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    "Comment vous savez que j'aime les oursins?"


    16/04/2011
    Un punk arrive au marché de Bogyoke à Rangoon, Birmanie, le 12 avril 2011.
    Crédit : S. WIN / AFP

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    "Qu'est-ce qui ne faut pas faire pour réussir un exam'!
    De plus, avec cette saleté de masque, j'y vois rien du tout"


    Grandes écoles : 
    le coup de l’Elysée contre la laïcité

    12 Avril 2011 Par 

    Laurent Mauduit



       (...) Sur demande de l'Elysée, quelques étudiants juifs pratiquants pourront passer les concours d'entrée à des grandes écoles (Mines, Ponts, Centrale et Supélec) pour partie en dehors des sessions normales d'examen. Des sessions secrètes de nuit ont été prévues, avec un confinement préalable des candidats. Alors que le chef de l'Etat orchestre une campagne de stigmatisation des immigrés d'origine arabe, l'affaire met en évidence que la défense de la laïcité, avancée pour justifier cette politique, n'est qu'un prétexte. (...)
    A lire - hélas en payant - sur:

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    "Je fais un examen approfondi de cette superbe berline... 
    Ca vous tente?"

    La France ou l'histoire de l'arroseur arrosé

    Source : La Tribune.fr


       (...) Bien qu'aucune liste officielle n'ait été publiée à l'issue de la réunion à Washington des pays membres du G-20, la France fait partie d'une série de sept pays qui seront l'objet d'« examens approfondis ». C'est Christine Lagarde, la ministre de l'Economie, qui a apporté elle-même cette précision lors d'une conférence de presse. Selon d'autres sources, les six autres pays sont : les Etats-Unis, la Chine, l'Inde, l'Allemagne, la Grande-Bretagne et le Japon, en raison estiment les experts, du poids de leurs économies dans l'économie mondiale. "Sept pays, clairement ceux qui présentent le plus de risques systémiques (...) sont inclus dans cet exercice", a d'ailleurs précisé Christine Lagarde.
        On se souvient que lors de la réunion qui s'était tenue à Paris en février, la France avait été particulièrement à la manoeuvre pour que le G20 définisse une liste d'indicateurs économiques et financiers afin de montrer que les déséquilibres financiers de certains pays mettaient en péril croissant l'économie mondiale. En fait, étaient clairement visés la Chine et ses énormes excédents commerciaux, et les Etats-Unis et leur gigantesque déficit budgétaire. (...) 

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    "Heu... tu m'assures que je risque rien 
    avec ma bourde de la grippe H1N1?
    - Ahahaha... Toujours le mot pour rire, Roselyne"


    Fraude sociale : 
    Xavier Bertrand veut des sanctions plus lourdes

       Intensifier la lutte contre les (immondes?) fraudeurs et les pénaliser plus lourdement (en les faisant travailler dans les mines de sel?). C'est à cette nouvelle ( et noble) tâche (de comptable impitoyable) que compte s'atteler Xavier Bertrand, le ministre de l'Emploi et de la Santé.
       « La fraude, ce n'est pas du système D, c'est du vol ». Xavier Bertrand n'a pas pesé ses mots ce vendredi à Rennes, lors d'un point presse dans une caisse d'allocations familiales. Le ministre de l'Emploi et de la Santé a fustigé les fraudeurs, qui font perdre des « milliards d'euros » à l'Etat. « On va passer à la vitesse supérieure », a t-il prévenu, faisant mine de s'adresser directement aux resquilleurs (quel acteur!).

       « Il faut que le fraudeur sache (…) que ça va lui coûter plus cher demain qu'hier », a-t-il tonné (avec mégaphone?), estimant que personne ne pourrait passer au travers des mailles du filet (brrr...). Selon le ministre, les progrès en matière de croisement de fichiers et de numérisation de données devraient y contribuer (question vie privée, c'est donc définitivement out?).


    @@@

    (Lady Gaga se présentant, à son tour, 
    contre le petit Résident aux semelles compensées)


     A un an de la présidentielle, 
    pléthore de candidats face à Sarkozy
    Créé le 15.04.11 à 15h48 


    PARIS - A un an du premier tour de l'élection présidentielle française, les annonces de candidatures à droite, à gauche ou au centre se multiplient mais semblent laisser de marbre Nicolas Sarkozy qui se dit confiant dans sa réélection en dépit d'une impopularité record.


    @@@
    Benoît Barvin

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    (L'heureux temps de la lobotomie pour les grands criminels
    et les malades mentaux...)


    Grenelle :
    les écrans de pub du métro ont-ils hypnotisé NKM ?

    Par Nicolas Hervé | Les Déboulonneurs | 16/04/2011 |

    (...) L'écran de télévision, symbole d'aliénation, arrive dans l'espace public. Accompagnant les changements de société des dernières décennies qui ont provoqué le repli sur la sphère privée et l'éclatement des liens sociaux, la télévision et son « temps de cerveau disponible » ont un lourd passif.
       Le défilement ininterrompu d'images a la formidable capacité d'empêcher la communication et la réflexion. Il suffit d'observer l'attitude d'un groupe d'individus dans une pièce à partir de l'instant où la lumière jaillit du poste.
       Voyez les écrans installés dans les bureaux de Poste pour mieux nous faire patienter ou ceux dans certains transports en commun ou dans des brasseries. Rassurer, apaiser, pacifier. Tels sont les maîtres-mots ; bref, lobotomiser. L'arrivée de ces écrans dans la rue est donc loin d'être anodine. Espace public par excellence, lieu d'échange et de socialisation, à son tour colonisé. (...) 

    ***
    (L'interrogatoire du présumé traître à l'entreprise démarra doucement.
    La suite, par contre...)

    "La question" de Laurent Heynemann
    Pourquoi les entreprises s'entichent des militaires ?
    Par Arthur Nazaret | Journaliste 

         (...) Les chefs d'entreprise apprécient également les anciens du renseignement. De la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure) ou de la DSPD (Direction de la sécurité et de la protection de la Défense) comme Rémi Pagnie et Dominique Gevrey chez Renault – tous deux impliqués dans l'affaire de supposé espionnage, qui fera probablement baisser la cote des militaires chez le constructeur automobile. Ou de la DRM (Direction du renseignement militaire) comme Jean-Michel Chéreau, le successeur de d'Arbonneau. Alain Juillet, ex-directeur du renseignement de la DGSE, résume :
       « Ils ont l'habitude d'une sécurité très pointue et de protéger des secrets d'Etat. Ils savent comment faire pour qu'il n'y ait pas de fuite. »
       En somme, l'entreprise importe un savoir-faire et des méthodes de travail.
       Rien d'autre ? Disons que ces fins limiers savent comment trouver des infos. « C'est l'expertise qu'on achète. Le reste, c'est de la broutille », assure Alain Juillet. Le reste ? « Ils peuvent mobiliser leur réseau dans les services de renseignement dans lesquels ils ont gardé des attaches », décrypte le chercheur Frédéric Ocqueteau. (...)

    article à lire sur:

    ***
    (Dans sa nudité, cette nouvelle bibliothèque 
    plaisait beaucoup aux femmes)


    L'argent va-t-il l'emporter sur les mots ?
    [vendredi 15 avril 2011 - 13:00]

    A propos de L'ARGENT ET LES MOTS
    André Schiffrin
    Éditeur : LA FABRIQUE

       (...) En 1998, la Générale des eaux devient un groupe spécialisé dans la communication et le divertissement sous le nom de Vivendi. Suite aux difficultés financières du groupe, sa branche édition VUP (Vivendi Universal Publishing) est rachetée en partie par le fonds d’investissement Wendel sous l’impulsion d’Ernest-Antoine Sellière, alors président du MEDEF, ce qui constitue déjà en soi tout un symbole. Les maisons d’édition achetées par Wendel, parmi lesquelles on trouve Nathan, Plon, Robert Laffont, Bordas ou encore Pocket, sont rassemblées en janvier 2004 au sein d’Editis, qui devient le deuxième groupe français derrière Hachette. 
       En avril 2008, alors que Seillière avait assuré que son engagement dans l’édition serait durable, Editis est revendu au puissant groupe d’édition et de communication espagnol Planeta. Wendel avait payé 650 millions d’euros pour acquérir les maisons composant Editis et a revendu le groupe à Planeta plus d’un milliard d’euros. La preuve était faite, avec ce bénéfice colossal, qu’il était encore possible de gagner de l’argent dans l’édition. On aurait pourtant tort de se réjouir d’un tel constat car il ne s’agit pas de gagner de l’argent en vendant des livres, activité assurant des profits bien trop faibles pour les investisseurs, mais en achetant et en vendant les maisons elles-mêmes. (...)
    Sébastien LE JEAN

    Article à lire sur:

    ***



    Contamination OGM : 

    Bayer condamnée à 136,8 millions de dollars de dommages et intérêts !
    8 avril 2011 12:54, Les mots ont un sens, 

    par Napakatbra

       (...) En 2006, de nombreux champs de riz zuniens furent contaminés par un OGM de Bayer, le riz long grain LL601 tolérant à un herbicide. La contamination a été détectée dans au moins 30 pays, dont le Canada, l'Allemagne, la Suède et la France. Selon un rapport de Greenpeace, pas loin des deux tiers des exportations de riz américains ont été affectés d'une manière ou d'une autre par la contamination.
       Premier problème : ce riz OGM n'était pas autorisé. Et pour cause : les expérimentations avaient été abandonnées par Bayer en... 2001 à l'étape des essais en champs ! Ce qui en dit long sur le pouvoir de contamination des OGM.
       Second problème : en réaction, de nombreux Etats ont fermé leurs frontières aux riz de l'Oncle Ben's Sam. D'où une baisse des prix sur le marché yankee et une perte sèche qui pourrait finalement dépasser le milliard de dollars ! (...)


    ***


    (Pensées des années 80 soigneusement
    conservées dans les latrines de l'Histoire)

    Années 1980 : les fossoyeurs du nouveau monde 

       (...) Ils ont tout enterré – l’utopie, la pensée critique, la contestation, Marx, le communisme et même l’histoire. Notre monde est devenu champ de ruines, quand le leur portait beau et s’affichait avec morgue, certain de la supériorité de ses mots d’ordre : soumission au marché, modernisation technocratique, esprit d’entreprise et argent-roi. Un vrai rouleau-compresseur, lancé au mitan des années 1970, avec les autoproclamés « nouveaux philosophes » et leur dénonciation du totalitarisme, et méthodiquement conduit au long des années 1980. Rien d’autre que la pensée unique capitaliste et de sombres perspectives néo-libérales, comme si une Margaret Thatcher sous cocaïne avait pris le contrôle de toute la partie occidentale du globe. Peu ou prou : l’enfer.

       Pour conter leur victoire, un livre – foisonnant et passionnant. L’ouvrage se nomme La Décennie [1], le sous-titre donnant le ton : Le Grand Cauchemar des années 1980. L’historien des idées François Cusset [2] y dresse le tableau, presque effrayant, de ces années de vide et de trop-plein : élimination pure et simple (ou peu s’en faut) de toute question sociale et abondance de discours creux – ceux des (prétendus) intellectuels et des politiques, tous convertis aux principes de la communication et de la libre-entreprise. Multipliant et croisant les références, des films aux articles de journaux, des chansons aux discours politiciens et aux spots de pub, l’auteur de La Décennie ne se contente pas de dire une époque : il documente le fonctionnement d’une véritable machine de guerre idéologique.

       Aux commandes : Bernard-Henri Levy, Jacques Séguéla, André Glucksman, Jacques Attali, Alain Finkielkraut, Laurent Joffrin, Luc Ferry, Alain Minc, Pascal Bruckner, Jacques Julliard et tutti-quanti. Déjà. Il y a trente ans, ils faisaient main-basse sur la (pseudo) vie intellectuelle française ; ils en tirent encore les ficelles aujourd’hui. Il y a trois décennies, ils prêchaient la conversion aux joies du marché et accompagnaient la mise au pas néo-libérale ; ils ne s’en sont toujours pas lassés. C’est là aussi que l’ouvrage s’avère essentiel : en faisant vivre ce passé proche, c’est le présent – le nôtre et le leur – qu’il éclaire. En donnant des clés de compréhension d’un monde que nous subissons toujours, c’est la possibilité d’un contre-basculement idéologique qu’il renseigne. (...)
    [1] Publié à La Découverte (2006).
    [2] Par ailleurs, auteur de Queer critics : La littérature française déshabillée par ses homo-lecteurs (PUF, 2002) et de French Theory, Foucault, Derrida, Deleuze & Cie et les mutations de la vie intellectuelle aux États-Unis (La Découverte, 2003).

    Long entretien à lire en intégralité sur l'excellent site suivant:


    ***
    Luc Desle

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    FEVER

    Fever (« fièvre » en français) est une chanson américaine signée par Eddie Cooley et John Davenport (un pseudonyme d'Otis Blackwell). Les paroles ont en réalité été écrites par Joseph Arrington Jr. (alias Joe Tex), qui les vendit pour 300 dollars à Cooley. Pour la musique, Tex préconisait de reprendre l'air de Sixteen Tons, ce que fit Otis Blackwell1. Sortie en 1956, elle a été chantée par Little Willie John, qui en vendit plus d'un million d'exemplaires. Toutefois, la version la plus célèbre date de 1958, interprétée par Peggy Lee.


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    Paroles originales:

    Never know how much I love you
    Never know how much I care
    When you put your arms around me
    I get a fever that's so hard to bear
    You give me fever (you give me fever) when you kiss me
    Fever when you hold me tight (you give me fever)
    Fever ... in the mornin'
    Fever all through the night

    Sun lights up the day time
    Moon lights up the night
    I light up when you call my name
    'cause I know you're gonna treat me right
    You give me fever (you give me fever) when you kiss me
    Fever when you hold me tight (you give me fever)
    Fever ... in the mornin'
    Fever all through the night (WOW!!)

    Everybody's got the fever
    That is somethin' you all know
    Fever isn't such a new thing
    Fever started long time ago

    (You give me fever)
    Baby, turn on your love light (yeah, yeah)
    Let it shine on me (yeah, yeah)
    Well, baby, turn on your love light (yeah, yeah)
    And let it shine on me (yeah, yeah)
    Well, just a little bit higher (yeah, yeah)
    And just a little bit brighter, baby (yeah, yeah)
    You give me fever (yeah, yeah, yeah, yeah)
    You give me fever (yeah, yeah, yeah, yeah)
    You give me fever (yeah, yeah, yeah, yeah)
    You give me fever.

    {Note: End Of The Mccoys 1965 Version. }
    {Alternative verses from 1958 : }

    Romeo loved Juliet
    Juliet she felt the same
    When he put his arms around her
    He said, "Julie baby you're my flame"
    Thou givest fever when we kisseth
    Fever with thy flaming youth
    Fever I'm on fire
    Fever yea I burn forsooth

    Captain Smith and Pocahontas
    Had a very mad affair
    When her daddy tried to kill him
    She said "Daddy oh don't you dare"
    "He gives me fever with his kisses"
    "Fever when he holds me tight"
    "Fever, I'm his missus"
    "Daddy won't you treat him right?"

    Now you've listened to my story
    Here's the point that I have made
    Cats were born to give chicks fever
    Be it Fahrenheit or centigrade
    We give you fever when we kiss you
    Fever if you live and learn
    Fever till you sizzle
    What a lovely way to burn
    What a lovely way to burn
    What a lovely way to burn, ah
    What a lovely way to burn

    Fever (Fièvre)

    Tu n'as jamais su combien je t'aime

    Tu n'as jamais su combien je tiens à toi

    Quand tu mets tes bras autour de moi

    J'attrape une fièvre qui est tellement dure à supporter
    Tu me donne la fièvre (tu me donne la fièvre) quand tu m'embrasse
    Fièvre quand tu me serres(tu me donne la fièvre)
    Fièvre... au matin
    Fièvre toute la nuit
    Le soleil éclair la journée
    La lune éclaire la nuit
    Je m'allume quand tu appele mon nom
    Parce que je sais que tu va bien me traiter
    Tu me donne la fièvre (tu me donne la fièvre) quand tu m'embrasse
    Fièvre quand tu me serres(tu me donne la fièvre)
    Fièvre... au matin
    Fièvre toute la nuit (WOW ! ! )
    Tout le monde a attrapé la fièvre
    C'est quelquechose que vous savez tous
    La fièvre n'est pas une chose si nouvelle
    La fièvre a commencé il y a longtemps
    (Tu me donne la fièvre)
    Bébé, allume ta lumière d'amour (ouais, ouais)
    Laisse la briller sur moi (ouais, ouais)
    Bien, bébé, allume ta lumière d'amour (ouais, ouais)
    Et laisse-la briller sur moi (ouais, ouais)
    Bien, juste un peu plus haut (ouais, ouais)
    Et juste un peu plus lumineux, bébé (ouais, ouais)
    Tu me donne la fièvre (ouais, ouais, ouais, ouais)
    Tu me donne la fièvre (ouais, ouais, ouais, ouais)
    Tu me donne la fièvre (ouais, ouais, ouais, ouais)
    Tu me donne la fièvre.
    FIN DE LA VERSION 1965 De McCOYS

    +++


       Cette fièvre, ce n'est pas celle de la grippe - ni de l'or, ni de l'énervement face à une situation mondiale pénible... encore que -  mais celle, bien plus prenante, d'Ella Fitzgerald, fièvre d'une chanteuse qui sait faire jaillir, de son vaste coffre, des accents émouvants. 

       L'interprétation de Peggy Lee, une des plus célèbres, est jazzy en diable et un rien sophistiquée (mais cela n'engage que moi).

       Quant à la réinterprétation de Michael Bublé, peut-être un peu trop accompagnée d'instruments, elle n'en reste pas moins de toute beauté, même si légèrement bubble gum.


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    Ella Fitzgerald. Fever






    Fever - Sarah Vaughan






    Michael Bublé - Fever







    Jacques Damboise

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    (Heu... Libérons le prix de l'énergie,
    vous vouliez dire, hein?)



    Caroline Keller, chargée de mission énergie et logement, 
    répond aux questions de 20Minutes.. (extraits)

    (...) La nouvelle formule des prix du gaz est-elle plus juste pour le consommateur?


       La nouvelle formule est moins mauvaise que l’ancienne mais elle n’est pas encore optimale. Mise en place en 2008, la précédente formule prenait en compte les contrats de long terme que GDF-Suez passait avec ses fournisseurs principaux (Gazprom, Sonatrach et Statoil). Sauf qu’entre-temps, le groupe a renégocié ses contrats pour qu’ils ne soient plus entièrement indexés sur le cours du pétrole mais aussi sur celui du gaz naturel. Il était donc normal de prendre en compte cette baisse des tarifs.



    Que reprochez-vous à la nouvelle formule?



       Elle ne prend en compte qu’une partie des sources d’approvisionnement en gaz de GDF-Suez. Le groupe se fournit à 80% environ par ces contrats de long terme. Pour le reste, il utilise ses ressources propres, des contrats de court terme et s’approvisionne enfin sur le marché de gros. Or, dans ces cas de figure, les prix sont environ 30% moins chers que pour les contrats de long terme.



    Si ces éléments avaient été pris en compte, quel aurait été l’impact pour les ménages?


       Ce 1er avril, les prix du gaz auraient alors dû baisser de 2% et non augmenter de 5%. La formule de calcul est censée refléter au plus près les coûts d’approvisionnement réels de GDF-Suez. Il faut donc prendre en compte l’ensemble des sources d’approvisionnement du groupe, et pas uniquement les contrats de long terme, même si cela est moins avantageux financièrement pour lui. (...)



    @@@

    "Tu crois que les jurés vont être sensibles 
    au fait qu'on s'est mis sur notre 31?
    - Penses-tu! Ces ploucs nous haïssent... 
    Presque autant que le Résident...
    Recommande ton âme à qui tu veux. 
    On est foutu"
    Magistrats, greffiers, fonctionnaires et avocats du Palais de Justice de Nantes écoutent les raisons justifiant des reports d'audience, le 7 février AFP PHOTO / FRANK PERRY

    La justice va faire appel aux citoyens en correctionnelle

    «20 Minutes» dévoile (les coquins...)  la réforme présentée ce matin par Michel Mercier, garde des Sceaux...
       (...) «C'était une commande (une quoi?) de Nicolas Sarkozy», reconnaît (en baissant la tête) Michel Mercier. Le garde des Sceaux (des sots, et encore on est poli) livrera (en bon petit postier?) donc, ce matin, son «projet de loi sur la participation des citoyens au fonctionnement de la justice pénale». Pour 20 Minutes, il a accepté de dresser (son plat?) , en avant-première, les contours de cette réforme censée (ahaha) réconcilier les Français avec la justice (et avec le Résident?).

    Des citoyens assesseurs

       A la Chancellerie, on ne dit plus «jurés populaires», mais «citoyens assesseurs» (ça change tout). L’idée (?) lancée en décembre n’a, elle, pas changé. Deux citoyens viendront épauler les juges lors des audiences collégiales en correctionnelle consacrées aux atteintes aux personnes (lire l’encadré). Leur voix comptera autant que celle des magistrats. (...)

    Les faits d’atteintes

      (...) Les citoyens assesseurs devront (pourquoi pas "pourront") siéger en correctionnelle lors des audiences consacrées aux faits d’atteintes aux personnes. Sont concernés les agressions sexuelles, les violences aggravées, les vols avec violence, l’extorsion de fonds, les menaces et les homicides involontaires au volant. Soit environ 40 000 affaires par an, selon l’étude d’impact du ministère de la Justice. (...)
    "Tu comprends, je ne pouvais pas ne pas y aller. 
    Je suis plus populaire que toi...
    - Que qui?
    - Ben, que toi...
    - Toi qui?
    - Heu..."

    Il annonce sa candidature à la présidentielle 
    ce mercredi à Sevran...

       Cette fois, il y va (le Résident étant crédité de mauvais sondages?). Nicolas Hulot va achever sa mue politique et annoncer ce mercredi matin à 11 heures précises sa candidature à la présidentielle. Il s’exprimera depuis Sevran, ville de banlieue de Seine-Saint-Denis administrée par l’un de ses soutiens chez Europe Ecologie, Stéphane Gatignon. Ce sera sa première apparition dans les médias depuis celle du 13 novembre 2010, lors de la fusion d'Europe Ecologie et des Verts à Lyon, où il avait confié que la présidentielle «le taraudait» (comme un furoncle?).
       Déjà tout un symbole. Si Nicolas Hulot et ses proches ont choisi cette ville populaire de Sevran pour lancer «l’opération Hulot», c’est pour le crédibiliser, et mettre l’accent sur ce qui sera un axe de campagne: «l’urgence sociale et l’urgence économique sont liées» (alors on découvre le fil à couper le beurre, maintenant?), explique à 20minutes Christophe Rossignol. «C’est un cheminement (ouah!) qu’il avait déjà engagé dans le Syndrome du Titanic», insiste l’élu Europe Ecologie Les Verts à la région Centre.

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    "Alors, ce grand garçon? Hihihi... 
    Il n'a pas eu sa piqûre de rappel, hein?
    - Non, M'dame, pas ma piqûre, pas ma piqûre..."


    Roselyne Bachelot part en guerre contre la fraude 
    ou comment masquer (maladroitement)
    le gaspillage de la vaccination
    contre la grippe H1N1!

       (...) « Le nombre de fraudeurs est d’environ 200 000 par an, ça représente un peu plus de deux allocataires sur cent », explique la ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale, Roselyne Bachelot.
       " si nous lançons ce dispositif maintenant, c’est parce que nous sommes comptables de l’argent public dépensé (sages paroles), parce que certains (qui? des ministres, par exemple?) s’appuient sur les fraudes pour remettre en cause notre système social, parce qu’il faut faire savoir que nous luttons contre cette fraude, et enfin parce que si la Cnaf récupère 88% de la fraude chaque année, il reste une marge de manœuvre. »
       Cette marge, la ministre l’estime proche de100 M€ par an. (...) 
       (...) Cette frénésie guerrière pour récupérer soit disant 100 M€ par an est absurde lorsque la cour des comptes estime que la campagne antigrippale H1N1 a coûté entre 685 et 756 millions d'euros. Soit de 137 à 208 millions de plus que l'estimation du gouvernement, faite par la Direction générale de la santé (DGS). (...)
    Artemis
    Article à lire sur l'excellent site suivant:

    @@@

    "Vous croyez qu'il sera suffisamment grand pour contenir N. Hulot?
    - Vous rigolez? A l'intérieur, on pourrait en mettre dix mille 
    qu'il y aurait encore de la place"


    GD Tiepolo "Construction du cheval de Troie"

    La vérité sur nicolat hulot le cheval de troie écologiste

       (...) « Il va falloir expliquer aux électeurs écolos que l’acrobate de TF1, pote de Sarko et ex-conseiller de Chirac subventionné par la mairie de Paris, est un grand homme de gauche. » Christophe Nobili, « Ushuaïaïe, aïe, aïe ! » Le Canard enchaîné, 2-2-2011.
       « Le groupe chimiste Rhône-Poulenc en est un membre fondateur et des représentants d'EDF, de L'Oréal ou de TF1 siègent au conseil d'administration. Tous participent au financement de la FNH : en 2009, la structure de Nicolas Hulot a ainsi récolté plus de 3,4 millions d'euros de dons de la part de ses généreux mécènes, soit environ 67% de ses ressources. En échange, les représentants des entreprises peuvent participer à la gouvernance de la fondation : ils votent le budget et arrêtent le programme d'action. »
        « L'énergie nucléaire est donc (donc?) pour le moment le moindre mal. » 
       Site de la Fondation Nicolas Hulot, 22 mars 2011.
    Rusty James
    Lire l’article sur:

    @@@
    Luc Desle

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    "Alors, Benoît, toujours amoureux de mon image?"


    Diana Rigg, l'unique

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    "Attention, j'avance...
    - Non, toi tu recules...
    - Et pourquoi moi, je te prie?
    - Parce que, c'est tout"



    La tarification du TGV souffre
    (et les voyageurs avec)
     d'une opacité croissante


    30 ans après la mise en service du train à grande vitesse,
    l'évolution des prix reste un tabou pour la SNCF. 
    (comme s'est bizarre)
    Par Louis Morice.

    (...) Selon Les Echos du 16 novembre 2010le prix moyen du TGV a augmenté deux fois plus vite que l'inflation depuis 2002.

         Le quotidien s'appuie sur un audit du cabinet Boston Consulting Group qui a obtenu le prix moyen par kilomètre, indicateur sur lequel la SNCF communique au minimum : entre 2002 et 2009, ce prix moyen a subi une hausse de 3,4% en moyenne par an contre une inflation à 1,7% par an.
       Le 26 janvier dernier, les usagers du TGV se sont indignés d'une hausse moyenne des tarifs de 2,85%. Dans un communiqué, la Fédération nationale des associations d'usagers des transports dénonçait à son tour une évolution tarifaire obscure.
        En 1981, combien coûtait un billet de TGV Paris-Lyon ? Plus cher, moins cher qu'aujourd'hui, comparé à l'évolution du pouvoir d'achat sur la même période ? Pas mesurable selon la SNCF. De son côté, l'Insee ne dispose pas non plus de données pour TGV mais propose un tableau de l'indice des prix pour les transports ferroviaires de voyageurs. Entre 1990 et aujourd'hui, le prix figurant sur un billet de train a tout de même augmenté de 59%. (...)

    %%%


    Comment profiter des tarifs Shadocks de la SNCF
     vendredi 3 octobre 2008 par ÉMILE BORNE


       Mais pour casser les prix dans le dos de la SNCF, il existe en fait une autre solution que Bakchich est heureux de faire connaître à ses lecteurs. Autant profiter à fond des « Bons plans » du site internet. Pour aller à Chambéry sans trop amoindrir son pouvoir d’achat, il suffit d’acheter une place pour Turin… Un peu à la manière de Fernand Raynand qui, pour obtenir le 22 à Asnières, demandait qu’on lui passe New York. Rallier en TGV la ville d’origine de Carla Bruni n’en coûte que 30 euros, à condition de tomber dans les quotas de places soldées.
       L’explication est simple. Fortement concurrencée par l’avion, la SNCF lance régulièrement des opérations tarifaires pour compenser la longueur du trajet et remplir ses trains. Cet automne, elle met en vente 6000 places à prix bas jusqu’au 16 novembre. L’astuce à connaître, c’est que les TGV quotidiens qui mènent au Piémont passent et s’arrêtent tous à Chambéry. A l’intérieur, un nombre de siéges est commercialisé pour la liaison nationale, un autre pour la liaison internationale, plutôt délaissée. Il s’agit donc de voyager avec un billet à 30 euros pour Turin mais de descendre dans la préfecture de Savoie. On peut même s’offrir un billet de Première à 40 euros.
       On résume donc la logique à suivre : il suffit d’acheter pour plus loin afin de payer moins cher, tout en descendant au même endroit que ceux qui ont payé cher. Les Shadocks auraient apprécié ce train…


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    "La main sur mon - gros - ventre,
    bien rempli,
    ces chiffres sont des faux grossiers"


    Sénat: 
    les très hauts salaires du cabinet de Gérard Larcher épinglés

       (...) Le site d'information Mediapart a épinglé lundi 11 avril les dépenses en personnel du cabinet du président du Sénat Gerard Larcher (UMP), en augmentation de 26% par rapport à son prédécesseur avec de très hauts salaires allant jusqu'à plus de 19.000 euros net par mois. (...)
    (...) La rémunération du directeur de cabinet est de 19.154 euros net imposable par mois, celle de la conseillère presse de 10.880 euros (contre 6.229 euros sous Poncelet), précise le site.
       Le conseiller aux Affaires sociales, entreprises et formation professionnelle touche 8.788 euros (contre 5.378 euros sous Poncelet) et un conseiller spécial, 8.029 euros, auxquels s'ajoute sa pension de fonctionnaire retraité du Sénat de 11.715 euros, affirme Médiapart.
       Les dépenses en personnel du cabinet ont atteint 2.826.610 euros en 2010 soit une augmentation de 26%entre 2007 et 2010, assure le site. (...)


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    12 HOMMES EN COLERE  de SIDNEY LUMET




    Douze hommes en colère (12 Angry Men)
     est un drame judiciaire américain réalisé par Sidney Lumet et sorti en 1957.

       (...) Aux États-Unis, un jury de douze hommes doit statuer, à l'unanimité, sur le sort d'un jeune accusé de parricide. S'il est jugé coupable, c'est la mort qui l'attend. Onze jurés le pensent coupable. Seul l'un d'eux, sans être certain de l'innocence de l'accusé, a de sérieux doutes. Il expose fermement ses doutes et les failles de l'enquête. Il s'oppose à ce qu'une décision engage l'espérance de vie d'un homme sans que ses fondements soient certains. Il fait réfléchir les autres jurés pour que le doute, s'il est certain, bénéficie à l'accusé.(...)

    La version montrée plus haut est doublée en Français, souvenir d'enfance de Benoît Barvin, qui cherchait à deviner, dans le long listing de fin, le nom de ces voix mâles qui faisaient beaucoup, à l'époque, pour le charme du film...


    Sidney Lumet: 
    Un homme en colère


       François Forestier a recueilli en septembre 2007 une des dernières interviews du cinéaste disparu  samedi 9 avril (2011). Éternel militant de gauche, celui-ci a abordé les thèmes les plus délicats: racisme, pouvoir, rapacité des élites, veulerie de la justice… De “Douze Hommes en colère” (1957) à “7h58, ce samedi-là” (septembre 2007), son soixante-dixième film, il n’a cessé de décrire une société gangrenée, un pouvoir pourrissant.

       Vous êtes un pessimiste? 
       – Le spectacle du monde, aujourd’hui, n’incite pas à l’optimisme.

       On ne peut s’empêcher de voir un écho de la société actuelle, dans vos films 
       - Absolument ! “7h58, ce samedi là”, mon dernier film a une signification politique sous-jacente. J’explique: un événement sans importance, minuscule, dicté par la rapacité, déraille. Et les choses deviennent de plus en plus catastrophiques, jusqu’à engloutir tout. C’est ce qui se passe dans “7h58”, mais aussi dans “la Colline des hommes perdus”, “Serpico”, “Dog Day Afternoon”. L’Amérique, aujourd’hui, est dans cette situation : une erreur de départ – l’Irak – risque d’avoir des conséquences énormes.…(...)
    François Forestier. Lire l'article sur:

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  • ***
    Le mercredi, Tu Quoque a envie de faire un peu relâche devant une actualité détestable et il s'intéresse à ces images fuligineuses fournies 
    par les films en noir et blanc. 
    Petite madeleine de Proust oblige...


    ***

       Janet Gaynor est une actrice américaine née le 6 octobre 1906 à Philadelphie et décédée le 14 septembre 1984 à Palm Springs en Californie. Elle a inspiré les animateurs de Blanche-Neige et les Sept Nains pour le personnage de Blanche-Neige.
    ***

    (Le gang des chapeaux avant son attaque ratée 
    de la succursale de la Western Bank)



    ***
    "Non, Madame, seul les chapeaux sont autorisés 
    sur cette plage... Veuillez me déposer votre bonnet 
    sur cette coupelle, je vous prie"

    ***
    (Janet, après boire, dansant le hulla hoop - sans cerceau - 
    dans un décor inadéquat)


    ***

    (La nombreuse famille des gibus ne ratait aucune occasion 
    de faire la promotion de sa production)


    ***
    "Janet! Rendez-moi mon chapeau claque! 
    - Viens donc le prendre, mon Bichon, hihihi..."


    (Après cet incident, Janet fut virée illico presto 
    de la production du film)

    ***
    Photos tirées du film de 1929: "Sunny Side Up"!
    Avec Janet Gaynor et Charles Farrell
    ***


    Jacques Damboise

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  • °°°


    "J'avais oublié quelques papiers importants...
    Ma carte d'identité, pour tout vous avouer"

    l'ancien ministre de l'intérieur, Brice Hortefeux

    Un intrus réussit à pénétrer au ministère de l'Intérieur


       (...) Déjouant la surveillance des policiers, un homme s'est introduit dans le bâtiment de la place Beauvau pendant quelques minutes avant de disparaître. Les syndicats de police invoquent un "sous-effectif chronique" du service de sécurité. (...)


    °°°
    "Je mets au point un vaccin contre la c... scientifique.
    Ouaip, M'sieur! Ca vous la coupe, hein?"



    Fukushima, un accident de civilisation


       (...) dans les opinions occidentales, la technophobie, minoritaire mais émergente depuis quelques années, tient surtout à la crainte de voir cette promesse non tenue, à la crainte que les créations techno-scientifiques n'échappent à leurs maîtres.


       De fait, le rejet de la techno-science apparaît surtout lorsqu'une technologie agit de manière invisible, qu'elle porte en elle le risque de devenir ubiquitaire et qu'elle semble pouvoir s'émanciper de son créateur ou échapper au contrôle du tout-venant. La technophobie récente concerne surtout l'ingénierie génétique et les nanotechnologies : ce sont, à chaque fois, les mêmes ressorts qui sont à l'oeuvre. Dans le cas des organismes génétiquement modifiés (OGM), par exemple, des constructions génétiques sont introduites dans la matière vivante : on redoute qu'elles se propagent de manière incontrôlable dans la nature, on craint une toxicité indécelable lors de leur introduction dans la chaîne alimentaire... On s'inquiète aussi d'une perte de contrôle des individus sur cette matière vivante modifiée, qui devient par la grâce des brevets la propriété de grands groupes industriels.



       A Fukushima 1, que voit-on ? La matérialisation de toutes ces craintes, la preuve tangible qu'elles sont fondées : les événements échappent non seulement à la perception de tout un chacun, mais aussi au contrôle des élites techno-scientifiques. Dans le nord du Japon se compose le sidérant tableau d'une technologie qui menace l'intégrité de vastes régions par le biais de particules infimes et incontrôlables, émettrices de rayonnements toxiques et invisibles, dispersées au gré des masses d'air et des courants marins. Une technologie qui supplante son créateur jusqu'à lui interdire de venir l'observer. C'est un constat inouï : les maîtres de l'atome ignorent ce qui se déroule précisément dans les lieux-clés de la centrale - les réacteurs - puisque nul ne peut s'en approcher sans périr aussitôt. (...) 
    Stéphane Foucart. Article  du 10.04.11. 
    Le lire à l'adresse suivante:

    °°°
    "Et pendant ce temps-là, nous, on veut nous rhabiller.
    Allez y comprendre quelque chose..."

    revues-naturistes.com


    LOI - La police craint d'avoir des difficultés 
    à faire appliquer la législation 
    «sur la dissimulation du visage» 
    qui entre en vigueur ce lundi...


       (...) Le scepticisme domine chez les policiers alors que la loi qui prohibe le port du voile intégral entre en application ce lundi. Ils craignent que le texte, qui interdit d'avoir le visage dissimulé dans les espaces publics, ne soit difficile à appliquer.
       Car une circulaire du ministère de l'Intérieur datée du 31 mars le précise:  Les forces de sécurité n'ont pas le pouvoir de faire ôter le vêtement qui dissimule le visage.» Si la personne refuse d'enlever son voile afin de contrôler son identité, elle pourra être conduite au poste, c'est tout. «Il conviendra […] de faire preuve de persuasion, de façon à ne recourir à cette faculté qu'en dernier recours», précise la circulaire, qui prévient: «Les forces de sécurité veilleront à apprécier avec discernement le contexte général entourant le déroulement du contrôle.» Preuve que les pouvoirs publics ont conscience de la sensibilité du sujet. (...)


    °°°
    "Bon, lisons donc cette feuille de route...
    - Heu, Guide Suprême, vous avez oublié vos lunettes..."

    marocland.com

    Kadhafi accepte une "feuille de route" pour la paix


       Le plan de l'Union africaine prévoit un cessez-le-feu immédiat en Libye.

       (...) Muammar Kadhafi a accepté une "feuille de route" pour la paix prévoyant un cessez-le-feu immédiat en Libye lors d'une rencontre avec une délégation de l'Union africaine, qui doit s'entretenir ce lundi avec des responsables de l'insurrection dans leur fief de Benghazi. Le président sud-africain Jacob Zuma, qui dirigeait la délégation africaine à Tripoli dimanche, a invité l'Otan à mettre fin à ses bombardements contre les forces de Muammar Kadhafi pour offrir une chance de succès à un éventuel cessez-le-feu. Aucun responsable de l'Alliance atlantique, qui dirige les frappes aériennes internationales en Libye, n'était joignable dans l'immédiat. (...)


    °°°
    "Le despotisme anonyme d'une oligarchie 
    est quelquefois aussi effroyable 
    et plus difficile à renverser 
    que le pouvoir personnel 
    aux mains d'un bandit."

    [Arthur Arnould] 
    Extrait de L'Etat et la révolution


    vendredi, 08 avril 2011
    Oligarchie versus démocratie

       (...) L’auteur par ailleurs évoque le cas de Mathieu Pigasse, l'un des trois propriétaires du Monde – où il est journaliste -, ayant travaillé successivement avec Dominique Strauss-Kahn, qu'il qualifie de pionnier moderne du trafic d'influence (page 59) et Laurent Fabius, et ayant fait ensuite fortune à la banque Lazard après avoir orchestré la série de privatisation menée par le gouvernement Jospin.

       Hervé Kempf estime que l'oligarchie dépouille au fur et à mesure l'État de ses recettes et de ses capacités de régulation au sein de l'industrie financière. Les entreprises qui avaient pris les risques les plus inconsidérés, ayant conduit à la crise du système financier, étaient celles qui avaient réalisé les dépenses de lobbying les plus élevées. Aux Etats-Unis, le coût moyen d'un siège à la chambre des représentants est de 1,1 million de dollars, au Sénat 6,5 millions ; les plus riches l’emportent. Élections et oligarchie peuvent aller de pair. On passe du citoyen rationnel au consommateur manipulé. (...)
    Pascal Boniface à propos du livre d'Hervé Kempf
    "L’oligarchie ça suffit, vive la démocratie" (éditions Seuil).
    Article à lire sur:


    °°°
    Luc Desle

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  • +++

    Ce jour, devant vos yeux ébahis, Benoît Barvin n'utilise que les titres
    - forcément réducteurs - de nos meilleurs ennemis, 
    les journalistes professionnels.
    Aujourd'hui notre cible sera LE POINT.


    +++

    "Dis-moi, petit... Que penses-tu des pesticides dans les aliments?
    - Ben... Ça me coupe bras et jambes, bien sûr"


    "Rien ne prouve que le bio soit meilleur pour la santé"

    (une bonne dose de s... industrielle, 
    c'est vrai, ça requinque son homme)

    Le Point.fr - Publié le 05/04/2011 à 19:14 - Modifié le 05/04/2011 à 19:28

    Le journaliste (Mon Dieu...) 
    Gil Rivière-Wekstein passe au crible 
    (de son idéologie) les promesses 
    (les bienfaits aurait été plus juste) 
    de l'agriculture biologique.


    +++

    (Parler est le plus moche moyen de communication. 
    L'homme ne s'exprime pleinement que par ses silences.)


    [Frédéric Dard]
    Extrait de Maman les petits bateaux
    Jean-François Copé doute 
    de la "légalité" des primaires du PS

    Le Point.fr - Publié le 06/04/2011 à 13:01

    Le secrétaire général de l'UMP demande aux socialistes
    de préciser les modalités d'organisation du sujet. 
    (parce que, au fond de son petit coeur de midinette, 
    il voudrait prendre sa carte de sympathisant?)


    (Ces joueuses avaient une étrange conception
    des moeurs économiques)

    +++

    Solvay lance une OPA amicale 
    sur Rhodia pour 3,4 milliards d'euros

    Le Point.fr - Publié le 04/04/2011 à 08:33
    Le chimiste belge doit financer la transaction 
    "intégralement" sur sa trésorerie.

    (Libéral avancé. Homme politique 
    qui n'est plus tout jeune.)

    [Jacques Maillot]
    Extrait de La politique d'en rire

    (Et qui est un peu c...?)

    +++
    Fillon dénonce "des méthodes dignes 
    des procès staliniens" 
    contre Guéant
    Le Point.fr - Publié le 05/04/2011 à 16:50

    Les propos du Premier ministre ont suscité l'indignation de l'opposition, 
    dont une petite moitié a quitté l'hémicycle 
    (une baffe ou un crachat, c'était pas possible?)



    +++

    (Envie très pressante qui n'a pas pu se retenir.
    La Police non plus)


    SCIENCES(?)
    Une vessie pleine pour de meilleures décisions
    Le Point.fr - Publié le 04/04/2011 à 19:02

    Selon des chercheurs (?) néerlandais, retenir une envie pressante 
    permet de faire des choix plus réfléchis (de faire quoi?).
    +++


    Benoît Barvin

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  • @@@


    "Nos frais de blanchisserie sont moins dispendieux"


    Estrosi va rembourser 4.600 euros de blanchisserie à l'Etat

       (...) Epinglé par la Cour des Comptes, l'ancien secrétaire d'Etat chargé de l'Outre-mer (dépendant alors du ministère de l'Intérieur) parle d'"une erreur de l'administration" et s'est engagé à rembourser ses dépenses privées. (Mon Dieu, quelle classe!!!) (...)
       (...) Christian Estrosi fut de juin 2007 à mars 2008 secrétaire d'Etat chargé de l'Outre-mer, dépendant alors du ministère de l'Intérieur. "Un montant de 4.600 euros ne peut être imputé à l'Etat", a précisé le ministère, rejetant le chiffre de 40.000 euros, dont 14.000 euros de teinturerie, mentionné par le JDD. "Il n'y a pas de chiffre de cette nature là dans cette note" de la Cour des comptes, a-t-on affirmé le ministère.(...)

    @@@

    "Je signale que Frédéric n'est pas mon cousin... 
    Il n'appartient à aucun membre de ma famille, d'ailleurs.
    Il ne manquerait plus que ça..."


    "Le coup de sang" de Serge Raffy: "Zadig ta mère !"


       (...) C’est l’époque dans laquelle on vit. Il faut s’y faire. Un ministre de l’Education, ancien DRH de L'Oréal, Luc Chatel, prétend tranquillement qu’il n’est pas nécessaire de maîtriser la langue française pour apprendre l’anglais (et le massacrer?). Un autre, Frédéric Lefebvre, secrétaire d’Etat au commerce, commet un colossal lapsus en plein salon du Livre parisien, citant comme livre de chevet le fameux "Zadig et Voltaire", marque célèbre du vêtement déstructuré et férocement bling-bling.
       Ce dérapage linguistique n’est pas le fruit du hasard, mais le résultat d’un long travail de sape de nos élites financières qui ne voient plus dans la littérature ou dans l’amour de la langue française qu’un médiocre passe-temps pour losers de banlieue. A quoi bon maîtriser la langue de Victor Hugo quand la plupart de nos gouvernants ont pour l’enseignement de notre idiome un profond mépris. (...)
       (...) L’hôte de l’Elysée et nombre de ses ministres ne sont que la face immergée d’un iceberg monstrueux. Il révèle l’inexorable défaite des mots face au marché (le terme libéral en est un exemple... terrifiant). Il suffit de lire la novlangue du web pour saisir qu’une guerre secrète a été perdue, que l’alphabet du marketing a progressivement remplacé celui de la littérature (pour le "profit" des z'élites zélotes du marché?). Le lapsus sur l’ermite de Ferney est un moment historique : il a bien été commis par un ministre du Commerce. Cet acte de piraterie sémantique est somme toute logique. Presque ordinaire. (...)
    Serge Raffy

    opinion à lire sur:

    @@@

    "Ecolo quoi? Qui? Où?"


    Conso écolo : 

    les français commencent à bien faire

       Il y a un an exactement, Nicolas Sarkozy décidait de mettre brutalement en veilleuse l’aventure du Grenelle de l’Environnement. A peine avait-il prononcé sa petit phrase assassine «L’écologie, ça commence à bien faire ! », que les députés UMP du lobby des pesticides ou anti-eoliens se déchaînaient à l’Assemblée Nationale.
       Sauf que les consommateurs français, eux, gardaient le cap. Mieux, ils étaient de plus en plus nombreux à « bien faire » et à acheter écolo. Malgré la crise économique et le surcoût. C’est la principale conclusion du quatrième rapport annuel sur les «  Chiffres de la consommation responsable» que vient de rendre public Elisabeth Laville de «Mescoursespourlaplanète.com » à l’occasion de la Semaine du Développement durable ( du 1° au 7 avril).
       (...) L’alimentation Bio (...) continue de cartonner : les ventes progressent encore de 10% en 2010 tirées par les jus de fruits et les vins. Malgré des prix souvent nettement plus salés, c’est bien le réflexe santé qui joue à plein. (...)




    "Qu'on ne se serve pas de moi, après ma mort, 
    comme d'un vulgaire paquet de lessive"

    @@@

       (...) La date est symbolique. Barack Obama, premier Noir élu à la présidence des États-Unis, en 2008, a choisi le 4 avril - anniversaire de la mort de Martin Luther King (ouah, le super storytelling que voilà! mais c'est moi qui ai mauvais esprit, évidemment...), assassiné en 1968 - pour annoncer officiellement sa candidature à un second mandat de quatre ans à la Maison-Blanche. Il met ainsi le cap sur l'élection présidentielle du 6 novembre 2012, qu'il espère remporter à la faveur du redressement de l'économie américaine.

       Sans attendre, à dix-neuf mois (pourquoi pas avant? Tant qu'à y être, hein?) de l'échéance électorale, il appelait hier, sur le Net, ses partisans à se mobiliser pour 2012. « J'aurai besoin de vous pour établir notre plan et créer une campagne qui aille plus loin, qui soit plus concentrée et plus innovante (?) que tout ce que nous avons bâti jusque-là. » Le site Internet sur lequel était diffusée la vidéo officielle, se terminant par un « It begins with us » (nouveau slogan de campagne du candidat démocrate ?), permet déjà de faire des dons. Objectif : récolter plus que les 750 millions de dollars rassemblés en 2008 (ah, on comprend tout... Toujours le money, money, hein, chers z'amis américains?) (...)

    @@@

    "Vivons donc heureusement, 
    sans haïr ceux qui nous haïssent."

    [Bouddha] 
    Textes sacrés
    (C) Faber.

    C'est en Algérie qu'on brûle le plus de Corans !

       (...) Eh oui, pendant que l'on s'indigne du projet d'un pasteur américain de brûler le Coran le jour anniversaire du 11 septembre, des citoyens algériens, épris de liberté et aspirant à une civilisation plus laïque, brûlent des exemplaires du Coran et mettent à sac des mosquées! (...)

       (...) La partialité de notre presse qui n'évoque que le pasteur américain et jamais, jamais, jamais le combat quotidien d'hommes et de femmes vivant sous le joug de l'islam, partout dans le monde, et qui cherchent à le combattre au péril de leurs vies, et qui croient que nous, l'occident, allons les aider à le combattre. Devons nous, par nos réactions zélées, comme j'ai pu en lire à la suite de l'article concernant ce projet d'autodafé, en rajouter et nous faire les complices de cette désinformation ?

       Puisqu'il y a dans les pays musulmans des gens qui souffrent parce qu'ils vivent chaque jour la réalité de l'islam et rêvent d'y échapper, et qu'il y a chez nous, en France, en Europe, des gens qui rêvent de vivre dans un contexte musulman et manifestent leur haine de la culture européenne (Nique la France etc...), je propose que nous retrouvions les bons vieux réflexes de la guerre froide et que nous procédions à des échanges ! Echangeons ceux qui ont brûlé le drapeau français contre ceux qui ont brûlé le drapeau algérien, échangeons les « nique la France » et les » indigènes de la république » contre ceux qui ont mis le drapeau français dans leur établissement ! (...)


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    "La laïcité sera religieuse ou ne sera pas"



    Contre la Laïcité française six religions font bloc


       (...) Elles sont venues, elles sont toutes là ! Il ne manque que la Scientologie à l’appel. C’est à désespérer ! En chœur, six religions signent une tribune commune dans Le Parisien du 29 mars, pour défendre, disent-elles, « la laïcité comme faisant partie du bien commun de notre société ». On peut être tranquille : la Laïcité est dans de bonnes mains. Ce sont ses adversaires désormais qui la défendent : après le Front national, son ennemi intime historique, ce sont ses victimes qui courent à son secours. Quand les loups les encerclent, on peut être sûr que les moutons sont bien gardés ! (...)
    Paul Villach jeudi 31 mars 2011
    opinion ( à laquelle nous souscrivons)  à lire sur: 

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    (Le MEDEF ou la N contre les travailleurs?)


    Dites madame Parisot, à quoi il pourrait ressembler votre prochain lipdub ?

       (...) Ces derniers temps lorsque Laurence Parisot prend la parole c'est plutôt pour fustiger : le coût du travail, évoquer la sortie des 35H00, la baisse des cotisations chômage des employeurs, trouver des moyens pas chers pour financer l'emploi des jeunes ou se féliciter des 500 000 ruptures conventionnelles de CDI (dont de nombreuses sont utilisées par certaines entreprises comme un système de préretraite collectif ) financé par l'Unedic et bien entendu de refuser un principe de partage équitable des bénéfices avec les salariés ... que de nous parler de l'immense bonheur que les salariés ont chaque jour à venir au travail ! (...)



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    (Salariés fous de joie après avoir obtenu de leur entreprise
    une baisse de 0,01 cents sur le prix du café 
    pris à la machine)


    "Les entreprises ne savent plus ce qu'elles font"
    Source : La Tribune.fr -

       (...) Dans l'interview qu'il nous a accordée à l'occasion de la sortie de son livre "Lost in Management", le sociologue François Dupuy explique que "les entreprises s'enfoncent dans un jeu perdant-perdant avec leurs salariés". (...)

       (...) Vous lancez une sorte (pourquoi une sorte? C'en est un) de cri d'alarme dans votre livre "Lost in Management". Faut-il faire le procès du management des trente dernières années ?

       Non pas le procès (quoi que?), mais amener les entreprises à regarder les choses en face. Elles sont en train de se fourvoyer (merci, Monsieur le sociologue, on n'avait pas compris tout seul). Pour faire face à la nécessité de garder tous les comportements sous contrôle, surtout avec la crise, les entreprises ont accentué leurs moyens de coercition. Tous ces process (?), ces systèmes de "reporting" (?), c'est de la coercition destinée à garder les salariés sous contrôle. Or le résultat obtenu produit l'effet inverse : les entreprises perdent le contrôle d'elles-mêmes. 
       C'est le constat que j'ai pu faire au terme de mes missions de terrain et de 800 entretiens. Il s'agit en fait de ce que j'ai nommé "un taylorisme relooké". Cette idée qui préside à l'administration publique dans laquelle on cherche à appliquer toutes les règles et qui revient à une forme de grève du zèle. En anglais, d'ailleurs, on parle de "working to rule". Au lieu de "motiver" les salariés, de les amener à s'engager pour leur entreprise, ces techniques provoquent le retrait et la rébellion active ou passive. Plus l'entreprise (et la société? Et la République? et la Démocratie?) cherche à contrôler et à mettre la pression, plus les salariés, cadres y compris, se réfugient dans des investissements alternatifs (ouah, le terme affectueux!), la famille par exemple, qui viennent compenser la dureté du monde du travail.
       Mieux : le délire des processus, des "reportings" et des indicateurs finit par recréer des zones de liberté pour les salariés tant ils deviennent contradictoires les uns avec les autres et laissent ainsi les acteurs libres de décider ce qu'ils doivent appliquer ou non. 
       Au final, on assiste à un "mix" d'anarchie et d'obéissance sélective (je choisis ce à quoi je décide d'obéir) qui mène au désinvestissement. Cette bureaucratie annule de fait le rôle de l'encadrement de proximité qui n'a du coup plus d'effet de levier. Les entreprises s'enfoncent dans un jeu perdant-perdant avec leurs salariés. (...)

    interview à lire sur:

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    "Les Français me fatiguent, ils se plaignent tout le temps.
    C'est pas comme les Italiens..."

    Un sondage du CSA sur le pouvoir d'achat des Français 
    révèle leur perception morose...
    (Quelle surprise!)

       (...) Quatre ans après l’élection d’un «(p)résident du pouvoir d’achat», les frais quotidiens continuent de grimper (non?). A tel point qu’ils pensent réduire leurs dépenses de base: le chauffage, le carburant et même l’alimentation pour un tiers d’entre eux (on va se nourrir de l'air du temps?). C’est ce que révèle un sondage CSA/20Minutes (vraiment besoin d'un sondage pour comprendre?), alors que l’Insee annonçait la semaine passée que le pouvoir d’achat avait… augmenté de 1,2 % en 2010.
       «Avec les dépenses alimentaires, on touche au quotidien, à ce qu’il y a de plus vital», estime (nous, on ne l'estime pas trop...) Jérôme Sainte-Marie, directeur de CSA (et obligé, lui aussi, de se serrer la ceinture?). «Un tiers des Français qui réduit ce budget-là, c’est la preuve d’un malaise profond.» (puissante déduction... Quelle Grande Ecole il faut faire pour être directeur du CSA, déjà?) (...)

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    "Dis, M'an, tu me laisseras jamais tomber, hein?
    - Tant que j'ai pas de repreneur, c'est juré"

    Un bébé gorille âgé de deux semaines joue avec sa mère au zoo de Guadalajara, Mexique, le 31 mars 2011.
    Crédit : H. GUERRERO / AFP

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    Jacques Damboise 
    (en l'absence de Benoît Barvin)

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