tout contact avec une dizaine de communautés indiennes répertoriées par le gouvernement est interdit. Mais, depuis quelques mois, des soupçons pèsent sur des opérateurs touristiques qui proposeraient sous le manteau à leurs clients des "safaris humains", note l'hebdomadaire brésilien Carta Capital. (...) 

       (...) Le magazine rapporte qu'une patrouille de surveillance d'une réserve voisine a aperçu dans la zone interdite, en descendant le fleuve, deux embarcations identifiées au nom d'une société de tourisme, avec des groupes de personnes à bord. Les bateaux se sont éclipsés à l'arrivée des patrouilleurs. Mais sur la rive se tenaient une missionnaire évangéliste et cinq jeunes Mashco Piro portant des vêtements [ces Indiens ne portent habituellement que des cache-sexe]. 

       Interrogée sur sa présence en ce lieu, la missionnaire a expliqué qu'elle apportait des bananes à la communauté, mais que les vêtements devaient provenir des touristes. D'autres témoignages concordants font état de "cadeaux" laissés par des touristes aux Mashco Piro, dont des vêtements et de la nourriture, mais aussi de la bière. (...)

       (...) Ces Indiens sont particulièrement vulnérables aux maladies qu'ils pourraient contracter lors de ces contacts. L'organisme local péruvien qui fédère les peuples indiens, la Fenamad, estime que, selon ses informations, ces "visites" étrangères aux Mashco Piro sont quotidiennes et exhorte les autorités à s'emparer de l'affaire, relate le quotidien péruvien La Razón.

       Les responsables régionaux du tourisme ont promis une enquête mais aucun, pour le moment, ne confirme l'existence avérée de ces "safaris humains".  De son côté, le patron local du service national des zones naturelles protégées, le Sernanp, faisait valoir le 30 août qu'il n'avait pas connaissance de ces pratiques et, qu'à son avis, aucune agence de tourisme agréée par ses soins ne proposerait ce type de prestations, rapporte le quotidien de Lima El Comercio. 


    ***
    "Comment ça, ce n'est pas un miroir?
    Vous êtes sûrs?"



    ***
    Benoît Barvin

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  • %%%
    Pensées pour nous-mêmes:

    (LES PAS DU SAGE
    RESSEMBLENT AUX TIENS)

    %%%

    (La pin-up stormtrooper du mois)


    Cisternas

    %%%

    (La chanteuse qui prenait son oiseau
    pour un micro avait besoin de lunettes)


    Christian Schloe

    %%%

    "Tu m'aimes, Chérie?
    - Ben, ouais... Comment
    faire autrement?
    - J'aime ton enthousiasme..."


    Agnes Cecile ON TUMBLR

    %%%

    "Mais puisque je vous dis que je ne sais pas
    où se trouve le petit Chaperon Rouge!
    - GGGRRR!!!"

    Meredith Mackworth-Praed

    %%%
    Blanche Baptiste

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  • ===
    Pensées pour nous-mêmes:

    (LE SOLEIL DE LA SAGESSE
    NE BRÛLE PAS)

    ===

    (La Femme qui brûle de l'intérieur en pleine action)


    (Source: evangeli0n)

    ===

    "Je prends n'importe quel mec au bras de fer.
    Ça vous tente?"



    D’un Conseil l’autre, 
    se moque-t-on des femmes ?

    Union des Familles Laïques, 
    Réseau Education Populaire

       Les « haut conseil » ou « conseil supérieur » de quelque chose sont paraît-il une spécialité française, en nombre presque égal à celui de nos fromages. Penchons-nous sur ce type d’organismes sur un cas précis : celui de l’égalité femmes-hommes (ordre des termes devenu politiquement correct).

       Nous trouvons ainsi le Conseil supérieur de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes (CSEP), créé en 1983 avec un rôle consultatif sur la législation et des politiques gouvernementales en la matière ; il est placé sous l’autorité du ministère des Affaires sociales et depuis le décret du 30 avril 2013, le champ de ses travaux s’est élargi à « l’articulation des temps, les modes de garde, les congés familiaux, les systèmes de représentation dans l’entreprise, le harcèlement sexuel et moral, la formation initiale et continue et la diversification des choix professionnels des filles et des garçons, la création et la reprise d’entreprises par les femmes ».

       Pour coordonner l’activité du CSEP et des autres instances nationales en charge des questions d’égalité entre les femmes et les hommes (les délégations aux droits des femmes de l’Assemblée nationale, du Sénat, du Conseil économique, social et environnemental, la Mission interministérielle pour la protection des femmes victimes de violences, le Haut Conseil de la famille…), il manquait encore un Haut conseil à l’égalité entre les hommes et les femmes (HCEfh), qui fut créé par décret du 3 janvier 2013 et rattaché au Premier ministre. Présidé par Danielle Bousquet, il s’attache principalement aux violences de genre, à la santé sexuelle et reproductive, à la parité et à la lutte contre les stéréotypes. De l’aveu de sa présidente, l’absence du domaine professionnel dans les missions du Haut Conseil est constitutif de sa création, quoi qu’elle en ait.(1)

       Car, hélas, cette pléthore d’instances et la liste de leurs attributions masque un vide béant : la question de l’égalité salariale. Où se niche donc cet intitulé s’il est absent du paysage institutionnel qu’on vient décrire ? Ne cherchez pas : au ministère du Travail, encadré par des lois successives non appliquées et placé à l’horizon des négociations entre partenaires sociaux que prévoient les accords nationaux interprofessionnels (13 janvier 2013 pour le dernier). La réduction des différences de salaires n’est pas pour demain puisqu’elle dépend essentiellement du patronat et que la discrimination, faute de moyens de contrôle, est rarement sanctionnée. Quant aux questions de temps partiel, de taux de chômage supérieur chez les femmes, ainsi que l’impact de tout ceci sur leurs retraites, aucune vue d’ensemble. (...)

       (...) Que les droits des femmes relèvent d’un ministère ou d’un secrétariat d’État fait certes une différence mais, malgré toute l’ardeur dont elle a pu faire preuve dans son précédent portefeuille, Najat Vallaud-Belkacem affrontait la même règle d’airain : le texte qu’elle a porté, la loi du 4 août dernier pour l’égalité « réelle » des femmes et des hommes, s’interdisait de toucher à l’égalité professionnelle. Voilà pourquoi, si les mouvements féministes n’intègrent pas la dimension « lutte de classe » et s’ils ne pénètrent pas les milieux du travail, les avancées resteront décevantes.

       (1) Ce billet d’humeur est lié à un précédent article de Z. Ramdane et à la rencontre qui a eu lieu à l’Assemblée nationale le 4 septembre entre le HCEfh et les associations concernées par le sujet de l’égalité femmes-hommes. Il n’a pas pour but de remettre en question l’intérêt des analyses produites par les organismes publics évoqués. [



    ===



    ===
    Benoît Barvin

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  • °°°
    Pensées pour nous-mêmes:

    (AS-TU L'AMOUR DE LA VIE?)

    °°°
    (Je rangeais ma Maîtresse dans un réduit
    des plus confortable)



    °°°
    (L'Otan tentait de présenter
    une apparence plus avenante)



    Loin de la préserver,
    l’Otan constitue une menace pour la paix. 

    (The Guardian)
    Seumas MILNE

    Traduction : 
    Micheline Borceux

      (...)  Pour les maîtres de la guerre occidentaux, c’est un bon moment pour être au Pays de Galles. Une alliance militaire qui se démène depuis des années pour expliquer pourquoi elle existe encore a un ordre du jour chargé pour son sommet de Newport. L’OTAN n’est peut-être pas au centre des plans de Barack Obama et de David Cameron pour lancer une intervention au Moyen-Orient pour rayer de la carte le dit Etat islamique. Mais après 13 ans d’une occupation sanglante de l’Afghanistan et une intervention désastreuse en Libye, l’alliance occidentale a maintenant un ennemi qui semble enfin faire son affaire. Au cours de sa visite éclair dans l’ancienne république soviétique de l’Estonie aujourd’hui, le président américain a déclaré que l’OTAN était prête à défendre l’Europe contre "l’agression russe".

       Le secrétaire général de l’OTAN, Anders Fogh Rasmussen - qui en tant que premier ministre danois en 2003 affirmait catégoriquement que « l’Irak possède des armes de destruction massive ... nous le savons" - a fait publier des images satellites censées démontrer que la Russie a envahi l’Ukraine. Pour ne pas être en reste, le Premier ministre britannique a comparé Vladimir Poutine à Hitler.

       Le sommet prévoit le déploiement d’une force de réaction rapide à travers l’Europe de l’Est pour dissuader Moscou. La Grande-Bretagne envoie des troupes en Ukraine pour des entraînements. A Washington, les faucons du Congrès poussent des cris d’apaisement tout en exigeant des mesures pour donner à l’Ukraine "une force de combat plus capable de résister" à la Russie.

       Tout espoir que l’annonce aujourd’hui d’un accord de cessez- le-feu par le président ukrainien puisse signifier la fin du conflit fut anéanti lorsque son premier ministre, Arseny Yatseniuk - favori américain à Kiev – qualifia la Russie "d’état terroriste", et encouragé par Rasmussen, exigea que l’Ukraine soit autorisée à adhérer à l’Otan. C’est précisément la menace que l’Ukraine soit entraînée dans une alliance militaire hostile à la Russie, malgré l’opposition de la plupart des Ukrainiens et de son gouvernement élu de l’époque, qui fut à l’origine de cette crise. Au lieu de maintenir la paix, l’Otan est la cause de l’escalade des tensions et de la guerre.

       C’est ainsi depuis la création de l’Otan en 1949, à l’apogée de la Guerre Froide, six ans avant le Pacte de Varsovie, traité prétendument défensif contre toute menace soviétique. Il est souvent affirmé que l’alliance a maintenu la paix pendant quarante ans, alors qu’en fait il n’existe pas la moindre preuve que l’Union Soviétique ait jamais eu l’intention d’attaquer.

       Après l’effondrement de l’Union Soviétique, le Pacte de Varsovie fut comme dûment dissout. Mais pas l’Otan, bien que la raison apparente de son existence ait disparu. Si la paix avait véritablement été son objectif, elle aurait pu être utilement transformée en un dispositif de sécurité collective incluant la Russie, sous les auspices des Nations Unies.

       Au lieu de cela, elle s’est accordé un nouveau mandat "hors-zone" pour faire la guerre unilatéralement, de la Yougoslavie à l’Afghanistan et la Lybie, comme la garde avancée d’un nouvel ordre mondial dominé par les Etats-Unis. En Europe, elle a jeté les bases de la guerre en Ukraine en rompant un engagement pris par les Etats-Unis envers Moscou et en accroissant inexorablement son influence vers l’est : d’abord dans les états de l’ex-Pacte de Varsovie, puis au sein de l’ancienne Union Soviétique elle-même.

       Mais le "plus gros lot", comme l’a dit l’an dernier le chef du National Endowment for Democracy (Fondation nationale pour la démocratie) financé par les Etats-Unis, c’était l’Ukraine ethniquement divisée. Après que l’Union Européenne a conclu son accord d’association aux implications militaires avec l’Ukraine, excluant tout accord avec la Russie – et que le président ukrainien corrompu mais élu, qui refusa de le signer, fut renversé par un coup d’état soutenu par les Etats-Unis, on ne peut appeler cela autrement – la Russie ne peut guère être accusée de paranoïa de considérer la main mise sur l’état voisin comme une menace pour ses intérêts fondamentaux.

       Six mois plus tard, soutenue par Moscou la résistance de l’Ukraine orientale aux nationalistes de Kiev soutenus par l’Otan s’est développée en guerre à part entière. Des milliers de personnes sont mortes, et des violations des droits de l’homme se sont multipliées des deux côtés, tandis que des troupes gouvernementales et leurs auxiliaires irréguliers bombardent des zones civiles et enlèvent, détiennent et torturent de présumés séparatistes sur une échelle gigantesque.

       Les forces ukrainiennes soutenues par les gouvernements occidentaux incluent des groupes comme le bataillon néo-nazi Azov, dont l’insigne est le crochet de loup des troupes d’assaut nazies pendant la guerre. Le régime de Kiev de plus en plus répressif tente maintenant d’interdire le parti communiste, qui a remporté 13% des suffrages aux dernières élections législatives.

       Mais l’Otan, dont les membres ont souvent compté des gouvernements fascistes dans le passé, n’a jamais été très pointilleuse en matière de démocratie. Les preuves de ses allégations selon lesquelles des troupes russes ont envahi l’est de l’Ukraine sont également très minces sur le terrain. La fourniture d’armes et une intervention secrète en soutien aux rebelles du Donbass – comprenant des forces spéciales et des irréguliers soutenus par l’état – sont une autre affaire.

       Mais c’est exactement ce que les puissances de l’Otan, telles que les Etats-Unis, la Grande Bretagne et la France font depuis des années partout dans le monde, du Nicaragua à la Syrie et la Somalie. L’idée que la Russie a inventé une nouvelle forme de "guerre hybride" en Ukraine est étrange.

       Ce qui ne veut pas dire que la guerre par procuration entre l’Otan et la Russie en Ukraine ne soit pas horrible et dangereuse. Mais il n’est pas nécessaire d’éprouver une quelconque sympathie pour l’autoritarisme oligarchique de Poutine pour reconnaître que ce sont l’Otan et l’Union Européenne, et non la Russie, qui ont déclenché cette crise – et que ce sont les puissances occidentales qui opposent une résistance à un règlement négocié de peur d’apparaître faibles.

       Ce règlement devra inclure au minimum l’autonomie fédérale, des droits égaux pour les minorités et la neutralité militaire – en d’autres termes, pas d’Otan. Etant donné l’ampleur de l’effusion de sang et le fait que le centre de gravité politique à Kiev se déplace vers la droite, tandis que l’économie ukrainienne implose, seuls ses sponsors occidentaux peuvent faire qu’un tel accord puisse être appliqué. L’autre choix, après la Crimée, c’est l’escalade et la désintégration.

       L’Otan aime à se voir comme l’incarnation de la communauté internationale. En réalité c’est un club interventionniste et expansionniste d’états du monde riche et de leurs satellites, utilisé pour mettre en œuvre leurs intérêts économiques et stratégiques. Comme l’Ukraine le démontre, loin de la préserver, l’Otan constitue une menace pour la paix.


    °°°
    (L'Ogre gardait quelques petits bras
     d'enfants dodus pour le goûter)



    °°°
    Luc Desle

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  • °°°
    Pensées pour nous-mêmes:

    (TES MAINS SONT FAITES
    POUR CARESSER LA VIE)

    °°°
    Peggy Lee - Fever


    Parole de Fever:

    Never know how much I love you
    Never know how much I care
    But when you put your arms around me
    I get a feeling that's hard to bear

    You give me fever, when you kisse me
    Fever when you hold me tight
    Fever in the morning
    Fever all through the night

    Sun lights up the day time
    Moon lights up the night
    I light up when you call my name
    And you know I'm gonna treat you right

    You give me fever, when you kiss me
    Fever when you hold me tight
    Fever in the morning
    Fever all through the night

    Everybody's got the fever
    That is something you all know
    Fever isn't such a new thing
    Fever Started long ago

    Romeo loved Juliet
    Juliet she felt the same
    When he put his arms around her
    he said "Julie, baby, you're my flame."

    Thou giveth fever, when we kisseth
    Fever with thy flaming youth
    Fever I'm a fire
    Fever, yea, I burn forsooth

    Captain Smith and Pocahontas
    Had a very mad affair
    When her daddy tried to kill him
    She said, "Daddy, oh no, don't you dare."

    He gives me fever, with his kisses
    Fever when he holds me tight
    Fever I'm his missus
    Daddy won't you treat him right

    Now you've listened to my story
    Here's the point that I have made
    Chicks were born to give you fever
    Be it farenheit or centigrade

    They give you fever, when you kiss them
    Fever if you live and learn
    Fever 'til you sizzle

    What a lovely way to burn (4 times)

    [ Ces sont Fever Paroles sur http://www.parolesmania.com/ ]

    °°°

    Fever Variations - Karen Marie sings Peggy Lee's
    "Fever" in 12 Different Styles

    °°°

    Beyoncé - Fever (Legendado)

    °°°
    Nadine Estrella

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    Pensées pour nous-mêmes:

    (JAMAIS LE VENT
    N'ATTEINDRA LES ETOILES)

    @@@

    (Quelque chose me disait qu'entre le Comte
    et la Comtesse de Palsembleu, il y avait
    de l'eau dans le gaz)

    @@@

    "Jamais la Californie ne fera partie des Etats-Unis.
    Comptez sur Moi!"


    (Zorro s'était mis le doigt dans l'oeil jusqu'au coude...)

    ÉTATS-UNIS

    Un milliardaire veut diviser 
    la Californie en six Etats

    ANDREW GUMBEL

       (...) Tim Draper aime tellement la Californie qu'il voudrait en voir six. Cet investisseur en capital-risque de la Silicon Valley, surtout connu pour avoir financé des entreprises comme Hotmail et Skype au tout début du boom d'Internet, juge la Californie si ingérable qu'à ses yeux la seule solution serait de la découper en six.

       Ainsi, Tim Draper rêve d'une Silicon Valley – sa terre natale – indépendante. Etouffé par le smog, Los Angeles serait également un territoire autonome et pourrait inciter les producteurs de cinéma et de télévision à rester par des mesures fiscales avantageuses. La région de San Diego, située juste derrière la longue frontière désertique avec le Mexique, pourrait régler seule le problème de l'immigration illégale. Quant aux zones peu peuplées du nord et de l'est de la Californie, elles gagneraient elles aussi une part d'autonomie. Sans oublier que chacune de ces entités aurait le droit d'envoyer deux sénateurs à Washington.

       C'est le genre d'idées qui circule dans les dîners ou au cours de débats enflammés dans les bars. Mais, puisque Tim Draper est milliardaire, il a engagé des collecteurs de signatures afin de rallier l'opinion autour de son projet, qui pourrait bien faire l'objet d'un référendum d'initiative populaire en 2016. Il affirme avoir déjà récolté pas moins de 1,3 million de signatures. (...) 

       (...) Jusqu'à présent, son programme suscite des réactions très diverses, allant de la perplexité à l'indignation. Tout le monde, hormis peut-être Tim Draper lui-même, est persuadé que son projet n'a pas la moindre chance d'être adopté (les électeurs californiens sont bien plus enclins à faire voter un projet qu'à lui donner leurs suffrages). Cela n'a pourtant pas empêché cette proposition de devenir un phénomène typiquement californien, une idée tellement farfelue que les gens ne savent pas s'il faut s'en moquer ou s'il faut la prendre au sérieux.

       S'il y a plus perturbant encore que ce redécoupage territorial, c'est bien le parcours politique personnel de Tim Draper. Il a tour à tour été républicain, démocrate et indépendant. Pourtant, les archives publiques concernant ses dons pour différentes campagnes indiquent une nette préférence pour les causes et les candidats républicains. Pourtant, il se revendique comme apolitique.

       Certains analystes politiques ont calculé que la création de six régions (en Californie) conduirait à une répartition égale de sénateurs républicains et démocrates, alors que depuis vingt ans la Californie est représentée par une majorité écrasante de démocrates au Congrès. Les experts ajoutent que cette initiative transférerait une partie des pouvoirs des villes – qui tendent à être démocrates – aux comtés, qui comptent aussi des banlieues aisées plus conservatrices. (...)

       (...) Pourtant, loin de Sacramento, la capitale de la Californie, une vidéo sur YouTube semble monopoliser l'attention. On y voit Tim Draper se déshabiller, retirant un à un ses vêtements à l'occasion d'un hommage public rendu aux femmes entrepreneurs qu'il a soutenues financièrement au fil des années. ("Il n'y a pas de plafond de verre !" dit-il en défaisant sa cravate et en retirant ses chaussures.) A la fin de la vidéo, il se met à chanter une chanson qu'il a écrite lui-même, intitulée The Riskmaster[Le preneur de risque], dans laquelle il se vante de "vivre vite, de conduire encore plus vite, de patiner au bord du gouffre". S'il souhaite se lancer dans une vraie carrière politique, ce qu'il refuse d'admettre, il ne s'y prend sans doute pas de la bonne manière.

       Tim Draper fait néanmoins partie de cette nouvelle vague toujours plus importante de milliardaires, conservateurs et progressistes, qui ont décidé de ne plus attendre le bon vouloir des dirigeants : ils ont suffisamment d'argent pour influencer eux-mêmes l'action politique. Il y a longtemps que les grosses fortunes californiennes sont à l'origine de ce genre d'initiatives. On se souvient notamment de la campagne de Meg Whitman, présidente de longue date d'eBay, en 2010, pour le poste de gouverneur, et de la campagne sénatoriale de Carly Fiorina, alors PDG de Hewlett-Packard – beaucoup d'entre elles ont échoué.

       L'assouplissement de la réglementation concernant le financement des campagnes et l'arrivée des Super PAC [comités d'action politique aux Etats-Unis dont le but est d'aider des élus ou de leur nuire] n'ont fait qu'encourager cette tendance, et pas seulement en Californie. Les milliardaires impliqués dans la vie politique, comme les frères Koch ou Sheldon Adelson, sont aujourd'hui aussi célèbres et aussi malmenés par leurs adversaires que les candidats qu'ils soutiennent. (...) 


    @@@

    (L'Oeil était sur la poitrine de cette Blonde
    et contemplait le vide)




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    Benoît Barvin

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